- Jeu Nov 12, 2015 11:52 am
#174509
[quote="mwu"][quote="pantin"]Nous savons aujourd'hui que l'être humain n'est pas artificiellement divisé entre raison et émotion, il y a une interaction permanente et profonde entre ces niveaux.
Connais tu la théorie des trois cerveaux?
Noyau profond: réptilien (attaque, défense), limbique (émotionnel + ou -) et néocortex (fonctions d'abstraction...)
Juste pour le côté neurobiologie détruisons quelques mythes : les deux hémisphères ne sont pas indépendants ou spécialisés dans une fonction, et la division du cerveau "en trois" est toute aussi fausse. Pour la petite histoire la théorie à un nom "triune brain", elle fut suivis dans les années 80 puis la science évolua^^
Elle a une certaine vertu (la vision purement binaire du vrai/faux n'étant pas totalement applicable en science), celle de la pédagogie, c'était mon objectif ici. Dans le cerveau tout fonctionne ensemble tout le temps, et on a autant de spécialisations (modules si, si exemple: le traitement des noms est modulaire) que de compensation par une autre zone.
Sur les recherches émotionnelles longtemps délaissées, elles émergent seulement et on ne peut simplement dire que un cerveau non doté de traitements efficaces d'infos limbiques est profondément inadapté au monde social l'autisme. Pourtant ils sont capables de performances cognitives complexes. (pas tous)
Seulement c'est rendre compte du processus complet qu'on ne sait pas (encore faire), notamment au niveau des propriétés émergentes du cerveau.
Pardon, mais j'ai geeké.
Connais tu la théorie des trois cerveaux?
Noyau profond: réptilien (attaque, défense), limbique (émotionnel + ou -) et néocortex (fonctions d'abstraction...)
Juste pour le côté neurobiologie détruisons quelques mythes : les deux hémisphères ne sont pas indépendants ou spécialisés dans une fonction, et la division du cerveau "en trois" est toute aussi fausse. Pour la petite histoire la théorie à un nom "triune brain", elle fut suivis dans les années 80 puis la science évolua^^
Elle a une certaine vertu (la vision purement binaire du vrai/faux n'étant pas totalement applicable en science), celle de la pédagogie, c'était mon objectif ici. Dans le cerveau tout fonctionne ensemble tout le temps, et on a autant de spécialisations (modules si, si exemple: le traitement des noms est modulaire) que de compensation par une autre zone.
Sur les recherches émotionnelles longtemps délaissées, elles émergent seulement et on ne peut simplement dire que un cerveau non doté de traitements efficaces d'infos limbiques est profondément inadapté au monde social l'autisme. Pourtant ils sont capables de performances cognitives complexes. (pas tous)
Seulement c'est rendre compte du processus complet qu'on ne sait pas (encore faire), notamment au niveau des propriétés émergentes du cerveau.
Pardon, mais j'ai geeké.