By john dilinger - Mar Déc 24, 2013 12:00 pm
- Mar Déc 24, 2013 12:00 pm
#143201
Dans votre vie amoureuse, vous devez avoir connu (dans les grandes lignes) deux catégories de femmes :
- les petites filles
- les femmes
Rien à voir avec l'âge mais avec le caractère :
- Les petites filles sont ces gamines boudeuses très instables qui sont dans l'excès (de sentiments comme de rancune). Ces émotions qui peuvent varier d'un extrême à l'autre font qu'on peut les confondre avec les signaux mixtes des femmes désintéressées et que certains hommes un peu méfiants (moi le premier) en restent souvent à l'écart.
Leur caractère hyper-sensible et à fleur de peau, qui sont générateur de crise cardiaque chez l'homme, les rend paradoxalement "attachiante" (par leur spontanéité).
- Les femmes ont un caractère beaucoup plus mâture et responsable. Elles sont dans la mesure. Elles ont construit leur goût au lieu d'être bêtement impressionnées par le "stylé". Elles ont la délicatesse. Elles ont une conversation enrichissante. Elles ont l'élégance.
Et contrairement aux premières, elles savent rendre leur homme serein par la modération de leurs émotions (passées au travers du filtre de la communication polie et mesurée).
Sans rentrer dans un débat sans fin inné vs. acquis, m'est d'avis que l'origine de ces caractères est en grande partie lié à l'éducation parentale, et plus particulièrement paternelle.
Par expérience, quelles relations entretenaient avec leur père les gamines/femmes que vous avez connues.
Mon expérience :
- Petite fille : père inexistant ou disparu (impression de rejet de la part du père)
- Femme : père présent et aimant
- Femmes très mâtures : père sévère, divorcé ou décédé (il n'y a pas eu de rejet de la part du père mais un lien tout de même traumatique avec lui)
- les petites filles
- les femmes
Rien à voir avec l'âge mais avec le caractère :
- Les petites filles sont ces gamines boudeuses très instables qui sont dans l'excès (de sentiments comme de rancune). Ces émotions qui peuvent varier d'un extrême à l'autre font qu'on peut les confondre avec les signaux mixtes des femmes désintéressées et que certains hommes un peu méfiants (moi le premier) en restent souvent à l'écart.
Leur caractère hyper-sensible et à fleur de peau, qui sont générateur de crise cardiaque chez l'homme, les rend paradoxalement "attachiante" (par leur spontanéité).
- Les femmes ont un caractère beaucoup plus mâture et responsable. Elles sont dans la mesure. Elles ont construit leur goût au lieu d'être bêtement impressionnées par le "stylé". Elles ont la délicatesse. Elles ont une conversation enrichissante. Elles ont l'élégance.
Et contrairement aux premières, elles savent rendre leur homme serein par la modération de leurs émotions (passées au travers du filtre de la communication polie et mesurée).
Sans rentrer dans un débat sans fin inné vs. acquis, m'est d'avis que l'origine de ces caractères est en grande partie lié à l'éducation parentale, et plus particulièrement paternelle.
Par expérience, quelles relations entretenaient avec leur père les gamines/femmes que vous avez connues.
Mon expérience :
- Petite fille : père inexistant ou disparu (impression de rejet de la part du père)
- Femme : père présent et aimant
- Femmes très mâtures : père sévère, divorcé ou décédé (il n'y a pas eu de rejet de la part du père mais un lien tout de même traumatique avec lui)
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.