Séduction & dynamiques sociales : articles, analyses et questions

Modérateurs: animal, Léo

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By Stéphane
#133549 http://www.spikeseduction.com/articles/ ... quees.html

[url=http://www.spikeseduction.com/articles/seduction-avance/12916_rencontres-femmes-russes-expliquees.html][img]http://www.spikeseduction.com/wp-content/uploads/2013/04/femmes-russes-expliquees.jpg[/img][/url]
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By Stéphane
#133558 Juste après avoir publié cet article, regardez ce qui est apparu sur mon profil facebook :

[img]http://www.spikeseduction.com/wp-content/uploads/imagewell/russiancupid.jpg[/img]

On ne serait pas un peu espionnés ? Nnoooooooooon......
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By Bruno84
#133571 Merci pour cet article Anton. je n'ai aucune expérience en ce qui concerne les russes mais je me suis posé une question à la fin de ma lecture.

Stéphane dans un article ou un récent séminaire parle de l'aspect assez spécial au niveau de la sexualité dans le fait qu'elles s'offrent aux hommes pour que, une fois fini, on ne puisse plus la toucher. c'est aussi une différence purement culturelle ?
(du même genre que la scandinave qui, contrairement à la française, vous dit quand elle ne prends pas de plaisir avec vous)
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By Romain
#133592 [quote="Stéphane"]Juste après avoir publié cet article, regardez ce qui est apparu sur mon profil facebook :

[img]http://www.spikeseduction.com/wp-content/uploads/imagewell/russiancupid.jpg[/img]

On ne serait pas un peu espionnés ? Nnoooooooooon......

Oh ne t'inquiète pas pour celui là, tout le monde l'a.
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By Stéphane
#157777 Voilà le genre de femmes que ça peut devenir et voilà le genre de mec auxquels elles sont habituées :

https://www.facebook.com/video.php?v=791552134201435

Still wanna go ? ;)
By Anthony
#157780 Quand j'allais aux US il y avait un programme tout aussi alléchant et reluisant pour la femme américaine, ça s'appelait "Bad Girls Club" et je suis resté scotché devant pendant 5 bonnes minutes les yeux écarquillés :shock:
By UnfixedCat
#157790 En fait, c'est surtout un comportement typique de "quart-mondistes" ou de campagnards.

Pas besoin d'aller cherchez des russes pour voir de tels agissements, il suffit d'être assez dingue pour s'aventurer dans un "club" à la campagne pour voir que beaucoup de conflits se règlent encore à coups de beignes voire à coups de batons.
Même ici (ville de 150 000 habitants) il y a certaines zones où dès le jeudi soir il y a moyen de maillocher très facilement passé minuit.

Ennui profond, misère intellectuelle, alcool et shit comme loisirs principaux : mêmes résultats.
By James ex S
#157801 Mis à part les mecs qui lèvent la main assez facilement sur les femmes, est-ce que c'est vraiment différent des télé-réalité façon les anges de la télé-réalité, Jersey-Shore ou autre Secret Story. Sauf que chez nous, 4 molosses débarquent dès que le ton monte et ils ne laissent que rarement une dispute dégénérer.


[quote]En fait, c'est surtout un comportement typique de "quart-mondistes" ou de campagnards.

Pas besoin d'aller cherchez des russes pour voir de tels agissements, il suffit d'être assez dingue pour s'aventurer dans un "club" à la campagne pour voir que beaucoup de conflits se règlent encore à coups de beignes voire à coups de batons.
Même ici (ville de 150 000 habitants) il y a certaines zones où dès le jeudi soir il y a moyen de maillocher très facilement passé minuit.

Ennui profond, misère intellectuelle, alcool et shit comme loisirs principaux : mêmes résultats.
Vécu encore le week-end passé et quasiment chaque soir ou je bosse de nuit.
By mwu
#157804 [quote="UnfixedCat"]
Même ici (ville de 150 000 habitants) (...)


Village, hammeau, lieu dit :mrgreen:

Il y a un aspect cognitif à ne pas négliger dans ces émissions, à part les pro du show-biz qui monte les créent, montent et difusent (et se font pas mal dans l'histoire) tous les participants sont généralement des débilos profonds... ici, en russie et partout ailleurs.
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By Maurice
#157807 D'où l'expression sans dents ? :D :arrow:

***

Un mot cependant sur les pauvres, puisque j'ai connu il y a maintenant longtemps, la pauvreté moi-même (la vraie, celle qui vous laisse 100 euro par mois pour vous nourrir et vous habiller). On peut être digne et pauvre, cultivé et pauvre, intéressant et pauvre. La pauvreté est une (excellente) école que je conseille : on ne s'en laisse plus compter après ça par le clinquant de ceux qui veulent en imposer. Le danger de la pauvreté, c'est d'avoir honte du peu de moyens dont on dispose et de se lancer à corps perdu à la recherche d'un eldorado et des signes de richesse qui peut mal tourner. Du temps où j'étais pauvre, je n'en avais absolument pas honte, je menais une vie relativement ascétique sinon monacale et je me cultivais (voire me formais selon la manière qui me convenait), à moitié coupé du monde. Volontairement.

Dans les descriptions que Pierre-Jakez Helias fait de la Bretagne au début du siècle dernier, il parle de gens pauvres et on se rend compte de toute la culture que ces gens avaient et qui correspond au milieu dans lequel ils vivent (bien plus étendu que la majorité des bacheliers à notre époque). Les jeunes hommes sont certes, alccol aidant, des bagarreurs du samedi soir, le but étant de montrer sa virilité contre le village d'en face dans une lutte pour les femmes qui ne dit pas son nom. Ce sont souvent des rixes brèves qui doivent "s'arrêter au premier sang", comme on dit. C'est peut-être même plus digne que de se pavaner sur telle ou telle avenue à la mode au volant d'une Lamborghini.

Certes donc, on peut être pauvre, con, ignare et ennuyeux, et malheureusement, avec des instruments à blanchir le cerveau, comme la télévision, ça devient un peu la norme.
Ceci étant, on peut aussi être riche, con, ignare et ennuyeux, c'est d'ailleurs très fréquent et se rendre compte qu'en grattant un peu sous le vernis, tout ça est bien vermoulu (ceci est d'autant plus vrai que les riches aussi utilisent des instruments à blanchir le cerveau).

On ne confondra évidemment pas la pauvreté et la misère. Contrairement à ce qu'on ne cesse de nous dire pour justifier que des abrutis mettent leur quartier à feu, brûlent les voitures etc, il n'y a pas de drame à être pauvre (c'est juste que c'est difficile et qu'il faut faire attention, c'est en cela que ce n'est pas une situation inintéressante), il y a par contre un drame à être dans la misère.
By Rose Selavy
#157811 [quote="Maurice"]
Un mot cependant sur les pauvres, puisque j'ai connu il y a maintenant longtemps, la pauvreté moi-même (la vraie, celle qui vous laisse 100 euro par mois pour vous nourrir et vous habiller). On peut être digne et pauvre, cultivé et pauvre, intéressant et pauvre. La pauvreté est une (excellente) école que je conseille : on ne s'en laisse plus compter après ça par le clinquant de ceux qui veulent en imposer. Le danger de la pauvreté, c'est d'avoir honte du peu de moyens dont on dispose et de se lancer à corps perdu à la recherche d'un eldorado et des signes de richesse qui peut mal tourner. Du temps où j'étais pauvre, je n'en avais absolument pas honte, je menais une vie relativement ascétique sinon monacale et je me cultivais (voire me formais selon la manière qui me convenait), à moitié coupé du monde. Volontairement.

100 fois oui. Tant d'esclaves ou miséreux nous ont laissés d'ailleurs des oeuvres incroyables.

Le gros inconvénient d'être pauvre, c'est encore de devoir en côtoyer.
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By Maurice
#157814 [quote="Rose Selavy"]
100 fois oui. Tant d'esclaves ou miséreux nous ont laissés d'ailleurs des oeuvres incroyables.

Le gros inconvénient d'être pauvre, c'est encore de devoir en côtoyer.

Encore une fois, il ne faut certainement pas confondre esclave, miséreux et pauvre.
On peut être d'ailleurs esclave et riche (suivez mon regard du côté de l'Antiquité). On peut aussi être semi-esclave (cf le statut du dhimmi) et riche, tout en ayant une existence parfaitement précaire à court ou moyen terme.

Quant à être riche, je dirais que son gros désavantage est d'être amené aussi à en côtoyer.

L'important n'est d'ailleurs pas de savoir qui l'on côtoie, mais ce que l'on devient, et ensuite, c'est à chacun de mener sa barque, à travers le peu de liberté qu'on veut bien nous accorder encore pour un temps. Ceci étant, il est clair que vivre dans des tours ou des lotissements cernés de supermarchés, de parkings et de voitures, où tout respire le fonctionnalisme, où tout est sensé avoir une utilité selon des critères anesthétiques venus d'outre-atlantique, où tout est absolument privé de charme, où tout sent le préfabriqué, l'industriel, le cube, la ligne droite et la série, ne contribue pas à un devenir serein.

Mais, je dois dire que je ne vois pas comment le fait de côtoyer ce genre de salauds qui se sont - beaucoup ou modérément - enrichis à fabriquer ce genre de monde dans lequel beaucoup - riches et pauvres - vivent et où tout n'est qu'utilité immédiate, pourrait aider en quoi que ce soit à mon épanouissement personnel, bien au contraire ! Par exemple, il ne me viendrait pas à l'esprit de devenir ami avec un de ceux qui se vantent d'un diplôme frelaté d'architecture, étant donné que je le rangerais assurément dans la catégorie "nuisible" et "ennemis du genre humain". :D