- Mer Aoû 22, 2007 9:40 pm
#13016
Hello,
Je vous plante le lieu :Espagne, trois semaines de folie, avec tise pas chère, boite à touriste squattées par les parisiennes, locaux mal sapés donc contact visuel fréquents [ Sans compter les 'cute' des étrangères, qui font plaisir ] : bref, un régal et des k-closes les deux dernières semaines.
Venons en au sujet : la première semaine. Mes trois premiers jours passés, une connaissance me présente trois françaises, que je vais revoir quatre soirs consécutifs [ Le quatrième correspondant à leur départ ]. Je me rappelle des conseils de Spike, et, sans penser à closer [Vraiment, aucune ne me plaisait au départ, quoique parisiennes bien habillées, petites, ce qui est normalement plutôt mon genre], j’établis des relations à peu près égales avec toutes [ Eviter le cockblock ], je fais beaucoup de démonstration de valeur [ Elles sont parisiennes, c’est facile, je connais des amis dans leur bahut, et ceux qu’elles connaissent dans le mien. ] : sans draguer, ça reste de la sociabilisation [Socialisation ?]. Tout se passe bien, on est vraiment comme chien et chat, et le troisième jour, je me rends compte que l’une d’entre elle me plaît.
J’établis alors un contact physique pour une raison quelconque [Elle se fait toujours aborder par des mecs en boîte, et aime que je passe l’extirper des mains des gros lourds : le prétexte est trouvé] et quelques secondes plus tard, lorsqu’on est posé entre amis, elle m’invite à danser avec elle, au fond de la piste. Je me dis : on est bon pour le k-close. Et non, dès que je m’approche, elle s’éloigne. Je ne tente donc rien, je me dis ‘ friendzone ‘, mais après réflexion, c’était une bonne excuse pour ne pas me mouiller.
Elle parte le lendemain, j’ai pas mon portable, leur explique qu’on ne se reverra pas, qu’on s’oubliera, que ça ne sert à rien : elles m’écrivent alors leur numéro au stylo bic sur mon bras et me font promettre qu’on se verra dans un café dont je leur ai parlé, peu avant la rentrée.
Voilà le truc : j’ai proposé le café pour ne pas perdre contacte avec celle qui me plaît, même si j’aurais du, je m’en rends compte maintenant, la numcloser exclusivement. Je suis rentré de vacances hier, l’ai appelée le soir, elle n’a pas décroché, je n’ai pas laissé de message, elle n’a pas rappelé. Je comptais lui proposer une date, mais je prends cette absence de rappel comme un anti-IoI, et je me demande si je n’étais pas tout simplement en friend zone. Que fais-je ? Je sais qu’elles me contacteront pour ce fameux café [‘se seraient pas données tant de peine sinon ], mais je doute de réussir, lors d’une conversation à la trois, à la dater ; et aussi, disons le, j’espère faire ça avant la rentrée, pour pouvoir aligner les dates si ça se passe bien.
Mon propos est un peu décousu, merci de l’avoir lu.
C.
Je vous plante le lieu :Espagne, trois semaines de folie, avec tise pas chère, boite à touriste squattées par les parisiennes, locaux mal sapés donc contact visuel fréquents [ Sans compter les 'cute' des étrangères, qui font plaisir ] : bref, un régal et des k-closes les deux dernières semaines.
Venons en au sujet : la première semaine. Mes trois premiers jours passés, une connaissance me présente trois françaises, que je vais revoir quatre soirs consécutifs [ Le quatrième correspondant à leur départ ]. Je me rappelle des conseils de Spike, et, sans penser à closer [Vraiment, aucune ne me plaisait au départ, quoique parisiennes bien habillées, petites, ce qui est normalement plutôt mon genre], j’établis des relations à peu près égales avec toutes [ Eviter le cockblock ], je fais beaucoup de démonstration de valeur [ Elles sont parisiennes, c’est facile, je connais des amis dans leur bahut, et ceux qu’elles connaissent dans le mien. ] : sans draguer, ça reste de la sociabilisation [Socialisation ?]. Tout se passe bien, on est vraiment comme chien et chat, et le troisième jour, je me rends compte que l’une d’entre elle me plaît.
J’établis alors un contact physique pour une raison quelconque [Elle se fait toujours aborder par des mecs en boîte, et aime que je passe l’extirper des mains des gros lourds : le prétexte est trouvé] et quelques secondes plus tard, lorsqu’on est posé entre amis, elle m’invite à danser avec elle, au fond de la piste. Je me dis : on est bon pour le k-close. Et non, dès que je m’approche, elle s’éloigne. Je ne tente donc rien, je me dis ‘ friendzone ‘, mais après réflexion, c’était une bonne excuse pour ne pas me mouiller.
Elle parte le lendemain, j’ai pas mon portable, leur explique qu’on ne se reverra pas, qu’on s’oubliera, que ça ne sert à rien : elles m’écrivent alors leur numéro au stylo bic sur mon bras et me font promettre qu’on se verra dans un café dont je leur ai parlé, peu avant la rentrée.
Voilà le truc : j’ai proposé le café pour ne pas perdre contacte avec celle qui me plaît, même si j’aurais du, je m’en rends compte maintenant, la numcloser exclusivement. Je suis rentré de vacances hier, l’ai appelée le soir, elle n’a pas décroché, je n’ai pas laissé de message, elle n’a pas rappelé. Je comptais lui proposer une date, mais je prends cette absence de rappel comme un anti-IoI, et je me demande si je n’étais pas tout simplement en friend zone. Que fais-je ? Je sais qu’elles me contacteront pour ce fameux café [‘se seraient pas données tant de peine sinon ], mais je doute de réussir, lors d’une conversation à la trois, à la dater ; et aussi, disons le, j’espère faire ça avant la rentrée, pour pouvoir aligner les dates si ça se passe bien.
Mon propos est un peu décousu, merci de l’avoir lu.
C.
Modifié en dernier par C. le Jeu Aoû 23, 2007 7:55 pm, modifié 1 fois.