- Dim Mar 15, 2015 1:20 am
#166485
Comme Stéphane a juré qu'il ne suivrait plus mes recommandations ciné, je vous en fais profiter, vous me direz si elles sont si mauvaises que ça :
Si vous aimez les bandes annonces vous pouvez regarder là [url]http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19480611&cfilm=2511.html[/url]
(moi quand je peux, j'évite soigneusement de les voir, ça garde le film intact. grâce à cette habitude, j'ai vu Matrix le jour de la sortie sans avoir jamais vu une bande annonce. imaginez la claque au moment où tout bascule !)
Donc, Alexandre le bienheureux est un film anar, révolutionnaire, un peu misogyne d'Yves Robert, sur l'oisiveté et sa considération par la société.
Dedans, vous verrez des vrais morceaux de secret agenda, de gold digging whore, de moutonisme bêlant, mais surtout, vous verrez Noiret quand il était jeune, et Marlène Jobert quand elle l'était encore plus.
L'insouciance de cette époque permettait une réflexion assez fine sur la question du "danger" de l'oisiveté et l'obligation du conformisme et du travail
Ca jette les bases qui serviront à Blier pour faire "Calmos" un film raté dont les 40 premières minutes sont inoubliables de misogynie décomplexée et jubilatoire.
Tiens, voyez ça, aussi, "Calmos"
Votre avis m'intéresse
Si vous aimez les bandes annonces vous pouvez regarder là [url]http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19480611&cfilm=2511.html[/url]
(moi quand je peux, j'évite soigneusement de les voir, ça garde le film intact. grâce à cette habitude, j'ai vu Matrix le jour de la sortie sans avoir jamais vu une bande annonce. imaginez la claque au moment où tout bascule !)
Donc, Alexandre le bienheureux est un film anar, révolutionnaire, un peu misogyne d'Yves Robert, sur l'oisiveté et sa considération par la société.
Dedans, vous verrez des vrais morceaux de secret agenda, de gold digging whore, de moutonisme bêlant, mais surtout, vous verrez Noiret quand il était jeune, et Marlène Jobert quand elle l'était encore plus.
L'insouciance de cette époque permettait une réflexion assez fine sur la question du "danger" de l'oisiveté et l'obligation du conformisme et du travail
Ca jette les bases qui serviront à Blier pour faire "Calmos" un film raté dont les 40 premières minutes sont inoubliables de misogynie décomplexée et jubilatoire.
Tiens, voyez ça, aussi, "Calmos"
Votre avis m'intéresse
l'expérience est une lanterne qui n'éclaire que celui qui la porte