- Mer Fév 25, 2015 11:37 am
#165505
En lisant la biographie du compositeur Brahms j'ai été surpris de constater qu'il était un assidu des maisons closes. il rejoint ainsi la longue liste des esprits "féconds" qui n'avaient aucun état d'ame à solliciter les services de ces dames alors que les conditions à l'époque étaient terribles, surtout dans les maisons dites d'abattage (une femme publique pouvait y faire jusqu'à 80 passes par jour).
Actuellement en Europe, la nation ou la prostitution est la plus démocratisée, la plus accessible (150 bordels à Berlin) et la moins chère est l'Allemagne; leader Européen en sciences dures, plus grand ratio d'hommes par rapport au femmes, pays créatif (3ème pays au monde en terme de dépot de brevets) mais aussi pays ou les femmes prennent des leçons pour savoir initier le contact avec les hommes, ce qui reste impensable en France.
Pensez-vous que payer pour du sexe soit une attitude virile ? (le coté on assume notre désir, la bande de hussards en virée nocturne, le désir de ne pas rester prisonnier du jeu de séduction et donc, du bien vouloir de l'offre féminine) ou au contraire, pensez-vous qu'il s'agit d'une pratique F (jouissance immédiate, liberté, aucune prise de risque).
NB : personne ne se pose ce genre de questions de façon totalement désinteressée, cela fait quelques mois que j'ai arreté (ce qui est en soit un petit miracle), mais je me dis que c'est la loose de rester inactif sexuellement aussi longtemps, bien que ce désir me pousse à aborder régulièrement sans succés notable (si ce n'est des sourires et quelques regards amusés).
Actuellement en Europe, la nation ou la prostitution est la plus démocratisée, la plus accessible (150 bordels à Berlin) et la moins chère est l'Allemagne; leader Européen en sciences dures, plus grand ratio d'hommes par rapport au femmes, pays créatif (3ème pays au monde en terme de dépot de brevets) mais aussi pays ou les femmes prennent des leçons pour savoir initier le contact avec les hommes, ce qui reste impensable en France.
Pensez-vous que payer pour du sexe soit une attitude virile ? (le coté on assume notre désir, la bande de hussards en virée nocturne, le désir de ne pas rester prisonnier du jeu de séduction et donc, du bien vouloir de l'offre féminine) ou au contraire, pensez-vous qu'il s'agit d'une pratique F (jouissance immédiate, liberté, aucune prise de risque).
NB : personne ne se pose ce genre de questions de façon totalement désinteressée, cela fait quelques mois que j'ai arreté (ce qui est en soit un petit miracle), mais je me dis que c'est la loose de rester inactif sexuellement aussi longtemps, bien que ce désir me pousse à aborder régulièrement sans succés notable (si ce n'est des sourires et quelques regards amusés).
[color=#808080]Là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur - matthieu 6:21[/color]