- Dim Juil 13, 2008 2:26 pm
#53771
et ennuyant.
Combien connaissez-vous de personnes sans aucune conversation et qui vous sont d'un profond ennui ? Combien en connaissez-vous qui prennent tout au premier degré et quand ils essaient d'en faire du second, récoltent un silence qui beaucoup en dit ?
Toutes les règles sont relatives à la personne qui les pense et sont donc liées à un contexte bien précis.
Je suis persuadé que les règles consensuelles sont faites pour être (relativement) remise en cause, et dans le domaine de la séduction, c'est la même chose.
Il est communément admis qu'offrir un verre à une inconnue, que lui parler en se penchant en avant, que lui poser des questions type entretien, amènent à l'échec de l'interaction. Mais combien peuvent se targuer d'avoir consciemment agit comme tel et en avoir constater pleinement les effets avant de juger ?
La séduction n'est pas une profession mais elle peut le devenir pour certains. On peut à la rigueur la qualifier de jeu, l'idée étant qu'il n'y a aucune règle de valable tout le temps. Il y a autant de théorème que d'exceptions (comprendre des femmes magnifiques aux bras d'hommes qui ne ressemblent à rien).
Un ingrédient pour communiquer sa joie de vivre est de prendre réellement plaisir à vivre et à faire ce que l'on fait.
Bien souvent, les rencontres les plus intéressantes, les plus amusantes, les plus mémorables, se déroulent dans un contexte où l'on ne se prend pas au sérieux réellement. Aimez-vous vous sentir si bien dans votre peau que les personnes de votre entourage le ressentent et viennent se nourrir de votre proximité ?
C'est le contraire de parler juste pour meubler les silences et pallier à l'inaction, de raconter des histoires inventées pour éblouir, de ne pas s'investir dans l'interaction...
J'ai déjà vu des jeunes hommes faire des têtes d'enterrements lorsqu'ils allaient aborder des femmes magnifiques. Ou prendre au premier degré la moindre parole qui ne va pas dans le sens de ce qu'ils attendent.
On est ce que l'on paraît, on reflète ce que l'on veut être.
Injecter une bonne dose de joie de vivre dans sa vie n'est pas aisée pour une personne dépressive ou qui a grandit sans pouvoir réellement prendre conscience des options et des choix illimités pour avancer.
En revanche, il est parfois bon de repenser à sa vie sur un court terme pour voir ce que l'on a accompli et surtout comment. Si c'est avec plaisir et sans regret, bravo. Sinon, il peut être bon de se demander comment dans le futur la rendre amusante, plaisante et légendaire. Et rien qu'avec ça, vous paraîtrez plus agréable, plus suave et plus charismatique au contact des autres.
Vivre sans regret.
C'est lors d'un WE à Bruxelles qu'un homme au blouson démoniaque m'a aidé à faire preuve de discernement par cette affirmation loin d'être médiocre : "En fait, toi tu vis sans regret...".
Il venait de résumer toute ma vie, ou presque.
[img]http://img169.imageshack.us/img169/4776/bruxellesvo1.jpg[/img]
Combien connaissez-vous de personnes sans aucune conversation et qui vous sont d'un profond ennui ? Combien en connaissez-vous qui prennent tout au premier degré et quand ils essaient d'en faire du second, récoltent un silence qui beaucoup en dit ?
Toutes les règles sont relatives à la personne qui les pense et sont donc liées à un contexte bien précis.
Je suis persuadé que les règles consensuelles sont faites pour être (relativement) remise en cause, et dans le domaine de la séduction, c'est la même chose.
Il est communément admis qu'offrir un verre à une inconnue, que lui parler en se penchant en avant, que lui poser des questions type entretien, amènent à l'échec de l'interaction. Mais combien peuvent se targuer d'avoir consciemment agit comme tel et en avoir constater pleinement les effets avant de juger ?
La séduction n'est pas une profession mais elle peut le devenir pour certains. On peut à la rigueur la qualifier de jeu, l'idée étant qu'il n'y a aucune règle de valable tout le temps. Il y a autant de théorème que d'exceptions (comprendre des femmes magnifiques aux bras d'hommes qui ne ressemblent à rien).
Un ingrédient pour communiquer sa joie de vivre est de prendre réellement plaisir à vivre et à faire ce que l'on fait.
Bien souvent, les rencontres les plus intéressantes, les plus amusantes, les plus mémorables, se déroulent dans un contexte où l'on ne se prend pas au sérieux réellement. Aimez-vous vous sentir si bien dans votre peau que les personnes de votre entourage le ressentent et viennent se nourrir de votre proximité ?
C'est le contraire de parler juste pour meubler les silences et pallier à l'inaction, de raconter des histoires inventées pour éblouir, de ne pas s'investir dans l'interaction...
J'ai déjà vu des jeunes hommes faire des têtes d'enterrements lorsqu'ils allaient aborder des femmes magnifiques. Ou prendre au premier degré la moindre parole qui ne va pas dans le sens de ce qu'ils attendent.
On est ce que l'on paraît, on reflète ce que l'on veut être.
Injecter une bonne dose de joie de vivre dans sa vie n'est pas aisée pour une personne dépressive ou qui a grandit sans pouvoir réellement prendre conscience des options et des choix illimités pour avancer.
En revanche, il est parfois bon de repenser à sa vie sur un court terme pour voir ce que l'on a accompli et surtout comment. Si c'est avec plaisir et sans regret, bravo. Sinon, il peut être bon de se demander comment dans le futur la rendre amusante, plaisante et légendaire. Et rien qu'avec ça, vous paraîtrez plus agréable, plus suave et plus charismatique au contact des autres.
Vivre sans regret.
C'est lors d'un WE à Bruxelles qu'un homme au blouson démoniaque m'a aidé à faire preuve de discernement par cette affirmation loin d'être médiocre : "En fait, toi tu vis sans regret...".
Il venait de résumer toute ma vie, ou presque.
[img]http://img169.imageshack.us/img169/4776/bruxellesvo1.jpg[/img]