By ornitorink - Ven Déc 27, 2013 2:12 am
- Ven Déc 27, 2013 2:12 am
#143311
[quote="john dilinger"]Mon expérience :
- Petite fille : père inexistant ou disparu (impression de rejet de la part du père)
- Femme : père présent et aimant
- Femmes très mâtures : père sévère, divorcé ou décédé (il n'y a pas eu de rejet de la part du père mais un lien tout de même traumatique avec lui)
Hmm pas vraiment d'accord avec toi dans le sens où j'ai quelques exemples qui vont à l'encontre de cette hypothèse.
Pour les Petite fille par exemple: je suis d'accord avec Dje et julethergo. Tu peux très bien avoir un père qui a été présent, mais comme c'était la petite dernière c'était sa "fifille", beaucoup plus gâtée que ses frères ou sœurs elle s'avère bien souvent capricieuse. Pour peu qu'elle soit jolie vous avez la reine des chieuses. Elle faisait déjà ce qu'elle voulait avec son père donc imaginez les pauvres bougres peu méfiants. Elle usera des mêmes stratagèmes qu'elle a expérimenté déjà toute petite avec son paternel.
Entretenant une relation presque fusionnel avec le père, ce sera en revanche (souvent) conflictuel avec la mère. Contrairement à ce qu'elle revendique, elle recherchera (inconsciemment) désespérément un mec qui lui posera un cadre, donc des limites.
Ensuite je dirais que tu pourras avoir tous ces types de personnalité quel que soit l’environnement familial. Si ce dernier joue tout de même un rôle important, il y a aussi quelque chose en nous d'inné que personne ne pourra changer (contrairement à ce que ces idiots de défenseurs de la théorie du genre pense). J'ai connu des nanas qui étaient détestables pour ne pas dire odieuses malgré un cadre familial idéal, alors que leurs frères et sœurs ne l'étaient pas du tout. (Il en va de même pour les hommes d'ailleurs). Inversement tu as des femmes qui peuvent être matures en ayant grandit dans des environnements exécrables.
Alors bien entendu ces exemples ne sont pas représentatifs de la majorité et restent plutôt rares, simplement cela montre qu'il y a d'autres éléments que l’environnement familial qui rentrent en jeu dans la construction de la personnalité. A mon avis pour les différents exemple que tu as cité, il faudrait également s'interroger sur l’environnement social dans lequel elles ont évolué, ainsi que son contexte. Après tout il n'y a pas que nos parents qui marquent notre existence.
- Petite fille : père inexistant ou disparu (impression de rejet de la part du père)
- Femme : père présent et aimant
- Femmes très mâtures : père sévère, divorcé ou décédé (il n'y a pas eu de rejet de la part du père mais un lien tout de même traumatique avec lui)
Hmm pas vraiment d'accord avec toi dans le sens où j'ai quelques exemples qui vont à l'encontre de cette hypothèse.
Pour les Petite fille par exemple: je suis d'accord avec Dje et julethergo. Tu peux très bien avoir un père qui a été présent, mais comme c'était la petite dernière c'était sa "fifille", beaucoup plus gâtée que ses frères ou sœurs elle s'avère bien souvent capricieuse. Pour peu qu'elle soit jolie vous avez la reine des chieuses. Elle faisait déjà ce qu'elle voulait avec son père donc imaginez les pauvres bougres peu méfiants. Elle usera des mêmes stratagèmes qu'elle a expérimenté déjà toute petite avec son paternel.
Entretenant une relation presque fusionnel avec le père, ce sera en revanche (souvent) conflictuel avec la mère. Contrairement à ce qu'elle revendique, elle recherchera (inconsciemment) désespérément un mec qui lui posera un cadre, donc des limites.
Ensuite je dirais que tu pourras avoir tous ces types de personnalité quel que soit l’environnement familial. Si ce dernier joue tout de même un rôle important, il y a aussi quelque chose en nous d'inné que personne ne pourra changer (contrairement à ce que ces idiots de défenseurs de la théorie du genre pense). J'ai connu des nanas qui étaient détestables pour ne pas dire odieuses malgré un cadre familial idéal, alors que leurs frères et sœurs ne l'étaient pas du tout. (Il en va de même pour les hommes d'ailleurs). Inversement tu as des femmes qui peuvent être matures en ayant grandit dans des environnements exécrables.
Alors bien entendu ces exemples ne sont pas représentatifs de la majorité et restent plutôt rares, simplement cela montre qu'il y a d'autres éléments que l’environnement familial qui rentrent en jeu dans la construction de la personnalité. A mon avis pour les différents exemple que tu as cité, il faudrait également s'interroger sur l’environnement social dans lequel elles ont évolué, ainsi que son contexte. Après tout il n'y a pas que nos parents qui marquent notre existence.
"Ne prenez pas la vie trop au sérieux; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant."