Vendeurs parisiens, hommes de produit et marchands de tapis.

- Ven Nov 30, 2012 12:29 am #128949 [quote="Romain"]Ca va être compliqué.
En général on ne se fait que très rarement embaucher directement assistant ou F.M ou directeur.
On le devient pour/par énormément de paramètres dont tu dois pouvoir en contrôler quoi, allez, 40%.

L'assistant de ma boutique est rentré directement mais son parcours est atypique et il se rend bien compte de la chance qu'il a eu, même s'il est loin d'être con et qu'il bosse très bien.
Tu peux toujours postuler à des postes comme ceux ci, tu as la diplôme mais je ne te cache pas que je pense que tu as très peu de chances d'arriver directement manager.

Je te conseille franchement un atelier dreamjob, il n'y a pas mieux comme investissement sur la recherche d'emploi, tu y apprendras à te mettre vraiment en valeur pour le poste que tu recherches, et également de te créer un compte sur fashionjob, parce que c'est là que tout se passe.

T'inquiètes pas, je suis sur fashionjobs depuis déjà 3 ans (mon C.V dans des cabinets, sur l'apec, etc etc...viadeo...), et j'ai un bon petit parcours dans le luxe maintenant Je suis armé de patience et je sais ce que je veux !

Après des annonces d'adjoint, j'en vois, j'y postule, pour l'instant ça ne sonne pas...

J'ai un profil Marketing/Commerce/Retail, jeune diplômé, mais en compétition avec les...stagiaires. Tous les jobs qui me sont destinés (assistant chef de produit, assistant marketing...), c'est que du stagiaire qui tourne tous les 6 mois. On en revient au problème évoqué plus haut, le foutage de gueule monumental en terme de considération de l'employé/candidat.

Mais je vois qu'il y a énormement de piston, c'est surtout ça le pb, et moi je ne connais pas grand monde.

J'ai eu une mauvaise expérience dans ma boite actuelle, après 3 ans de loyaux service en bossant le week end pour eux, j'ai été diplômé, et j'ai postulé pour un poste au siège. Après 4 mois d'attente après un entretien réussi et convaincant, ils me disent non, une semaine passe, puis finalement me prennent et me virent sans raison au bout d'un mois de période d'essai (qui s'est extrêmement bien passée). J'ai mon Directeur Général sur viadeo, je suis chaud pour lui envoyer un mail, exprimer mon envie d'être dans cette boite et ma déception, mais je pense que c'est une connerie, qu'en penses-tu ?

- Ven Nov 30, 2012 8:36 am #128960 Très honnêtement je ne sais pas si c'est une bonne idée ou pas.
Si quelqu'un a un avis, je suis intéressé par une réponse aussi...

- Ven Nov 30, 2012 10:35 am #128963 Changeons de perspective. Relis tes phrases avec les mots que j'ai modifiés (en gras)

[quote="Lansing"][quote="Romain"]...

Après 4 mois d'attente après une date, elle me dit non, une semaine passe, puis finalement me prend et me vire sans raison au bout d'un mois de relation (qui s'est extrêmement bien passée). J'ai mon ex sur viadeo, je suis chaud pour lui envoyer un mail, exprimer mon envie d'être avec elle et ma déception, mais je pense que c'est une connerie, qu'en penses-tu ?

C'est une fausse bonne idée de croire qu'en montrant ton envie, ta motivation [img]dans%20ce%20cas[/img], cela changera quelque chose. Et même dans ce cas, ils n'auront aucun respect pour toi. Quand déjà, le comportement normal des managers est limite, imagine ce qui t'attendrait.

- Ven Nov 30, 2012 6:52 pm #128979 Hum... C’est vrais qu'actuellement, c'est une vrai gangrène ces histoire de stages en France.

Maintenant perso mon point de vue est le suivant :
Du côte de l’étudiant diplômé : 12 mois de stage, en totalité sur un cursus, pour ensuite exercer un métier compliqué et à responsabilités, passe encore. Au delà, il faut quelque part manquer de respect pour soi-même.

Du côte des employeurs qui abuse clairement sur les stagiaires : Soit c’est des boites qui luttent vraiment pour gagner de l’argent, soit c’est des boites où les consignes de conduites sont, au final, d’abuser dès que possible se peut, et de ne surtout pas hésiter à manger à tout les râteliers. Dans les deux cas, je ne comprends vraiment pas l’entêtement des jeunes à vouloir travailler pour eux, même s’ils s’appellent l’Oréal.