- Lun Jan 18, 2010 2:07 am
#88673
Le repos de l'apprenti guerrier avant le rush du samedi soir: dans l'après midi je me suis épouillé devant un documentaire: "le stress, portrait d’un tueur"
Une émouvante colonie de babouins vie à l'abri des lions dans une réserve du serengeti. Grâce aux analyses des prélèvements cellulaires et sanguins qu'un chercheur a effectués sur eux, il a mis en évidence que la position sociale d'un singe dans le groupe conditionne son taux d'hormones du stress. En clair : « Les mâles les plus agressifs et les plus rusés arrivent au sommet et bénéficient de tous les avantages : femelles à gogo, nourriture à profusion et cortège inépuisable de toiletteurs. Les autres, les subalternes, sont soumis à un stress chronique dont attestent un rythme cardiaque et une tension artérielle plus élevés. »
Ok, rien de révolutionnaire, longue vie aux alpha et mort lente pour les bêtas, sauf que....
Ce groupe de babouins s’est un jour approché d’un peu trop près des habitations et les mâles dominants, à qui tout était dû, se sont jetés sur la nourriture des poubelles, n’en laissant pas une miette aux autres. Mais, ces dernières contenaient de la viande avariée et tous sont morts d’une tuberculose. Le groupe s’en ai trouvé transformé, n’étant plus désormais composé que de gentils mâles et de femelles, ils prirent soin les uns des autres sans aucune agressivité, ni violence. Les mâles dominants des autres tribus devant désormais accepter ce nouveau mode de vie pour intégrer le groupe.
Des parallèles vous viennent à l'esprit?
Une émouvante colonie de babouins vie à l'abri des lions dans une réserve du serengeti. Grâce aux analyses des prélèvements cellulaires et sanguins qu'un chercheur a effectués sur eux, il a mis en évidence que la position sociale d'un singe dans le groupe conditionne son taux d'hormones du stress. En clair : « Les mâles les plus agressifs et les plus rusés arrivent au sommet et bénéficient de tous les avantages : femelles à gogo, nourriture à profusion et cortège inépuisable de toiletteurs. Les autres, les subalternes, sont soumis à un stress chronique dont attestent un rythme cardiaque et une tension artérielle plus élevés. »
Ok, rien de révolutionnaire, longue vie aux alpha et mort lente pour les bêtas, sauf que....
Ce groupe de babouins s’est un jour approché d’un peu trop près des habitations et les mâles dominants, à qui tout était dû, se sont jetés sur la nourriture des poubelles, n’en laissant pas une miette aux autres. Mais, ces dernières contenaient de la viande avariée et tous sont morts d’une tuberculose. Le groupe s’en ai trouvé transformé, n’étant plus désormais composé que de gentils mâles et de femelles, ils prirent soin les uns des autres sans aucune agressivité, ni violence. Les mâles dominants des autres tribus devant désormais accepter ce nouveau mode de vie pour intégrer le groupe.
Des parallèles vous viennent à l'esprit?