- Jeu Aoû 30, 2012 2:24 am
#125511
Ma rencontre avec Stan récemment m'a redonné le goût d'écrire mes histoires de rencontre. En voici une autre, faite à la même époque.
Durant la mi-août de l'année dernière, je rencontrais Valérie [url=http://www.spikeseduction.com/forum/un-train-nomme-desir-vt10118.html]dans le train[/url] qui me ramenait chez moi. Femme d'âge mûr, et d'une grande sensibilité et féminité, elle m'a apporté beaucoup sur le plan affectif autant que culturel. Pourtant, cette barrière de l'âge ne m'a jamais autorisé à la voir autrement que comme "l'autre femme". Il y avait Valérie d'un côté, les filles de mon âge de l'autre. Et si sur le plan horizontal aussi Valérie m'apportait beaucoup les weekend où je la rejoignais chez elle, les filles restaient pour moi synonyme de désir. Une en particulier.
Mathilde. Elle faisait le même stage que moi cet été où j'ai rencontré Valérie. Devinez où ? A la SNCF. Comble de la cohérence que de faire ma rencontre avec Valérie dans un TGV alors que je travaillais pour l'entreprise des chemins de fer ?
Bon, et si maintenant je vous dit que Valérie travaillait aussi dans cette entreprise...
Et bien vous me direz qu'au lieu de m'inscrire à des soirées speed-dating à Paris je ferais mieux de renouveler ma carte 12-25.
Mais je digresse et passe de Valérie à Mathilde un peu trop facilement alors que, pourtant, un fossé les sépare.
Mathilde donc.
Je travaillais sur les quais à ce moment-là, mon rôle se bornant à passer de la salle d'accueil aux quais en informant en passant les voyageurs qui me sollicitaient. Un des grands avantages de ce boulot étant d'avoir une accroche toute trouvée pour discuter avec les jolies petites bourgeoises à la peau matifiée par le soleil en partance pour La Rochelle (dont j'avais pris le numéro de l'une d'elle pour le jeu, mes chances de la revoir dans une ville commune étant forcément très maigres).
Avant l'arrivée de Mathilde, le début de ce mois de stage était très simple et très oisif. Avec mon acolyte (un ami ingénieur ayant eu le même stage que moi) je riais beaucoup avec mes collègues en poste fixe, de 5 à 20 ans plus âgés que moi, et aucune des filles qui travaillaient avec nous ne m'intéressaient assez pour présenter un enjeu de séduction. Bref, aucune pression.
A la fin de la deuxième semaine de stage, je commence ma journée en rentrant dans la salle d'accueil saluer mes collègues. J'aperçois alors derrière le comptoir 2 jeunes filles n'ayant absolument rien en commun si ce n'est qu'elles m'intriguaient beaucoup plus que mes autres collègues féminines.
La première, Charlène, blonde légèrement frisée, peau laiteuse, visage carrée et petit, petit nez fin et mâchoire large. Ses paupières s'abaissent légèrement sur ses yeux lui donnant un air somnolant et blasée. D'ailleurs, sa gestuelle même évoque le contraire de la précipitation. Ses traits font penser à une mannequin. Et je mentirais si je disais que son physique ne m'avait pas subjugué. Néanmoins, comme la plupart des filles qui ont hérité d'une plastique si parfaite (et si enviable pour les autres filles), elle semble n'avoir aucune once de caractère ou de personnalité (la grande beauté éliminant toute nécessité de taper de temps en temps du poing sur la table, au contraire des hommes ou des femmes moins jeunes ou moins belles).
La seconde, Mathilde, brune châtain, typée franco-marocaine, sourcils foncés, visage triangulaire, bouche pulpeuse, nez droit et prononcé. Tout le contraire de son amie, et pas seulement d'un point de vue physique.
Semblant très à l'aise derrière son comptoir, Madame s'est permise d'enfiler une casquette de chasse-train (à la SNCF, c'est un peu comme si un militaire s'autorisait tout seul à s'ajouter des gallons) et, à cause d'une période de rush de voyageurs inattendue, décide rapidement du planning avec mes autres collègues comme une véritable executive woman (c'est qu'elle a 18 ans la miss !), alors que pendant ce temps Charlène-la-mannequin rêvasse devant l'écran du PC.
Ce genre de filles qui lutte pour toujours avoir les choses en main (comme par exemple la déléguée de classe au lycée) m'a toujours agacé. Sans doute parce que si l'une d'elles m'intéresse, elle devient alors un bâton merdeux dont je ne sais pas par quel bout la prendre (tandis qu'une fille passive comme Charlène se laissera volontiers diriger si vous avez la chance de rentrer dans ses normes pour la séduire).
Mais ce qui m'agace le plus, c'est que depuis que je suis rentré dans cette salle, miss chasse-train n'a même pas daigné me saluer, prenant trop à coeur l'organisation de la matinée.
Quelques minutes plus tard, je retrouve mon acolyte qui commence justement à discuter des deux nouvelles.
[quote]
L : T'as vu Mathilde ?
M : Ouai, je l'ai bien remarquée !
L : C'est fou d'être aussi active et impliquée pour une fille de son âge.
M : Perso, les filles comme ça, ça m'agace. Et elle m'agace d'autant plus qu'elle m'attire pas mal.
L : Hahaha
Durant la mi-août de l'année dernière, je rencontrais Valérie [url=http://www.spikeseduction.com/forum/un-train-nomme-desir-vt10118.html]dans le train[/url] qui me ramenait chez moi. Femme d'âge mûr, et d'une grande sensibilité et féminité, elle m'a apporté beaucoup sur le plan affectif autant que culturel. Pourtant, cette barrière de l'âge ne m'a jamais autorisé à la voir autrement que comme "l'autre femme". Il y avait Valérie d'un côté, les filles de mon âge de l'autre. Et si sur le plan horizontal aussi Valérie m'apportait beaucoup les weekend où je la rejoignais chez elle, les filles restaient pour moi synonyme de désir. Une en particulier.
Mathilde. Elle faisait le même stage que moi cet été où j'ai rencontré Valérie. Devinez où ? A la SNCF. Comble de la cohérence que de faire ma rencontre avec Valérie dans un TGV alors que je travaillais pour l'entreprise des chemins de fer ?
Bon, et si maintenant je vous dit que Valérie travaillait aussi dans cette entreprise...
Et bien vous me direz qu'au lieu de m'inscrire à des soirées speed-dating à Paris je ferais mieux de renouveler ma carte 12-25.
Mais je digresse et passe de Valérie à Mathilde un peu trop facilement alors que, pourtant, un fossé les sépare.
Mathilde donc.
Je travaillais sur les quais à ce moment-là, mon rôle se bornant à passer de la salle d'accueil aux quais en informant en passant les voyageurs qui me sollicitaient. Un des grands avantages de ce boulot étant d'avoir une accroche toute trouvée pour discuter avec les jolies petites bourgeoises à la peau matifiée par le soleil en partance pour La Rochelle (dont j'avais pris le numéro de l'une d'elle pour le jeu, mes chances de la revoir dans une ville commune étant forcément très maigres).
Avant l'arrivée de Mathilde, le début de ce mois de stage était très simple et très oisif. Avec mon acolyte (un ami ingénieur ayant eu le même stage que moi) je riais beaucoup avec mes collègues en poste fixe, de 5 à 20 ans plus âgés que moi, et aucune des filles qui travaillaient avec nous ne m'intéressaient assez pour présenter un enjeu de séduction. Bref, aucune pression.
A la fin de la deuxième semaine de stage, je commence ma journée en rentrant dans la salle d'accueil saluer mes collègues. J'aperçois alors derrière le comptoir 2 jeunes filles n'ayant absolument rien en commun si ce n'est qu'elles m'intriguaient beaucoup plus que mes autres collègues féminines.
La première, Charlène, blonde légèrement frisée, peau laiteuse, visage carrée et petit, petit nez fin et mâchoire large. Ses paupières s'abaissent légèrement sur ses yeux lui donnant un air somnolant et blasée. D'ailleurs, sa gestuelle même évoque le contraire de la précipitation. Ses traits font penser à une mannequin. Et je mentirais si je disais que son physique ne m'avait pas subjugué. Néanmoins, comme la plupart des filles qui ont hérité d'une plastique si parfaite (et si enviable pour les autres filles), elle semble n'avoir aucune once de caractère ou de personnalité (la grande beauté éliminant toute nécessité de taper de temps en temps du poing sur la table, au contraire des hommes ou des femmes moins jeunes ou moins belles).
La seconde, Mathilde, brune châtain, typée franco-marocaine, sourcils foncés, visage triangulaire, bouche pulpeuse, nez droit et prononcé. Tout le contraire de son amie, et pas seulement d'un point de vue physique.
Semblant très à l'aise derrière son comptoir, Madame s'est permise d'enfiler une casquette de chasse-train (à la SNCF, c'est un peu comme si un militaire s'autorisait tout seul à s'ajouter des gallons) et, à cause d'une période de rush de voyageurs inattendue, décide rapidement du planning avec mes autres collègues comme une véritable executive woman (c'est qu'elle a 18 ans la miss !), alors que pendant ce temps Charlène-la-mannequin rêvasse devant l'écran du PC.
Ce genre de filles qui lutte pour toujours avoir les choses en main (comme par exemple la déléguée de classe au lycée) m'a toujours agacé. Sans doute parce que si l'une d'elles m'intéresse, elle devient alors un bâton merdeux dont je ne sais pas par quel bout la prendre (tandis qu'une fille passive comme Charlène se laissera volontiers diriger si vous avez la chance de rentrer dans ses normes pour la séduire).
Mais ce qui m'agace le plus, c'est que depuis que je suis rentré dans cette salle, miss chasse-train n'a même pas daigné me saluer, prenant trop à coeur l'organisation de la matinée.
Quelques minutes plus tard, je retrouve mon acolyte qui commence justement à discuter des deux nouvelles.
[quote]
L : T'as vu Mathilde ?
M : Ouai, je l'ai bien remarquée !
L : C'est fou d'être aussi active et impliquée pour une fille de son âge.
M : Perso, les filles comme ça, ça m'agace. Et elle m'agace d'autant plus qu'elle m'attire pas mal.
L : Hahaha
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.