- Ven Juin 26, 2009 2:21 pm
#77773
Je précise, -vu que je subodore que cette précision s'avère nécessaire-, que je ne vous fais pas écouter ces messages pour que vous vous moquiez ou pour que vous condamniez ceux qui se moquent. Les animateurs radio sont des animateurs radio, qui divertissent pour répondre à une demande, peut-être la votre avant que ayez décidé de vous améliorer.
Une armée de débilisés adorent ce genre de lynchage débilisant, ce qui renforce la frame dans laquelle ils se laissent embourber. En boucle, jusqu'à devenir les gros beaufs dont ils se moquent.
Donc oui les moqueries c'est mal.
Maintenant que la porte ouverte est enfoncée, je vous invite à recentrer votre attention sur le sujet initial, la leçon contenue dans ces enregistrements, c'est à dire l'exemple à ne pas suivre, à réaliser ce que les filles moyennement jolies subissent à longueur de temps. (les très belles et les très laides, quant à elles, semblent davantage épargnées et subissent moins fréquemment ces jappements d'aneuronés. C'est d'ailleurs une des nombreuses raisons qui me font préférer la Tanagra vive d'esprit à la fille normale, la concurrence étant moins nombreuse sur les sommets, et de plus grande qualité, ce qui m'ajoute de la valeur. Oui, si vos concurrents directs sont des fourmis, c'est que vous chassez dans une fourmilière)*
Cela explique que la plupart des réactions hostiles (bitch shield) venant des filles que vous approchez, ne sont pas formulées spécifiquement contre vous, mais constituent une réponse automatisée préventive, forgée en ricochet par les comportements inadéquats de cette légion de psychopathes du quotidien rencontrés au cours de leur parcours amoureux.
Je vous montre la médiocrité, donc la recette inverse, c'est à dire celle qui vous aidera à devenir celui que vous êtes.
[size=75]* Je ne conseille pas de faire le kamikazé en écrasant votre petit avion à hélice sur les gigantesques canons de Pearl Harbor.
Vous pouvez (devez...?) tout à fait démarrer dans une fourmilière, si c'est votre niveau actuel. Il n'y a aucune honte à progresser, quel que soit votre niveau de départ. Vous êtes libres de monter, de ne pas stagner dans le bac à sable. À moins que vous aimiez les rateaux?
Vous avez les moyens de vous améliorer, en repoussant juste un petit peu la frontière de votre zone de confort, de façon continue, en flirtant chaque jour avec elle. C'est elle votre cible, c'est elle qui indique votre niveau et qui définit quels exercices vous devez faire.
Comme un architecte, construisez votre gratte-ciel étage par étage.
Et une fois que vous êtes capables d'obtenir 80% de résultats avec 20% d'efforts, je pense que la zone de confort est assez vaste. Je ne pense pas avoir encore atteint ce niveau, mais c'est mon objectif actuel. Peut-être que cela changera, mais ce garde-fou devrait m'éviter le piège du "toujours plus", celui du perfectionnement qui coûte cher et rapporte peu, monodimensionné et chronophage.
Vous savez, ce piège de l'extrême dans lequel tombent les séducteurs-automates, qui pratiquent la séduction comme l'alcoolique pratique les bars.
À ce stade, vous disposez d'outils performants, que vous pouvez recruter pour atteindre d'autres objectifs, pour relever d'autres défis désormais autorisés par votre altitude.
Je vous laisse imaginer ce que vous pourrez vivre grâce à votre Falcon X7 et votre chemise hawaïenne.[/size]
"It's not what you know, it's who you know.”