- Mar Avr 30, 2019 9:12 pm
#186428
Bonjour à tous, je suis nouveau sur ce forum,
Je m'appelle Guillaume, j'ai 26 ans
Je vous écris car j'ai besoin d'une gifle de réalisme !
Je sors d'une relation avec une fille de 20 ans (femme enfant) qui a duré 5 mois.
Nous nous sommes rencontrés en travaillant ensemble dans l'animation auprès d'enfants.
Elle est très jolie, elle a une bonne dose de H, c'est une matheuse, je lui avait fait faire le test elle-lui et ça a donné un résultat du genre 65 %f /35 %h.
Chose importante sur elle, elle est grande dépressive suivie par un psy depuis des années. Au début de la relation, elle me disait qu'elle ne voulait pas me faire de mal, et me demandait pourquoi je voulais rester avec elle.
On s'est mis ensemble vraiment début septembre.
Les premières semaines et mois se sont très bien passé dans l'ensemble, de septembre à janvier. On se voyait tous les jours, c'était super, malgré quelques courts épisodes très tristes en rapport avec sa dépression.
Mais au mois de janvier, j'ai du retourner travailler en animation, faute de meilleur option, ce qui allait nous contraindre à nous voir peu, tous les 15 jours. J'en avais peur d'avance, que cela affaiblisse notre relation voire que ça l'arrête. Ce que je redoutais est arrivé.
On se voyait tous les 15 jours, le week end, donc peu, c'était un déchirement à chaque fois qu'on se séparait, du moins les premiers week-ends. A partir du mois de février, j'ai senti qu'elle s'éloignait, qu'elle commençait à créer du ressentiment. (elle évoquait de plus en plus l'éventualité dans les conversations qu'on ne soit plus ensemble d'ici quelques mois).
Le dernier week end de février, on ne s'est presque pas touché du week-end, je la sentais distante, mal à l'aise quand j'étais collé à elle.
Quelques jours après elle m'appelle et me dit qu'elle veut qu'on arrête de se voir.
On s'est revu 10 jours après pendant le week-end pour clarifier la situation, elle le voulait et moi aussi et m'a répété en face ce qu'elle m'avait dit au téléphone en détaillant un peu.
Mon contrat de travail est terminé depuis début avril, je suis de retour, proche de là ou elle vit. On a échangé quelques sms froids en une semaine environ et elle m'a dit qu'elle voulait qu'on arrête de se parler.
Je suis perdu, en yoyo « émotionel » comme je l'ai vu dans une autre discussion du forum. Je ne comprends pas ce qui s'est passé, je raisonne sans doute trop en binaire et je manque de recul.
Je me demande donc ce qui a fait que en un mois elle passe de « je t'aime, je pensais que le fait que tu sois peu là nous éloigne mais en fait cela nous rapproche » à « ma perception a changé, c'est bête à dire mais c'est pas toi le problème, c'est moi…, je veux qu'on arrête de se voir, je peux plus...» ?
L'éloignement et l'absence ont sans doute contribué à cette rupture mais à quel degré ? Est ce moi qui ait merdé quelque part ? Ou est ce juste dû à son secret agenda de femme enfant de 20 ans ? Je suis le deuxième garçon avec qui elle a eu une histoire.
Voilà, j'espère que pourrez m'éclairer sur des points que je ne comprends pas ou que je ne vois pas.
Je m'appelle Guillaume, j'ai 26 ans
Je vous écris car j'ai besoin d'une gifle de réalisme !
Je sors d'une relation avec une fille de 20 ans (femme enfant) qui a duré 5 mois.
Nous nous sommes rencontrés en travaillant ensemble dans l'animation auprès d'enfants.
Elle est très jolie, elle a une bonne dose de H, c'est une matheuse, je lui avait fait faire le test elle-lui et ça a donné un résultat du genre 65 %f /35 %h.
Chose importante sur elle, elle est grande dépressive suivie par un psy depuis des années. Au début de la relation, elle me disait qu'elle ne voulait pas me faire de mal, et me demandait pourquoi je voulais rester avec elle.
On s'est mis ensemble vraiment début septembre.
Les premières semaines et mois se sont très bien passé dans l'ensemble, de septembre à janvier. On se voyait tous les jours, c'était super, malgré quelques courts épisodes très tristes en rapport avec sa dépression.
Mais au mois de janvier, j'ai du retourner travailler en animation, faute de meilleur option, ce qui allait nous contraindre à nous voir peu, tous les 15 jours. J'en avais peur d'avance, que cela affaiblisse notre relation voire que ça l'arrête. Ce que je redoutais est arrivé.
On se voyait tous les 15 jours, le week end, donc peu, c'était un déchirement à chaque fois qu'on se séparait, du moins les premiers week-ends. A partir du mois de février, j'ai senti qu'elle s'éloignait, qu'elle commençait à créer du ressentiment. (elle évoquait de plus en plus l'éventualité dans les conversations qu'on ne soit plus ensemble d'ici quelques mois).
Le dernier week end de février, on ne s'est presque pas touché du week-end, je la sentais distante, mal à l'aise quand j'étais collé à elle.
Quelques jours après elle m'appelle et me dit qu'elle veut qu'on arrête de se voir.
On s'est revu 10 jours après pendant le week-end pour clarifier la situation, elle le voulait et moi aussi et m'a répété en face ce qu'elle m'avait dit au téléphone en détaillant un peu.
Mon contrat de travail est terminé depuis début avril, je suis de retour, proche de là ou elle vit. On a échangé quelques sms froids en une semaine environ et elle m'a dit qu'elle voulait qu'on arrête de se parler.
Je suis perdu, en yoyo « émotionel » comme je l'ai vu dans une autre discussion du forum. Je ne comprends pas ce qui s'est passé, je raisonne sans doute trop en binaire et je manque de recul.
Je me demande donc ce qui a fait que en un mois elle passe de « je t'aime, je pensais que le fait que tu sois peu là nous éloigne mais en fait cela nous rapproche » à « ma perception a changé, c'est bête à dire mais c'est pas toi le problème, c'est moi…, je veux qu'on arrête de se voir, je peux plus...» ?
L'éloignement et l'absence ont sans doute contribué à cette rupture mais à quel degré ? Est ce moi qui ait merdé quelque part ? Ou est ce juste dû à son secret agenda de femme enfant de 20 ans ? Je suis le deuxième garçon avec qui elle a eu une histoire.
Voilà, j'espère que pourrez m'éclairer sur des points que je ne comprends pas ou que je ne vois pas.