- Jeu Mar 17, 2016 11:05 pm
#177947
[quote="Anthony"]
"arithmétiquement" il faudrait une autre qualité mature qu'ont les garçons pour compenser cette avance et pouvoir affirmer qu'au bout du compte c'est pareil.
La conscience de leur non-maturité et le fait de moins vouloir jouer à l'adulte ainsi qu'une capacité plus forte sans être extraordinaire à tenir ses "engagements" (même pour un rendez-vous amical, les personnes qui diront oui puis non ou pire, ne se présenteront pas sans dire mot ni excuse seront des filles)! Ca fait trois mon général.
Bien sûr que la maturité ne se compte pas en plus et moins. Je souhaitais juste rétablir la vérité en changeant en terme de l'adage. Les filles ne sont pas plus matures que les garçons, elles ne sont que plus précocement dans (le jeu de) la séduction.
[quote="Anthony"]
Objection rejetée. Statistiquement si, plus on bosse plus les résultats sont bons, de manière globale. S'il n'y avait pas de corrélation entre le travail et la réussite, on ne pousserait pas nos enfants à travailler, on ne pourrait augmenter sa valeur par le travail.
On connait tous des gens qui bossent durs à l'école pour avoir de moins bonnes notes que ceux qui auront moins bossés mais qui assimilent plus vite. Les très bons élèves font plus partie de la seconde catégorie que de la première, ce qui signifie pas qu'ils ne font rien chez eux. On pousse nos enfants à travailler car c'est ce qui permet d'avoir plus de certitudes d'obtenir un bon résultat mais ce n'est pas une condition nécessaire et suffisante aux bons résultats scolaires.
[quote="Anthony"]
Etre infirmière ou enseignant (ou juriste, puisque les facs de droit grouillent de filles très scolaires) n'est pas du sabotage. Ce sont (à mes yeux du moins) des professions très valorisées. Après on n'a peut-être pas la même échelle de valeurs.
J'ai parlé de rémunération dans ma petite boutade jetée à ces professions pas . Les facultés de droit grouillent de filles très scolaires majoritairement issus de milieux sociaux plutôt élevées sinon elles font infirmières (en majorité). Même en parlant de nos chères futures avocates, elles n'occuperont pas les domaines les plus rémunérateurs du métier en général...mais ceux pour te rôtir quand tu divorceras!
[quote="Anthony"]
Ca se discuterait plus en profondeur ça tiens. Des vrais cancres séducteurs j'en ai vu, mais pas beaucoup. J'ai surtout vu des cancres cas sociaux qui n'avaient, par leur attitude et leur dégaine, aucune chance de séduire qui que ce soit.
Ah donc pour toi, un garçon qui s'en fout de sa scolarité est forcément un cancre? C'est très réducteur. Souviens-toi de tes années lycée, les garçons qui étaient les plus populaires et qui séduisaient le plus de filles n'étaient ni les intellos ni les cancres. Très souvent, ils avaient des notes plus ou moins moyennes sans que cela les préoccupent tant que cela (c'est dans ce sens-là qu'ils s'en foutent), ont souvent des appréciations qui ressemblent à "peut mieux faire" au fil des années, mais ils se distinguaient car ils étaient déjà dans la séduction par des moyens qui ont été maintes et maintes fois énoncés ici. Ces garçons-là vivaient en quelque sorte des vies de filles mais sans la valeur "corps", ce qui précipite leur chute quand ils ne sont pas issus d'un milieu social élevé.
[quote="Anthony"]
Je ne me moque pas, je constate (amèrement, puisque j'en ai fait partie).
Avoir peur d'une fille comme on a peur de se faire gronder par sa mère, est une attitude profonde très rattachée à l'enfance, donc à des lieues de la "maturité" dont on parle de façon générale. Ca n'empêche pas le mec de pouvoir exprimer une maturité dans un autre compartiment de la vie (vu que la maturité englobe plus que la simple séduction), mais personnellement j'en doute un peu. Je vois ça comme un état d'esprit global, et prendre la fille qu'on a devant soi pour sa mère (symboliquement) est peu compatible selon moi avec une attitude de guerrier, volontaire, de leadership et de sagesse qu'on observe souvent chez les hommes qualifiés de "matures".
Tout ceci est dû au différentiel d'épreuves et de mode d'attribution du droit d'entrée dans le jeu de la séduction entre les deux sexes. On en demande bien plus aux garçons/hommes qu'aux filles/femmes. Aussi étrange que cela puisse être, je constate que tu ne sembles point réaliser que si on indexe la maturité même en partie à des attitudes dans le jeu de la séduction, eh ben la maturité pour un homme et la maturité pour une femme seraient deux choses différentes. Partant de cette hypothèse, à part la séduction et les attentes/mansuétudes de la société, ce sont les seuls facteurs de différences donc on reviendrait à mon adage, elles ne sont pas plus matures mais plus dans la séduction et bénéficient de mansuétudes qui pardonnent leur tare.
"arithmétiquement" il faudrait une autre qualité mature qu'ont les garçons pour compenser cette avance et pouvoir affirmer qu'au bout du compte c'est pareil.
La conscience de leur non-maturité et le fait de moins vouloir jouer à l'adulte ainsi qu'une capacité plus forte sans être extraordinaire à tenir ses "engagements" (même pour un rendez-vous amical, les personnes qui diront oui puis non ou pire, ne se présenteront pas sans dire mot ni excuse seront des filles)! Ca fait trois mon général.
Bien sûr que la maturité ne se compte pas en plus et moins. Je souhaitais juste rétablir la vérité en changeant en terme de l'adage. Les filles ne sont pas plus matures que les garçons, elles ne sont que plus précocement dans (le jeu de) la séduction.
[quote="Anthony"]
Objection rejetée. Statistiquement si, plus on bosse plus les résultats sont bons, de manière globale. S'il n'y avait pas de corrélation entre le travail et la réussite, on ne pousserait pas nos enfants à travailler, on ne pourrait augmenter sa valeur par le travail.
On connait tous des gens qui bossent durs à l'école pour avoir de moins bonnes notes que ceux qui auront moins bossés mais qui assimilent plus vite. Les très bons élèves font plus partie de la seconde catégorie que de la première, ce qui signifie pas qu'ils ne font rien chez eux. On pousse nos enfants à travailler car c'est ce qui permet d'avoir plus de certitudes d'obtenir un bon résultat mais ce n'est pas une condition nécessaire et suffisante aux bons résultats scolaires.
[quote="Anthony"]
Etre infirmière ou enseignant (ou juriste, puisque les facs de droit grouillent de filles très scolaires) n'est pas du sabotage. Ce sont (à mes yeux du moins) des professions très valorisées. Après on n'a peut-être pas la même échelle de valeurs.
J'ai parlé de rémunération dans ma petite boutade jetée à ces professions pas . Les facultés de droit grouillent de filles très scolaires majoritairement issus de milieux sociaux plutôt élevées sinon elles font infirmières (en majorité). Même en parlant de nos chères futures avocates, elles n'occuperont pas les domaines les plus rémunérateurs du métier en général...mais ceux pour te rôtir quand tu divorceras!
[quote="Anthony"]
Ca se discuterait plus en profondeur ça tiens. Des vrais cancres séducteurs j'en ai vu, mais pas beaucoup. J'ai surtout vu des cancres cas sociaux qui n'avaient, par leur attitude et leur dégaine, aucune chance de séduire qui que ce soit.
Ah donc pour toi, un garçon qui s'en fout de sa scolarité est forcément un cancre? C'est très réducteur. Souviens-toi de tes années lycée, les garçons qui étaient les plus populaires et qui séduisaient le plus de filles n'étaient ni les intellos ni les cancres. Très souvent, ils avaient des notes plus ou moins moyennes sans que cela les préoccupent tant que cela (c'est dans ce sens-là qu'ils s'en foutent), ont souvent des appréciations qui ressemblent à "peut mieux faire" au fil des années, mais ils se distinguaient car ils étaient déjà dans la séduction par des moyens qui ont été maintes et maintes fois énoncés ici. Ces garçons-là vivaient en quelque sorte des vies de filles mais sans la valeur "corps", ce qui précipite leur chute quand ils ne sont pas issus d'un milieu social élevé.
[quote="Anthony"]
Je ne me moque pas, je constate (amèrement, puisque j'en ai fait partie).
Avoir peur d'une fille comme on a peur de se faire gronder par sa mère, est une attitude profonde très rattachée à l'enfance, donc à des lieues de la "maturité" dont on parle de façon générale. Ca n'empêche pas le mec de pouvoir exprimer une maturité dans un autre compartiment de la vie (vu que la maturité englobe plus que la simple séduction), mais personnellement j'en doute un peu. Je vois ça comme un état d'esprit global, et prendre la fille qu'on a devant soi pour sa mère (symboliquement) est peu compatible selon moi avec une attitude de guerrier, volontaire, de leadership et de sagesse qu'on observe souvent chez les hommes qualifiés de "matures".
Tout ceci est dû au différentiel d'épreuves et de mode d'attribution du droit d'entrée dans le jeu de la séduction entre les deux sexes. On en demande bien plus aux garçons/hommes qu'aux filles/femmes. Aussi étrange que cela puisse être, je constate que tu ne sembles point réaliser que si on indexe la maturité même en partie à des attitudes dans le jeu de la séduction, eh ben la maturité pour un homme et la maturité pour une femme seraient deux choses différentes. Partant de cette hypothèse, à part la séduction et les attentes/mansuétudes de la société, ce sont les seuls facteurs de différences donc on reviendrait à mon adage, elles ne sont pas plus matures mais plus dans la séduction et bénéficient de mansuétudes qui pardonnent leur tare.