- Mar Juil 15, 2014 1:10 am
#155500
Je ne poste pas souvent ici faisant partie de ces drôles de gens estimant que si l'on a rien d'intéressant à apporter au débat il vaut mieux se taire ... Cela dit je sors de ma retraite pour recueillir vos opinions sur un phénomène que j'ai ignoré quelques temps mais qui s'amplifie de plus en plus au point qu'il en vient faire baisser mon énergie au quotidien.
Sous ce titre trompeur ne se cache pas le sujet, peut-être anticipé par certains, de la lassitude dans le couple mais bel et bien de la lassitude face au "jeu de la séduction".
Je parle ici sans réel recul sur ma situation tant sur mon réel "niveau" en séduction, aussi suranné que peut l'être ce concept, que sur les émotions qui m'assaillent en ce moment et que j'arrive de moins en moins à contrôler. Néanmoins tout point de vu peut-être bon à prendre, d'autant plus si ils sont prodigués par des personnes pragmatiques et n'hésitant à appuyer là ou ça fait mal.
Pour la petite histoire je suis à nouveau célibataire depuis plusieurs mois, suite à un déménagement sur Paris et à une ouverture à ce que j’appellerais le champ des possibles. Après une courte pause introspective j'ai bien du me rendre à l'évidence : quand t'as le gourdin, t'as le gourdin ! Je suis donc reparti sur les chemins de la séduction. Fort d'un physique pas trop désagréable selon certains critères et d'un caractère à l'avenant dans mes meilleurs moments j'ai enchaîné mon lot de belles aventures et de déceptions. On passera outre mes éventuelles erreurs de timing avec certaines ou mon trop grand détachement à l'égard d'autres pour ne retenir qu'un constat j'ai tendance à être trop enthousiaste et à parfois vouloir aller trop vite, dans un élan surprotecteur qui est probablement un des relents de gentil garçon dont je n'arrive pas à me débarrasser.
Toujours est-il qu'en cette douce soirée du 14 juillet je me sens las. Las de cette nuit de samedi où un léger accès de faiblesse a probablement fortement compromis mes chances avec une charmante personne. Las d'être puni d'avoir eu l'audace de me montrer peut-être trop intéressé, trop vite. Las de ces règles tacites qui, si elles m'amusent parfois, m'épuisent souvent. Las d'avoir l'impression de ne pas pouvoir aspirer parfois a un peu de simplicité dans les rapports humains, et plus particulièrement dans les rapports avec les femmes dès qu'on y introduit les variantes sexe et séduction.
Ma question est donc simple et s'adresse plus particulièrement à ceux qui ont, ou n'ont pas d'ailleurs ce qui serait tout aussi intéressant, ressenti ce sentiment : cette lassitude est-elle un chemin inévitable ?
Sous ce titre trompeur ne se cache pas le sujet, peut-être anticipé par certains, de la lassitude dans le couple mais bel et bien de la lassitude face au "jeu de la séduction".
Je parle ici sans réel recul sur ma situation tant sur mon réel "niveau" en séduction, aussi suranné que peut l'être ce concept, que sur les émotions qui m'assaillent en ce moment et que j'arrive de moins en moins à contrôler. Néanmoins tout point de vu peut-être bon à prendre, d'autant plus si ils sont prodigués par des personnes pragmatiques et n'hésitant à appuyer là ou ça fait mal.
Pour la petite histoire je suis à nouveau célibataire depuis plusieurs mois, suite à un déménagement sur Paris et à une ouverture à ce que j’appellerais le champ des possibles. Après une courte pause introspective j'ai bien du me rendre à l'évidence : quand t'as le gourdin, t'as le gourdin ! Je suis donc reparti sur les chemins de la séduction. Fort d'un physique pas trop désagréable selon certains critères et d'un caractère à l'avenant dans mes meilleurs moments j'ai enchaîné mon lot de belles aventures et de déceptions. On passera outre mes éventuelles erreurs de timing avec certaines ou mon trop grand détachement à l'égard d'autres pour ne retenir qu'un constat j'ai tendance à être trop enthousiaste et à parfois vouloir aller trop vite, dans un élan surprotecteur qui est probablement un des relents de gentil garçon dont je n'arrive pas à me débarrasser.
Toujours est-il qu'en cette douce soirée du 14 juillet je me sens las. Las de cette nuit de samedi où un léger accès de faiblesse a probablement fortement compromis mes chances avec une charmante personne. Las d'être puni d'avoir eu l'audace de me montrer peut-être trop intéressé, trop vite. Las de ces règles tacites qui, si elles m'amusent parfois, m'épuisent souvent. Las d'avoir l'impression de ne pas pouvoir aspirer parfois a un peu de simplicité dans les rapports humains, et plus particulièrement dans les rapports avec les femmes dès qu'on y introduit les variantes sexe et séduction.
Ma question est donc simple et s'adresse plus particulièrement à ceux qui ont, ou n'ont pas d'ailleurs ce qui serait tout aussi intéressant, ressenti ce sentiment : cette lassitude est-elle un chemin inévitable ?