- Jeu Juin 26, 2014 9:57 pm
#154461
Sympa je viens du site E&R où la vidéo a été postée.
J'ai une question pour ce mr Delavier et Stephane pour le coup que j'ai encore croisé il n'y a pas très longtemps du coté de St Honoré.
La question donc : Qui s'occupe de la protection de la progéniture face aux prédateurs qui ont faim lorsque les mâles ne sont pas à la maison et sont partis chassés ?
Sachant par ailleurs que la mère a dépensé énormément de calorie et de temps pour assurer la survie de l'espèce en assurant la progéniture et qu'une perte d'un nourrisson ou d'une portée met en danger le groupe et sa survie temporelle.
Bref là ou je veux en venir c'est que peut être que les stratégies des bonobos sont intéressantes avec la femelle qui reste près de l'arbre mais la réalité chez l'homme et la femme est différente.
Les types de violence sont profondément différentes chez l'homme et la femme.
L'homme est conditionné génétiquement au conflit rituel, c'est à dire la recherche de la soumission des autres mâles (sans les tuer).
C'est d'ailleurs pour cela qu'instinctivement les hommes ferment les poings, car il est très difficile de tuer avec un poing (sauf dans le cas Méric, mais bon un leucémique de 35kg qui se prend pour un lion, ya une sanction par le principe de réalité).
Il est très difficile pour un homme de tuer un autre homme et les paradigmes militaires sur l'évolution des armes sont flagrants:
on tue plus avec un fusil automatique ou il n'y a pas besoin de viser, qu'avec un fusil coup à coup où l'étape de visée est fondamentale pour la réussite.
Par exemple pendant la première guerre mondiale où les fusils étaient coup à coup, les psychologues militaires ont fait des expériences sur des sujets très peu formés (mobilisation de civil et instruction sommaire), et les taux de touche de l'adversaire étaient plus élevés en introduisant des fusils légèrement déréglés qu'en utilisant des fusils parfaitement réglés.
Inconsciemment les tireurs visaient à coté. C'est génétique, si le mâle alpha tue tous ses concurrents, alors qui fécondera les femelles si il vient à disparaître lors d'un accident de chasse par exemple ?
Bref l'homme est conditionné au combat rituel, la femme, elle, a la charge de la sécurité de la progéniture. Or celle-ci est un met e choix pour les prédateurs.
Donc les femelles sont conditionnées au combat de survie, à tout donné jusqu'au sacrifice pour sauver la progéniture.
C'est une typologie de violence très différente, très explosive où la femme s'engage totalement. Morsure, griffage, cri... Demandez aux policiers de vous raconter leurs expériences d'interventions mettant en jeu des femmes.
Des molosses de 120kg dont le petit bout de femme de 50kg a arraché le cuir chevelu à coup de dent...Des yeux qui sautent à coup de griffe...
C'est d'ailleurs une violence très choquante pour les hommes. Car ne rentrant pas dans le cadre connu du rituel.
Par contre les déclencheurs d'une telle violence sont difficiles à atteindre et un conditionnement sociétal très répressif sur la question.
Dans le sport de combat que je pratique, les femmes ont souvent des problèmes, car comme on travaille au niveau émotionnel directement, elles découvrent souvent des pulsions de violence qui sont profondes et qui leurs font peur car renvoient une image d'elles-mêmes qui ne correspond pas à l'image qu'elles ont acquise par l'éducation.
Cette distinction de violence n'est pas forcément éloignée du thème plus proche de ce site qu'est la sexualité, car justement ce que j'ai constaté c'est qu'une femme se lâchera beaucoup plus facilement dans l'acte sexuel qui est une forme de violence, si elle considère que son partenaire est apte à gérer et canaliser cette énergie qu'elle peut potentiellement libérer.
Bref sans prendre une posture de justicier féministe, je voulais juste réagir sur cette partie de la violence et sortir du cliché de la petite femme faible physiquement qui se fige ou s'enfuit. Il n'y a aucun rituel chez la femme en combat, juste de la survie pure.
C'est aussi ce qui explique que les femmes sont beaucoup plus tolérantes à l'infidélité surtout si elles ont été déjà fécondées que les hommes.
Car une infidélité pour un homme c'est directement une remise en cause de son statu acquis dans un contexte de rituel et donc référence a sa programmation au rituel.
Une femme trompée surtout si elle a été fécondé à déjà obtenu ce qu'elle voulait : une progéniture. Et ça pose beaucoup moins de problème surtout si le mâle fécondant continue de subvenir à ses besoins matériels.
Par contre si la survie de sa progéniture n'est pas garantie, elle devient très violente (et fera tout pour prendre les 3 millions comme dit Stéphane).
J'ai une question pour ce mr Delavier et Stephane pour le coup que j'ai encore croisé il n'y a pas très longtemps du coté de St Honoré.
La question donc : Qui s'occupe de la protection de la progéniture face aux prédateurs qui ont faim lorsque les mâles ne sont pas à la maison et sont partis chassés ?
Sachant par ailleurs que la mère a dépensé énormément de calorie et de temps pour assurer la survie de l'espèce en assurant la progéniture et qu'une perte d'un nourrisson ou d'une portée met en danger le groupe et sa survie temporelle.
Bref là ou je veux en venir c'est que peut être que les stratégies des bonobos sont intéressantes avec la femelle qui reste près de l'arbre mais la réalité chez l'homme et la femme est différente.
Les types de violence sont profondément différentes chez l'homme et la femme.
L'homme est conditionné génétiquement au conflit rituel, c'est à dire la recherche de la soumission des autres mâles (sans les tuer).
C'est d'ailleurs pour cela qu'instinctivement les hommes ferment les poings, car il est très difficile de tuer avec un poing (sauf dans le cas Méric, mais bon un leucémique de 35kg qui se prend pour un lion, ya une sanction par le principe de réalité).
Il est très difficile pour un homme de tuer un autre homme et les paradigmes militaires sur l'évolution des armes sont flagrants:
on tue plus avec un fusil automatique ou il n'y a pas besoin de viser, qu'avec un fusil coup à coup où l'étape de visée est fondamentale pour la réussite.
Par exemple pendant la première guerre mondiale où les fusils étaient coup à coup, les psychologues militaires ont fait des expériences sur des sujets très peu formés (mobilisation de civil et instruction sommaire), et les taux de touche de l'adversaire étaient plus élevés en introduisant des fusils légèrement déréglés qu'en utilisant des fusils parfaitement réglés.
Inconsciemment les tireurs visaient à coté. C'est génétique, si le mâle alpha tue tous ses concurrents, alors qui fécondera les femelles si il vient à disparaître lors d'un accident de chasse par exemple ?
Bref l'homme est conditionné au combat rituel, la femme, elle, a la charge de la sécurité de la progéniture. Or celle-ci est un met e choix pour les prédateurs.
Donc les femelles sont conditionnées au combat de survie, à tout donné jusqu'au sacrifice pour sauver la progéniture.
C'est une typologie de violence très différente, très explosive où la femme s'engage totalement. Morsure, griffage, cri... Demandez aux policiers de vous raconter leurs expériences d'interventions mettant en jeu des femmes.
Des molosses de 120kg dont le petit bout de femme de 50kg a arraché le cuir chevelu à coup de dent...Des yeux qui sautent à coup de griffe...
C'est d'ailleurs une violence très choquante pour les hommes. Car ne rentrant pas dans le cadre connu du rituel.
Par contre les déclencheurs d'une telle violence sont difficiles à atteindre et un conditionnement sociétal très répressif sur la question.
Dans le sport de combat que je pratique, les femmes ont souvent des problèmes, car comme on travaille au niveau émotionnel directement, elles découvrent souvent des pulsions de violence qui sont profondes et qui leurs font peur car renvoient une image d'elles-mêmes qui ne correspond pas à l'image qu'elles ont acquise par l'éducation.
Cette distinction de violence n'est pas forcément éloignée du thème plus proche de ce site qu'est la sexualité, car justement ce que j'ai constaté c'est qu'une femme se lâchera beaucoup plus facilement dans l'acte sexuel qui est une forme de violence, si elle considère que son partenaire est apte à gérer et canaliser cette énergie qu'elle peut potentiellement libérer.
Bref sans prendre une posture de justicier féministe, je voulais juste réagir sur cette partie de la violence et sortir du cliché de la petite femme faible physiquement qui se fige ou s'enfuit. Il n'y a aucun rituel chez la femme en combat, juste de la survie pure.
C'est aussi ce qui explique que les femmes sont beaucoup plus tolérantes à l'infidélité surtout si elles ont été déjà fécondées que les hommes.
Car une infidélité pour un homme c'est directement une remise en cause de son statu acquis dans un contexte de rituel et donc référence a sa programmation au rituel.
Une femme trompée surtout si elle a été fécondé à déjà obtenu ce qu'elle voulait : une progéniture. Et ça pose beaucoup moins de problème surtout si le mâle fécondant continue de subvenir à ses besoins matériels.
Par contre si la survie de sa progéniture n'est pas garantie, elle devient très violente (et fera tout pour prendre les 3 millions comme dit Stéphane).