- Ven Juin 29, 2012 3:37 pm
#123675
J'aurais peut-être dû poster cette histoire d'abordage de rue dans "aide perso", parce que... vous allez comprendre.
Je poursuis donc mon apprentissage du street (et de la séduction en général) en me maintenant à tout prix dans l'action, 2 ans après avoir enfin décidé de changer de vie. C'est pas trop tôt.
J'aborde une jeune Russe devant un magasin sur le mode "je t'ai trouvée sympa, donc je suis venu te parler". J'arrive devant le fille plutôt tranquille (en tout cas, la respiration normale et l'intonation normale... je crois), et prends la peine d'enlever mes lunettes de soleil au tout début de l'interaction. Tout a l'air de dérouler tout seul, à l'exception d'un instant où j'ai un peu de mal à parler. Mais la fille remplit un ou deux blancs, elle rit voire glousse, elle pose des questions perso... bref ! J'enchaîne donc sur une proposition de rdv au bout de 4-5 minutes, mais ne pense pas à lui suggérer un rdv instantané (j'étais pourtant dispo). Peu importe, car elle semble accepter et prend alors mon téléphone pour faire sonner le mien à ma demande. Pas de pb de faux numéro à venir, me dis-je, puisque son téléphone s'est affiché de lui-même sur le mien ! On se sert la main, et je repars.
Oui mais voilà. D'après une certaine méthode, je lui envoie un sms un peu plus d'une heure après l'interaction, pour lui dire en gros que j'étais content de l'avoir rencontrée. Notez qu'à aucun moment durant la discussion, il n'a été question de lui envoyer un quelconque sms afin, par exemple, qu'elle ait mon téléphone. Non rien. Et là, patatra, en total décalage avec l'enthousiasme et le sourire de l'échange, la fille me répond dans un message d'une froideur insensée (et en anglais s'il vous plaît) : "faux numéro". Pas de ponctuation, rien, que dalle, juste deux mots. Il n'y a rien de dramatique, mais ça me fout passablement sur le cul. J'envoie une réponse en disant que "je sais qu'elle plaisante", mais depuis, silence radio. Rien. Que dalle.
Ca n'a donc pas de sens, ai-je dit à un ami à qui j'ai raconté l'histoire. Personne de compétent (et malheureusement) ne m'a vu en live lors de cet abordage, mais comment est-ce possible de passer à une telle froideur le temps d'une petite heure et d'un sms tout bête ?
Je poursuis donc mon apprentissage du street (et de la séduction en général) en me maintenant à tout prix dans l'action, 2 ans après avoir enfin décidé de changer de vie. C'est pas trop tôt.
J'aborde une jeune Russe devant un magasin sur le mode "je t'ai trouvée sympa, donc je suis venu te parler". J'arrive devant le fille plutôt tranquille (en tout cas, la respiration normale et l'intonation normale... je crois), et prends la peine d'enlever mes lunettes de soleil au tout début de l'interaction. Tout a l'air de dérouler tout seul, à l'exception d'un instant où j'ai un peu de mal à parler. Mais la fille remplit un ou deux blancs, elle rit voire glousse, elle pose des questions perso... bref ! J'enchaîne donc sur une proposition de rdv au bout de 4-5 minutes, mais ne pense pas à lui suggérer un rdv instantané (j'étais pourtant dispo). Peu importe, car elle semble accepter et prend alors mon téléphone pour faire sonner le mien à ma demande. Pas de pb de faux numéro à venir, me dis-je, puisque son téléphone s'est affiché de lui-même sur le mien ! On se sert la main, et je repars.
Oui mais voilà. D'après une certaine méthode, je lui envoie un sms un peu plus d'une heure après l'interaction, pour lui dire en gros que j'étais content de l'avoir rencontrée. Notez qu'à aucun moment durant la discussion, il n'a été question de lui envoyer un quelconque sms afin, par exemple, qu'elle ait mon téléphone. Non rien. Et là, patatra, en total décalage avec l'enthousiasme et le sourire de l'échange, la fille me répond dans un message d'une froideur insensée (et en anglais s'il vous plaît) : "faux numéro". Pas de ponctuation, rien, que dalle, juste deux mots. Il n'y a rien de dramatique, mais ça me fout passablement sur le cul. J'envoie une réponse en disant que "je sais qu'elle plaisante", mais depuis, silence radio. Rien. Que dalle.
Ca n'a donc pas de sens, ai-je dit à un ami à qui j'ai raconté l'histoire. Personne de compétent (et malheureusement) ne m'a vu en live lors de cet abordage, mais comment est-ce possible de passer à une telle froideur le temps d'une petite heure et d'un sms tout bête ?