- Mar Nov 06, 2012 12:45 pm
#128186
[size=50]Bien que le changement soit un terme largement galvaudé depuis que... Enfin bref[/size]
Idée de topic faisant suite à une discussion avec Dilinger.
En arrivant sur le forum, comme beaucoup ici d'entre nous, j'ai pris une claque dans la gueule.
Quelque part entre l'incompréhension (comment c'est possible ?) et l'excitation de nouvelles perspectives qui s'ouvrent.
Du travail, des rencontres, de la progression, des récompenses (et des gadins). Cette progression s'explique par une meilleur compréhension/connaissance des relations homme/femme et par la pratique. Elle s'accompagne également d'un rejet des croyances limitantes qui nous a tant bloqué.
Néanmoins, force est de constater qu'au final, il reste certains points qui connaissent qu'une faible marge de progression — voire nulle. De mon côté, elles sont largement connues :
– Réticence à l'abordage de manière non circonstanciée
Soit ce que appelle le « direct game » ;
– Ne pas accepter lorsqu'une personne ne m'apprécie pas
Soit, quelque part, une certaine demande de validation ;
– Inquiétude, quelque part, du regard des gens (parler fort dans le métro, oser aborder dans le métro devant du monde).
Ces trois points clairement identifiés, il m'a fallu alors réfléchir à pourquoi ceux-ci ont connus une faible progression. Y a-t-il un point commun ?
Je crois l'avoir trouvé.
Ces points me caractérisent depuis l'enfance : ils font quelque part partie de ma construction socio-affective. Même petit, je n'acceptais pas qu'on ne m'aime pas, du moins je ne le comprenais pas. Petit, j'ai toujours eu une forme de réticence à transgresser.
Conséquence(s) ? J'y viens.
Lors de nos sorties avec Dilinger, on se dit tout sur nos attitudes — bonnes ou moins bonnes — et ce, dans une optique d'amélioration. Il me confiait, en observateur neutre [size=50] (sexy aussi, si une fille passe par là sait-on jamais... )[/size]qu'il est, que je cherchais trop à ne pas vouloir déplaire, ce qui se traduit tout simplement par une envie de plaire tout cours. Augustin en a d'ailleurs fait quelques réflexions très intéressantes [url=http://www.spikeseduction.com/forum/le-seducteur-et-l-amie-vt10226.html#p126378]ici[/url] [size=50]Moi, faire de la pub pour mon topic, non non [/size]
De cette envie de plaire découle un manque de détachement. Manque de détachement qui me fait perdre en efficacité. Alors évidemment, ça ne veut pas dire que je finis solo toute la soirée loin de là. Ce que j'explique, c'est que si un ami est capable de détecter ce manque de détachement, les filles doivent le sentir encore plus. Et j'ai conscience que ça peut être handicapant dans mon entreprise de séduction.
D'où ma question qui s'adresse aux expérimentés (ou à ceux qui voient à peu près ce que je veux dire).
À un moment donné, on se rend compte qu'il peut exister une contradiction entre, d'une part, sa personnalité (ou même construction socio-affective) et, d'autre part, les exigeances du « Game ».
Comment avez-vous réussi à la gérer ; et existe-t-il des éléments non modifiables parce que profondément ancrés en nous ?
Idée de topic faisant suite à une discussion avec Dilinger.
En arrivant sur le forum, comme beaucoup ici d'entre nous, j'ai pris une claque dans la gueule.
Quelque part entre l'incompréhension (comment c'est possible ?) et l'excitation de nouvelles perspectives qui s'ouvrent.
Du travail, des rencontres, de la progression, des récompenses (et des gadins). Cette progression s'explique par une meilleur compréhension/connaissance des relations homme/femme et par la pratique. Elle s'accompagne également d'un rejet des croyances limitantes qui nous a tant bloqué.
Néanmoins, force est de constater qu'au final, il reste certains points qui connaissent qu'une faible marge de progression — voire nulle. De mon côté, elles sont largement connues :
– Réticence à l'abordage de manière non circonstanciée
Soit ce que appelle le « direct game » ;
– Ne pas accepter lorsqu'une personne ne m'apprécie pas
Soit, quelque part, une certaine demande de validation ;
– Inquiétude, quelque part, du regard des gens (parler fort dans le métro, oser aborder dans le métro devant du monde).
Ces trois points clairement identifiés, il m'a fallu alors réfléchir à pourquoi ceux-ci ont connus une faible progression. Y a-t-il un point commun ?
Je crois l'avoir trouvé.
Ces points me caractérisent depuis l'enfance : ils font quelque part partie de ma construction socio-affective. Même petit, je n'acceptais pas qu'on ne m'aime pas, du moins je ne le comprenais pas. Petit, j'ai toujours eu une forme de réticence à transgresser.
Conséquence(s) ? J'y viens.
Lors de nos sorties avec Dilinger, on se dit tout sur nos attitudes — bonnes ou moins bonnes — et ce, dans une optique d'amélioration. Il me confiait, en observateur neutre [size=50] (sexy aussi, si une fille passe par là sait-on jamais... )[/size]qu'il est, que je cherchais trop à ne pas vouloir déplaire, ce qui se traduit tout simplement par une envie de plaire tout cours. Augustin en a d'ailleurs fait quelques réflexions très intéressantes [url=http://www.spikeseduction.com/forum/le-seducteur-et-l-amie-vt10226.html#p126378]ici[/url] [size=50]Moi, faire de la pub pour mon topic, non non [/size]
De cette envie de plaire découle un manque de détachement. Manque de détachement qui me fait perdre en efficacité. Alors évidemment, ça ne veut pas dire que je finis solo toute la soirée loin de là. Ce que j'explique, c'est que si un ami est capable de détecter ce manque de détachement, les filles doivent le sentir encore plus. Et j'ai conscience que ça peut être handicapant dans mon entreprise de séduction.
D'où ma question qui s'adresse aux expérimentés (ou à ceux qui voient à peu près ce que je veux dire).
À un moment donné, on se rend compte qu'il peut exister une contradiction entre, d'une part, sa personnalité (ou même construction socio-affective) et, d'autre part, les exigeances du « Game ».
Comment avez-vous réussi à la gérer ; et existe-t-il des éléments non modifiables parce que profondément ancrés en nous ?