- Ven Sep 19, 2014 8:50 am
#157962
Ce qui m'amuse, c'est que toute les Féministes veulent qu'on reconnaisse que les femmes sont logiques (dans un sens masculin), peuvent construire de grands projets, faire preuve de dépassement... Exclusivement des qualités H. Autrement dit, en voulant se séparer de l'H, elles se soumettent à ses critères d'évaluation du monde, à ses catégories: une F est heureuse d'être séduisante, elle s'en fout d'être logique. Ca va finir par des femmes qui n'auront ni logique, ni séduction.
On revient à ce vieux problème: se construire en négatif, ça marche pas.
Pour répondre à coug: certaines féministes ne sont pas extrémistes: celle qui ont une forte composante de H et qui cherche à être reconnu pour ce qu'elles font. J'ai une copine qui gère un festival, et quand on lui explique que la plupart des femmes n'ont aucune envie d'avoir des responsabilités et préfèrerai être dorlotée par un homme riche sur lequel elle calquerait leurs personnalités, elle s'énerve. Elle aimerait bien ne pas avoir à poser son autorité avec deux fois plus de fermeté que ce qu'elle devrait faire si elle était un homme. Dans ce genre de cas, je comprends et j'adhère.
Par contre, quand le féminisme n'est qu'un moyen de faire chier son père en voulant le singer, d'emmerder le monde avec des exigences totalement délirantes et incohérentes (j'en peux plus d'expliquer que la soi disant différence de 21% de salaire en H et F est bidon -la part inexpliquée est de 6%-) et de culpabiliser le monde (reproche qu'on pourrait faire à tout les militants, ou presque)
On revient à ce vieux problème: se construire en négatif, ça marche pas.
Pour répondre à coug: certaines féministes ne sont pas extrémistes: celle qui ont une forte composante de H et qui cherche à être reconnu pour ce qu'elles font. J'ai une copine qui gère un festival, et quand on lui explique que la plupart des femmes n'ont aucune envie d'avoir des responsabilités et préfèrerai être dorlotée par un homme riche sur lequel elle calquerait leurs personnalités, elle s'énerve. Elle aimerait bien ne pas avoir à poser son autorité avec deux fois plus de fermeté que ce qu'elle devrait faire si elle était un homme. Dans ce genre de cas, je comprends et j'adhère.
Par contre, quand le féminisme n'est qu'un moyen de faire chier son père en voulant le singer, d'emmerder le monde avec des exigences totalement délirantes et incohérentes (j'en peux plus d'expliquer que la soi disant différence de 21% de salaire en H et F est bidon -la part inexpliquée est de 6%-) et de culpabiliser le monde (reproche qu'on pourrait faire à tout les militants, ou presque)