- Sam Fév 16, 2013 10:01 am
#131392
Salut a tous,
Donc comme vous pouvez le voir j'reviens (pas chargé d'cadeaux on a passé Noel je crois). Ce qui me (r)amène a vous c'est qu'à un moment de sa vie on estime nécessaire de savoir qui l'on est pour savoir vers où aller (bénis soit Socrate), ce que j'ai fais depuis déjà plusieurs mois, le "truc" dans cet réflexion c'est qu'elle m'a amené a comprendre que j'étais un mec très (trop ?) réfléchis avec une compréhension que j'estime plus que bonne en matière de sociologie voire de géopolitique et une capacité à voir clair dans des concepts qui paraissent confus pour beaucoup.
Après cet grande découverte je me suis renseigné (presque par hasard voyez) sur cet frange ultra-minoritaire de la population qu'on appelle les "surdoués", en analysant de près ce qui me rapprochait d'eux en terme de caractéristique mental et comportemental j'ai trouvé des corrélations confondantes : alors au début on est surpris, ensuite on se met a disserter encore plus sur des questions de types existentielles ou des sujets "abstraits" et l'on finit par se faire une raison !
La première idée qui me vient a l'esprit c'est qu'une (ouvrez les guillemets) intelligence supérieur (fermer les guillemets) est presque une tare, une charge a porter au quotidien, et de là arrive l'explication que j'ai fais : comme toute appartenance a une minorité sociale non mis en évidence de manière vraiment positive et avec les difficultés que l'on a actuellement de discerner ceux qui en font partie du "reste" de la population cela amène les questions d'intégration avec les personnes qui nous entoure (et qui parle d'intégration dois parler de rejet) et question sous-jacente mais primordiale : comment savoir si je fais partie de cet minorité de gens ?
La suite dans mon prochain message... (arf, qui dit sociologie dit statistique, mais peut-on réduire l'homme a un pourcentage ?)
C'est ce genre de raisonnement qui me font penser que l'on ne peut se détacher du présent, lui échapper, sans être capable de le mettre en relief, ce qui suppose d'avoir au préalable de la lucidité, de la curiosité, un certains sens critique...
Donc comme vous pouvez le voir j'reviens (pas chargé d'cadeaux on a passé Noel je crois). Ce qui me (r)amène a vous c'est qu'à un moment de sa vie on estime nécessaire de savoir qui l'on est pour savoir vers où aller (bénis soit Socrate), ce que j'ai fais depuis déjà plusieurs mois, le "truc" dans cet réflexion c'est qu'elle m'a amené a comprendre que j'étais un mec très (trop ?) réfléchis avec une compréhension que j'estime plus que bonne en matière de sociologie voire de géopolitique et une capacité à voir clair dans des concepts qui paraissent confus pour beaucoup.
Après cet grande découverte je me suis renseigné (presque par hasard voyez) sur cet frange ultra-minoritaire de la population qu'on appelle les "surdoués", en analysant de près ce qui me rapprochait d'eux en terme de caractéristique mental et comportemental j'ai trouvé des corrélations confondantes : alors au début on est surpris, ensuite on se met a disserter encore plus sur des questions de types existentielles ou des sujets "abstraits" et l'on finit par se faire une raison !
La première idée qui me vient a l'esprit c'est qu'une (ouvrez les guillemets) intelligence supérieur (fermer les guillemets) est presque une tare, une charge a porter au quotidien, et de là arrive l'explication que j'ai fais : comme toute appartenance a une minorité sociale non mis en évidence de manière vraiment positive et avec les difficultés que l'on a actuellement de discerner ceux qui en font partie du "reste" de la population cela amène les questions d'intégration avec les personnes qui nous entoure (et qui parle d'intégration dois parler de rejet) et question sous-jacente mais primordiale : comment savoir si je fais partie de cet minorité de gens ?
La suite dans mon prochain message... (arf, qui dit sociologie dit statistique, mais peut-on réduire l'homme a un pourcentage ?)
C'est ce genre de raisonnement qui me font penser que l'on ne peut se détacher du présent, lui échapper, sans être capable de le mettre en relief, ce qui suppose d'avoir au préalable de la lucidité, de la curiosité, un certains sens critique...
Et Si Le Vin Devait Tourner Au Vinaigre Je préfère Ne Plus Etre Ivre D'Alcool...
Si je ne suis pas pour moi, qui le sera ?
Et quand je ne suis que pour moi, que suis-je ?
Et si pas maintenant, alors quand ?
Si je ne suis pas pour moi, qui le sera ?
Et quand je ne suis que pour moi, que suis-je ?
Et si pas maintenant, alors quand ?