- Mer Fév 26, 2014 3:48 pm
#147269
J’ai évoqué ici http://www.spikeseduction.com/articles/ ... apres.html le fait de ne pas plaquer le patron de la « méthode », sur tous les tissus. Je vous ai aussi promis de vous donner la réponse que m’a donnée cette fille, sur son attitude du « pas en arrière » (puisque nous sommes toujours ensemble).
Quand on vous propose une méthode, il est sage de se demander quelles ont été les conditions de son élaboration. Une fois que vous avez identifié la distance qui la sépare de vos propres conditions de vie, vous pouvez l’appliquer avec intelligence.
Où je veux en venir ? Paris est la capitale d’un Etat centralisé. C’est une banalité digne d’un collégien de 3ème, nourri au kinder délice et au biactol. Et alors me direz-vous ? La conséquence est qu’il y’a peu de chance de trouver la réalité de cette ville ailleurs en Province. Il en va du rythme de vie, de ce que les gens portent sur eux, et je vous le donne dans le mille… des relations sociales en général. N’imaginez pas non plus que l’auteur de ces lignes vous écrit en bottes en caoutchouc, pleines de bouse de vache, avant d’aller traire son bétail hein. Je ne suis pas non plus en train de faire une Sociologie des petites villes. Je vous soumets simplement mon sentiment.
Plus précisément, le problème selon beaucoup de contributeurs (que je salue d'avoir pris leur clavier pour me répondre) est que 3 mois et demi est trop tôt pour faire entrer une personne qui vous plaît, dans votre sphère familiale. Je pense que cela est vrai… Si l’histoire se déroulait à Paris. Je pense que l’accélération des flux dans la capitale, les relations plus empreintes de mondanité, au sens large comme : ce que la proximité du pouvoir et de l’argent peux avoir comme influence sur les gens qui vivent à son contact, font que quand vous rencontrez quelqu’un qui vous plaît, il est sage de ralentir la cadence (relativement à ce que font la plupart des gens). Ne vous vexez pas. Je ne dis pas que les parisiens sont tous de jeunes cadres dynamiques et ambitieux et les parisiennes des femmes vénales, comme je vous mets en garde contre l’image des bouseux provinciaux, vides de culture (sans jeu de mot). Je mets simplement en évidence des tendances de fond. C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis que je suis Spikeseduction, vos réactions sont pour moi l’occasion de la verbaliser. Prenez-la pour ce qu’elle est.
Enfin pour ceux que cela intéresse : oui, avec le recul je reconnais avoir été trop rapide et exigeant. Mais ce qui a fait reculer cette fille est moins son niveau d’intérêt, que la construction de l’image qu’elle s’était faite de moi. En effet, l’aisance sociale que m’a apporté Spikeseduction, me permet aujourd’hui d’aborder, avec un ami, un groupe de filles qui fêtent l’anniversaire de l’une d’elles, pour socialiser et profiter de leur énergie, sans autre raison que pour le plaisir de le faire (et de se faire payer quelques verres au passage, je l’avoue). On lit ici regretter de voir autant de gens sortir boire des bières entre mecs. J’en suis convaincu. Dites-vous que cette réalité est tellement la norme en Province, que la personne qui ose aborder d’autres groupes, est reléguée d’office au rang de séducteur de bas étages pour ceux qui vous regardent de l’extérieur, mettant un masque de paroles devant ses intentions inavouables. C’est, en substance, ce qui fait que certains d’entre-vous ont peut-être remarqué qu’il leur est plus facile de séduire lorsqu’ils quittent la capitale. Le revers de la médaille est que cette aisance fait peur si elle est mal dosée et qu’elle n’est pas expliquée.
Pour moi la méthode Spike est universelle, jusqu’au moment où vous arrivez à faire la différence entre les personnes que vous avez en face de vous.
Qu’en pensez-vous ?
Quand on vous propose une méthode, il est sage de se demander quelles ont été les conditions de son élaboration. Une fois que vous avez identifié la distance qui la sépare de vos propres conditions de vie, vous pouvez l’appliquer avec intelligence.
Où je veux en venir ? Paris est la capitale d’un Etat centralisé. C’est une banalité digne d’un collégien de 3ème, nourri au kinder délice et au biactol. Et alors me direz-vous ? La conséquence est qu’il y’a peu de chance de trouver la réalité de cette ville ailleurs en Province. Il en va du rythme de vie, de ce que les gens portent sur eux, et je vous le donne dans le mille… des relations sociales en général. N’imaginez pas non plus que l’auteur de ces lignes vous écrit en bottes en caoutchouc, pleines de bouse de vache, avant d’aller traire son bétail hein. Je ne suis pas non plus en train de faire une Sociologie des petites villes. Je vous soumets simplement mon sentiment.
Plus précisément, le problème selon beaucoup de contributeurs (que je salue d'avoir pris leur clavier pour me répondre) est que 3 mois et demi est trop tôt pour faire entrer une personne qui vous plaît, dans votre sphère familiale. Je pense que cela est vrai… Si l’histoire se déroulait à Paris. Je pense que l’accélération des flux dans la capitale, les relations plus empreintes de mondanité, au sens large comme : ce que la proximité du pouvoir et de l’argent peux avoir comme influence sur les gens qui vivent à son contact, font que quand vous rencontrez quelqu’un qui vous plaît, il est sage de ralentir la cadence (relativement à ce que font la plupart des gens). Ne vous vexez pas. Je ne dis pas que les parisiens sont tous de jeunes cadres dynamiques et ambitieux et les parisiennes des femmes vénales, comme je vous mets en garde contre l’image des bouseux provinciaux, vides de culture (sans jeu de mot). Je mets simplement en évidence des tendances de fond. C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis que je suis Spikeseduction, vos réactions sont pour moi l’occasion de la verbaliser. Prenez-la pour ce qu’elle est.
Enfin pour ceux que cela intéresse : oui, avec le recul je reconnais avoir été trop rapide et exigeant. Mais ce qui a fait reculer cette fille est moins son niveau d’intérêt, que la construction de l’image qu’elle s’était faite de moi. En effet, l’aisance sociale que m’a apporté Spikeseduction, me permet aujourd’hui d’aborder, avec un ami, un groupe de filles qui fêtent l’anniversaire de l’une d’elles, pour socialiser et profiter de leur énergie, sans autre raison que pour le plaisir de le faire (et de se faire payer quelques verres au passage, je l’avoue). On lit ici regretter de voir autant de gens sortir boire des bières entre mecs. J’en suis convaincu. Dites-vous que cette réalité est tellement la norme en Province, que la personne qui ose aborder d’autres groupes, est reléguée d’office au rang de séducteur de bas étages pour ceux qui vous regardent de l’extérieur, mettant un masque de paroles devant ses intentions inavouables. C’est, en substance, ce qui fait que certains d’entre-vous ont peut-être remarqué qu’il leur est plus facile de séduire lorsqu’ils quittent la capitale. Le revers de la médaille est que cette aisance fait peur si elle est mal dosée et qu’elle n’est pas expliquée.
Pour moi la méthode Spike est universelle, jusqu’au moment où vous arrivez à faire la différence entre les personnes que vous avez en face de vous.
Qu’en pensez-vous ?