- Lun Fév 08, 2016 7:04 pm
#176876
« Les femmes ont cela de commun avec un beau roman que pour attiser notre curiosité, elles doivent plaire dès la première page »
J’aime découvrir dans les beaux textes ces quelques morceaux de vérité qui donnent au livre cette petite saveur d’intemporel un peu comme lorsque l’on découvre les morceaux de fruits frais dans une Sangria d'été bien fraîche .
Pour le coup ce n’est pas de Sangria dont je souhaite vraiment discuter mais plutôt d’une rencontre, de celles dont on peut se souvenir longtemps. Une de celles qui nous font préférer le chemin de la qualité plutôt que celui plus facile de la quantité.
Avec un peu de recul je suis heureux d’avoir pu connaître une certaine quantité. D’une part elle apporte de l’expérience et d’autre part elle permet de mieux se connaître, de savoir ce qu’on aime vraiment et d’être plus détaché vis-à-vis de l’autre. Dans le jeu de l’amour et (un peu du hasard) ce n’est pas une chose négligeable et puis ça fait des histoires que l’on peut se remémorer quand on a envie d’être nostalgique ! Je suis souvent nostalgique dans certains quartiers de Paris le soir venu, quand les lumières éblouissent Paris, de me remémorer le son d’une voix, le galbe d’une hanche pressée contre mon corps ou encore la morsure légère dans le cou d’une jeune femme.
Bon, arrêtons de la jouer Hannibal, il paraît que le cannibalisme est interdit ici !
Tout ça pour dire que qualité et quantité ne se battent pas bêtement en duel mais qu’ils ont des liens et que je ne renie nullement d’avoir commencé par embrasser le côté Obscur.
Peut être cette histoire est une lumière, peut être…
Et si l’on se donnait rendez vous un certain 8 janvier 2016 pour vous la raconter ?
Extension
J’aime découvrir dans les beaux textes ces quelques morceaux de vérité qui donnent au livre cette petite saveur d’intemporel un peu comme lorsque l’on découvre les morceaux de fruits frais dans une Sangria d'été bien fraîche .
Pour le coup ce n’est pas de Sangria dont je souhaite vraiment discuter mais plutôt d’une rencontre, de celles dont on peut se souvenir longtemps. Une de celles qui nous font préférer le chemin de la qualité plutôt que celui plus facile de la quantité.
Avec un peu de recul je suis heureux d’avoir pu connaître une certaine quantité. D’une part elle apporte de l’expérience et d’autre part elle permet de mieux se connaître, de savoir ce qu’on aime vraiment et d’être plus détaché vis-à-vis de l’autre. Dans le jeu de l’amour et (un peu du hasard) ce n’est pas une chose négligeable et puis ça fait des histoires que l’on peut se remémorer quand on a envie d’être nostalgique ! Je suis souvent nostalgique dans certains quartiers de Paris le soir venu, quand les lumières éblouissent Paris, de me remémorer le son d’une voix, le galbe d’une hanche pressée contre mon corps ou encore la morsure légère dans le cou d’une jeune femme.
Bon, arrêtons de la jouer Hannibal, il paraît que le cannibalisme est interdit ici !
Tout ça pour dire que qualité et quantité ne se battent pas bêtement en duel mais qu’ils ont des liens et que je ne renie nullement d’avoir commencé par embrasser le côté Obscur.
Peut être cette histoire est une lumière, peut être…
Et si l’on se donnait rendez vous un certain 8 janvier 2016 pour vous la raconter ?
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