- Mer Juin 25, 2008 6:41 pm
#52316
Et ce que Eshter Villar ne précise pas vraiment c'est que ces femmes prétendument "dominantes" sont en réalité dépendantes à l'homme qui leur permet d'être entretenue sans avoir à s'affimer un peu.
J'ai la chance d'avoir une grande soeur qui fait parti de ces personnes qui ont pris conscience de leur conditionnement.
Comme dit Eckhart Tolle pour ceux qui connaissent, ce qui donne la vraie couleur d'une personne est son niveau de conscience, vous auriez le même niveau de conscience que telle ou telle personne et un conditionnement similaire, vous feriez sensiblement les mêmes choix qu'elle.
Pour en revenir à ma soeur il y a quelque années de ça, elle correspondait pas mal au descriptif donné par Villar, par identification inconsciente au script familliale.
Une relation longue qui s'est mal terminée pour son orgueuil pétassier et sa volonté de devenir thérapeute qui se met au service des autres, lui ont permis d'acceder à des données interessantes.
Elle a justement étudiée et ressentie qu'il y a toujours un conditionnement qui se cache derriere un autre et explique la position de celui-ci. Passé les conditionnement issus du plasma familliale, reste les conditionnement noyaux, qui dépendent de l'inconscient collectif, et auquel on est tous attaché, le seul moyen de se libérer d'un conditionnement est la prise de conscience de celui-ci, sans quoi la liberté de choix est une illusion.
A l'age des cavernes, la femme avait donc un besoin vital de l'homme pour survivre et assurer la survie de la progéniture, l'intelligence de l'homme et sa capacité à faire passer le mental avant les sentiments, lui permettent d'affronter le danger sans perdre ses moyens en prenant les bonnes décisions au bon moment.
Aujourd'hui ce conditionnement se traduit en parts très névrosées chez l'homme et la femme, du côté de la femme la peur de mourir sans un homme pour la protéger, le fait d'être sur-exigeante et de le castrer suffisamment pour qu'il lui reste fidele (si elle le castre il devient impuissant donc faible, si elle ne peut pas le castrer il devient trop incontrôlable donc met la femme dans une position d'insécurité) le fait d'être en rivalité avec toutes les autres femmes, et le fait de devoir être aimé pour survivre.
Du côté de l'homme, le besoin d'être utile et reconnu comme valable par la femme, le fait d'être sur-exigeant avec lui-même, d'être en rivalité avec les autres hommes, le besoin de tout contrôler, le fait de devoir prouver sa propension à survivre pour être aimé.
Tout ça explique le côté irrationnel, hystérique et nuisible de toute relation marquée par le sceau de ce condtionnement inconscient, fermant la porte à toute espece de choix et d'épanouissement (on peut avoir l'illusion d'être épanoui, comme quelqu'un n'ayant connu que 10 degres de température peut avoir l'impression qu'il ne fait pas froid).
Le fait que certaines femmes féministes s'offusquent bien plus de la maltraitance des femmes dans le monde que du fait que l'homme lui se fasse invariablement massacrer en cas de guerre, le fait qu'un homme au statut sociale insécure paraisse moins attirant aux yeux de certaines femmes, le fait que beaucoup de mecs se fassent larguer quand ils perdent leur job, le fait qu'on conditionne pas mal les femmes à se soucier plus de leur cellulite que de leurs neurones, le fait que beaucoup d'hommes qui étouffent d'avoir à jouer un rôle résolument ingrat preferent se laisser vivre (comme Zemmour je pense que beaucoup d'homme fuient le rôle d'"homme" des suites du traumatisme des grandes guerres, les mémoires de ces horreurs restent dans l'inconscient collectif), et le fait que de leur côté les femmes elles aussi cherchent à fuir ce conditionnement en essayant de se passer de l'homme en se dotant d'attributs masculins.
Tout ça pour moi découle bien plus d'un manque de conscience et de travail sur soi (choisir de travailler sur soi implique déjà la conscience d'avoir un probleme) que de choix médiocres de la part de gens médiocres.
Personnellement ce que dit Esther Villar me met en colere contre un monde dirigé par la connerie, mais je n'aime pas les discours qui reviennent à confondre les gens et leurs névroses, et à les enfermer dans un schéma sans espoir de redemption, tout ça pour passer sa frustration.
PS: Je ne connais pas l'expérience des enfants aux yeux bleus et bruns.
J'ai la chance d'avoir une grande soeur qui fait parti de ces personnes qui ont pris conscience de leur conditionnement.
Comme dit Eckhart Tolle pour ceux qui connaissent, ce qui donne la vraie couleur d'une personne est son niveau de conscience, vous auriez le même niveau de conscience que telle ou telle personne et un conditionnement similaire, vous feriez sensiblement les mêmes choix qu'elle.
Pour en revenir à ma soeur il y a quelque années de ça, elle correspondait pas mal au descriptif donné par Villar, par identification inconsciente au script familliale.
Une relation longue qui s'est mal terminée pour son orgueuil pétassier et sa volonté de devenir thérapeute qui se met au service des autres, lui ont permis d'acceder à des données interessantes.
Elle a justement étudiée et ressentie qu'il y a toujours un conditionnement qui se cache derriere un autre et explique la position de celui-ci. Passé les conditionnement issus du plasma familliale, reste les conditionnement noyaux, qui dépendent de l'inconscient collectif, et auquel on est tous attaché, le seul moyen de se libérer d'un conditionnement est la prise de conscience de celui-ci, sans quoi la liberté de choix est une illusion.
A l'age des cavernes, la femme avait donc un besoin vital de l'homme pour survivre et assurer la survie de la progéniture, l'intelligence de l'homme et sa capacité à faire passer le mental avant les sentiments, lui permettent d'affronter le danger sans perdre ses moyens en prenant les bonnes décisions au bon moment.
Aujourd'hui ce conditionnement se traduit en parts très névrosées chez l'homme et la femme, du côté de la femme la peur de mourir sans un homme pour la protéger, le fait d'être sur-exigeante et de le castrer suffisamment pour qu'il lui reste fidele (si elle le castre il devient impuissant donc faible, si elle ne peut pas le castrer il devient trop incontrôlable donc met la femme dans une position d'insécurité) le fait d'être en rivalité avec toutes les autres femmes, et le fait de devoir être aimé pour survivre.
Du côté de l'homme, le besoin d'être utile et reconnu comme valable par la femme, le fait d'être sur-exigeant avec lui-même, d'être en rivalité avec les autres hommes, le besoin de tout contrôler, le fait de devoir prouver sa propension à survivre pour être aimé.
Tout ça explique le côté irrationnel, hystérique et nuisible de toute relation marquée par le sceau de ce condtionnement inconscient, fermant la porte à toute espece de choix et d'épanouissement (on peut avoir l'illusion d'être épanoui, comme quelqu'un n'ayant connu que 10 degres de température peut avoir l'impression qu'il ne fait pas froid).
Le fait que certaines femmes féministes s'offusquent bien plus de la maltraitance des femmes dans le monde que du fait que l'homme lui se fasse invariablement massacrer en cas de guerre, le fait qu'un homme au statut sociale insécure paraisse moins attirant aux yeux de certaines femmes, le fait que beaucoup de mecs se fassent larguer quand ils perdent leur job, le fait qu'on conditionne pas mal les femmes à se soucier plus de leur cellulite que de leurs neurones, le fait que beaucoup d'hommes qui étouffent d'avoir à jouer un rôle résolument ingrat preferent se laisser vivre (comme Zemmour je pense que beaucoup d'homme fuient le rôle d'"homme" des suites du traumatisme des grandes guerres, les mémoires de ces horreurs restent dans l'inconscient collectif), et le fait que de leur côté les femmes elles aussi cherchent à fuir ce conditionnement en essayant de se passer de l'homme en se dotant d'attributs masculins.
Tout ça pour moi découle bien plus d'un manque de conscience et de travail sur soi (choisir de travailler sur soi implique déjà la conscience d'avoir un probleme) que de choix médiocres de la part de gens médiocres.
Personnellement ce que dit Esther Villar me met en colere contre un monde dirigé par la connerie, mais je n'aime pas les discours qui reviennent à confondre les gens et leurs névroses, et à les enfermer dans un schéma sans espoir de redemption, tout ça pour passer sa frustration.
PS: Je ne connais pas l'expérience des enfants aux yeux bleus et bruns.
Lorsqu'une pierre tombe sur un oeuf, malheur à l'oeuf, et lorsque l'oeuf tombe sur une pierre, malheur à l'oeuf.