- Dim Juin 13, 2010 8:19 pm
#96081
Bonsoir à tous,
En psychologie sociale, il y a une notion récente (plus ou moins 50 ans) appelée "syndrome de l'imposteur", qui regroupe pas mal de choses touchant de près ou de loin à la séduction et au développement personnel (voire à la santé mentale, dans les cas les plus amusants).
Grosso modo, c'est né d'une observation dans le champ universitaire, qui reflète le manque de confiance en soi de personnes tout à fait capables, qui éprouvent d'une "angoisse" de se sentir imposteur et finalement, de tromper leur monde sans aucune confiance dans ses "fondamentaux" (l'observation initiale a été faite sur les femmes universitaires des '50s).
Je pense que c'est un syndrome bien plus répandu qu'on ne le pense, dans des domaines assez opposés, du domaine universitaire au monde de la communication (je viens des deux, et j'observe), qui bloque une quantité phénoménale d'initiatives et provoque énormément de blocages/d'inhibitions.
Le syndrome regroupe, je pense, pas mal des problématiques abordées sur le site, mais dépasse le problème pur de la confiance en soi, puisqu'il interroge profondément l'image que l'on se fait de soi-même et de ses véritables compétences (compétences qui touchent au charisme comme au domaine professionnel et, souvent, au goût lui même, puisque tout paraît si normal qu'il n'y a pas nécessaire à travailler sur le sujet). A la différence de la question de la confiance en soi donc, les résultats ne modifient en rien la conception que l'on se fait de ses capacités.
Ça vous parle ?
En psychologie sociale, il y a une notion récente (plus ou moins 50 ans) appelée "syndrome de l'imposteur", qui regroupe pas mal de choses touchant de près ou de loin à la séduction et au développement personnel (voire à la santé mentale, dans les cas les plus amusants).
Grosso modo, c'est né d'une observation dans le champ universitaire, qui reflète le manque de confiance en soi de personnes tout à fait capables, qui éprouvent d'une "angoisse" de se sentir imposteur et finalement, de tromper leur monde sans aucune confiance dans ses "fondamentaux" (l'observation initiale a été faite sur les femmes universitaires des '50s).
Je pense que c'est un syndrome bien plus répandu qu'on ne le pense, dans des domaines assez opposés, du domaine universitaire au monde de la communication (je viens des deux, et j'observe), qui bloque une quantité phénoménale d'initiatives et provoque énormément de blocages/d'inhibitions.
Le syndrome regroupe, je pense, pas mal des problématiques abordées sur le site, mais dépasse le problème pur de la confiance en soi, puisqu'il interroge profondément l'image que l'on se fait de soi-même et de ses véritables compétences (compétences qui touchent au charisme comme au domaine professionnel et, souvent, au goût lui même, puisque tout paraît si normal qu'il n'y a pas nécessaire à travailler sur le sujet). A la différence de la question de la confiance en soi donc, les résultats ne modifient en rien la conception que l'on se fait de ses capacités.
Ça vous parle ?
Il n'y a plus rien.