- Jeu Aoû 21, 2014 8:19 am
#156909
Et me revoilà pour votre plus grand plaisir. Il était temps de faire un petit bilan de l’interaction précédente (vaguement à l'arrache...) où j'y avais été un peu fort quand même. Mais j'assume, et je présente malgré tout mes excuses à la partie du public qui s'est sentie oppressée, flouée voir même insultée et trahie par ce qu'elle pense être une invention et/ou un texte bâclé de mauvaise qualité...
Je vais la garder tel-quel quand même afin de me souvenir de ne jamais “prendre la grosse tête”. Et surtout d’essayer d’être concis et moins démago-ego centré. En relisant, j'avoue que je me déteste aussi. Donc c'était sans doute mérité.
Mais passons, voici la suite (si ça vous plait je ferai plus attention au niveau de langue et aux fautes (relecture) à l’avenir.). Et si vraiment vous voulez tout savoir, j'ai un tumblr avec le mot "lerododindron" dedans.
Pour faire simple, cette fille je l’ai revue. Le vendredi suivant (j’avais pris son numéro le vendredi d’avant) je l’ai appelée, et nous nous sommes mis d’accord pour aller boire un verre le lendemain à 13h30 dans un bar que j’aime bien en centre-ville de Genève.
Evidemment, j’arrive en retard sans le faire exprès, elle m’attendait.
On s’installe, on discute, je badine un maximum, je la branche sur Tinder quand elle sort son téléphone pendant 1/2 seconde quand je lui dit que je n’aime pas les gens qui ont des iphone en lui disant que même avec ce truc on ne se serait jamais rencontrés… et d’autres choses futiles… Puis je lui dit “Et ton mec il en pense quoi de tout ça ?”, elle m’avoue alors qu’elle en a un…
E : “Il n’en pense rien, il veut un truc sérieux. Et moi pas”.
À ce moment je lui dis, "ne t’inquiète pas moi aussi j’ai une copine. On vit ensemble même."
Elle me regarde, l’air choquée.
E : “je ne m’attendais pas à ce que tu me dises ça”.
M :”Au moins on se comprend, on est sur la même longueur d’onde”.
Le badinage continue et à un moment donné je lui dit “y’a-t-il encore des vrais mecs qui n’ont pas peur d’embrasser les filles quand c’est le bon moment au lieu d’avoir peur et d’attendre ?”
E : “J’espère” -se tournant vers moi et me regardant dans le yeux.
M : “J’espère aussi…” (pensant : non tu vas attendre encore un peu).
5 minutes plus tard je commençais à être à court d’idée, cela faisait 3/4 d’heures que l’on discutait, elle m’envoyait beaucoup beaucoup de signes d’intérêts (mordillage de lèvres, secouage de cheveux, regards longs, relance de conversation, etc) et je voyais les gens autour nous regarder en permanence. Je lui dit “Allez viens on se casse” assez subitement et sans transition. Elle me dit ok, se lève, je paye (pour les 2…) et on part.
Elle est venue en bus, donc évidemment je lui propose de la ramener, et à peine est-elle assise dans la smart que….
M : “L***se… regarde moi” -l’attrape par la nuque et la penche vers moi
Et kiss-close. Long et intense, à tel point que voila que je l’entends se mettre à gémir légèrement…
Je reprends mes esprits et lui dit :
M : “Bon tu vas devoir te tenir encore un peu pour que je conduise”
E : “pas de problème c’est toi hein…” (ben voyons…)
Je démarre lentement et nous roulons (il se trouve qu’elle habite dans une résidence proche de chez moi, cool et pas cool, ce sont en fait ses parents, elle étudie à Lyon).
Evidemment, chaque feu rouge (très long à Genève, Dieu merci pour une fois) / stop / céder le passage est une excuse pour un nouveau k-close et à chacun d’entre eux j’escalade les caresses, sur son corps, nuque, poitrine, bassin, puis entre ses cuisses… (Oui le tout en conduisant.)
Au bout d’un moment, la sentant trop timide, je prends sa main et la pose sur ma braguette, dieu merci elle saura faire le reste.
Nous voici maintenant sur le parking devant chez elle, très ouvert et très fréquenté, à deux pas de la frontière.
Elle me regarde, je la regarde :
M : “Bon allez c’est l’heure que tu y ailles”
E : “Oui il faut que j’y aille”.
Elle se tourne comme pour sortir, j’attrape son bras et c’est reparti pour le k-close (vous ais-je précisé que ma braguette était ouverte et ma q***e sortie ?)
Je la caresse, elle me caresse également, et alors que je l’embrasse, à un moment donné, je met ma main derrière sa nuque et exerce une légère pression vers le bas.
Il n’en faudra pas plus. Elle s’exécute pour le “s**e-close”.
Comme elle avait l’air motivée, j’ai redémarré pour aller me garer dans un endroit un peu plus à l’abris des regards indiscrets. Au bout de quelques minutes je lui dit d’arrêter ou il va y avoir un catastrophe.
Elle ne s’arrête pas, et là c’est le drame. À ma grande surprise elle a tout a***é, et quand je lui dit :
M : “Tu n’étais pas obligée, tu aurais pu cracher par la fenêtre”
E : “C’est sale je n’allais quand même pas faire ça”. (adorable…)
Au moment où je lève les yeux je vois des gens arriver, déposés par le bus qui venait de passer. Je démarre et la dépose devant chez elle.
Je lui dit :
M : “Je t’appelle, je t’en dois une”
E : “OK”. (-sort l’air tristounet et part très vite)
Et le soir j’ai pu constater tout l’amour qu’elle avait effectivement pour son copain lors de la soirée à laquelle elle a participé le soir-même, et dont les photos étaient en ligne avant le lendemain sur facebook. (hooo que c'est beau, l'amour pure et sans limites.)
Cette fille je l’ai revue de nouveau quelques temps plus tard… Et ce n’est pas triste pour ce qui est de F-pure niveau fiabilité/attrait sessouel. Si ça vous intéresse je pourrai développer.
Voila j'espère que ça vous a plus. ça reste un peu brut, mais j'aime aller à l'essentiel. Si vous trouvez que ça manque de détails et si vous avez des questions, suggestions, remarques ou insultes. Je suis à votre disposition.
R
Je vais la garder tel-quel quand même afin de me souvenir de ne jamais “prendre la grosse tête”. Et surtout d’essayer d’être concis et moins démago-ego centré. En relisant, j'avoue que je me déteste aussi. Donc c'était sans doute mérité.
Mais passons, voici la suite (si ça vous plait je ferai plus attention au niveau de langue et aux fautes (relecture) à l’avenir.). Et si vraiment vous voulez tout savoir, j'ai un tumblr avec le mot "lerododindron" dedans.
Pour faire simple, cette fille je l’ai revue. Le vendredi suivant (j’avais pris son numéro le vendredi d’avant) je l’ai appelée, et nous nous sommes mis d’accord pour aller boire un verre le lendemain à 13h30 dans un bar que j’aime bien en centre-ville de Genève.
Evidemment, j’arrive en retard sans le faire exprès, elle m’attendait.
On s’installe, on discute, je badine un maximum, je la branche sur Tinder quand elle sort son téléphone pendant 1/2 seconde quand je lui dit que je n’aime pas les gens qui ont des iphone en lui disant que même avec ce truc on ne se serait jamais rencontrés… et d’autres choses futiles… Puis je lui dit “Et ton mec il en pense quoi de tout ça ?”, elle m’avoue alors qu’elle en a un…
E : “Il n’en pense rien, il veut un truc sérieux. Et moi pas”.
À ce moment je lui dis, "ne t’inquiète pas moi aussi j’ai une copine. On vit ensemble même."
Elle me regarde, l’air choquée.
E : “je ne m’attendais pas à ce que tu me dises ça”.
M :”Au moins on se comprend, on est sur la même longueur d’onde”.
Le badinage continue et à un moment donné je lui dit “y’a-t-il encore des vrais mecs qui n’ont pas peur d’embrasser les filles quand c’est le bon moment au lieu d’avoir peur et d’attendre ?”
E : “J’espère” -se tournant vers moi et me regardant dans le yeux.
M : “J’espère aussi…” (pensant : non tu vas attendre encore un peu).
5 minutes plus tard je commençais à être à court d’idée, cela faisait 3/4 d’heures que l’on discutait, elle m’envoyait beaucoup beaucoup de signes d’intérêts (mordillage de lèvres, secouage de cheveux, regards longs, relance de conversation, etc) et je voyais les gens autour nous regarder en permanence. Je lui dit “Allez viens on se casse” assez subitement et sans transition. Elle me dit ok, se lève, je paye (pour les 2…) et on part.
Elle est venue en bus, donc évidemment je lui propose de la ramener, et à peine est-elle assise dans la smart que….
M : “L***se… regarde moi” -l’attrape par la nuque et la penche vers moi
Et kiss-close. Long et intense, à tel point que voila que je l’entends se mettre à gémir légèrement…
Je reprends mes esprits et lui dit :
M : “Bon tu vas devoir te tenir encore un peu pour que je conduise”
E : “pas de problème c’est toi hein…” (ben voyons…)
Je démarre lentement et nous roulons (il se trouve qu’elle habite dans une résidence proche de chez moi, cool et pas cool, ce sont en fait ses parents, elle étudie à Lyon).
Evidemment, chaque feu rouge (très long à Genève, Dieu merci pour une fois) / stop / céder le passage est une excuse pour un nouveau k-close et à chacun d’entre eux j’escalade les caresses, sur son corps, nuque, poitrine, bassin, puis entre ses cuisses… (Oui le tout en conduisant.)
Au bout d’un moment, la sentant trop timide, je prends sa main et la pose sur ma braguette, dieu merci elle saura faire le reste.
Nous voici maintenant sur le parking devant chez elle, très ouvert et très fréquenté, à deux pas de la frontière.
Elle me regarde, je la regarde :
M : “Bon allez c’est l’heure que tu y ailles”
E : “Oui il faut que j’y aille”.
Elle se tourne comme pour sortir, j’attrape son bras et c’est reparti pour le k-close (vous ais-je précisé que ma braguette était ouverte et ma q***e sortie ?)
Je la caresse, elle me caresse également, et alors que je l’embrasse, à un moment donné, je met ma main derrière sa nuque et exerce une légère pression vers le bas.
Il n’en faudra pas plus. Elle s’exécute pour le “s**e-close”.
Comme elle avait l’air motivée, j’ai redémarré pour aller me garer dans un endroit un peu plus à l’abris des regards indiscrets. Au bout de quelques minutes je lui dit d’arrêter ou il va y avoir un catastrophe.
Elle ne s’arrête pas, et là c’est le drame. À ma grande surprise elle a tout a***é, et quand je lui dit :
M : “Tu n’étais pas obligée, tu aurais pu cracher par la fenêtre”
E : “C’est sale je n’allais quand même pas faire ça”. (adorable…)
Au moment où je lève les yeux je vois des gens arriver, déposés par le bus qui venait de passer. Je démarre et la dépose devant chez elle.
Je lui dit :
M : “Je t’appelle, je t’en dois une”
E : “OK”. (-sort l’air tristounet et part très vite)
Et le soir j’ai pu constater tout l’amour qu’elle avait effectivement pour son copain lors de la soirée à laquelle elle a participé le soir-même, et dont les photos étaient en ligne avant le lendemain sur facebook. (hooo que c'est beau, l'amour pure et sans limites.)
Cette fille je l’ai revue de nouveau quelques temps plus tard… Et ce n’est pas triste pour ce qui est de F-pure niveau fiabilité/attrait sessouel. Si ça vous intéresse je pourrai développer.
Voila j'espère que ça vous a plus. ça reste un peu brut, mais j'aime aller à l'essentiel. Si vous trouvez que ça manque de détails et si vous avez des questions, suggestions, remarques ou insultes. Je suis à votre disposition.
R