- Mer Fév 03, 2010 8:16 pm
#89798
Bonsoir,
Depuis quelques temps, je me suis mis à être plus attentif à ma tenue. A ma gestuelle également; J'avais autrefois des mouvements un peu trop brusques ; je les ai ralenti. Mes efforts, de manière générale ont payé.
Plus de filles qui se touchent les cheveux en me croisant, certaines qui traversent tout le bus, me lance un regard, et s'asseoivent à côté de moi, des regards un peu trop appuyés pour être juste de curiosité dans le reflets des vitres du métro, et comble de l'évidence, cette anglaise qui me faisait du pied dans le vol Londres-New York…A vrai dire, je ne suis pas si loin de pouvoir commencer la vie que j'aimerais tant mener. Cette fameuse vie ou tu CHOISIS celle qui te plait.
Oui, oui, commencer...car il n'est pas question de se lancer sans avoir régler CE problème. Il est vital,et je m'y atèle à vrai dire depuis quelques mois, mais sans résultats.
S'étant renouvelé cette après midi même, voilà donc une opportunité de vous l’exposer de manière claire et concise. Je vous fais un rapide topo :
J'avais un banal rendez-vous professionnel à 17h avec une consultante. Il s'est trouvé que la consultante était jeune et jolie. Peau de porcelaine, quelques tâches de rousseur, des cheveux blonds nuancés de roux et surtout lorsqu’elle sourit elle passe du stade de jolie à EXTREMEMENT jolie. Etrange, moi qui suis généralement attiré par les filles à la peau légèrement bronzée.
Au début de l'entretien, -il va de soit- elle me présente l'agence, ses missions, ses us. Bien éduqué, je regarde toujours mes interlocuteurs dans les yeux lorsqu’ils me parlent. Je n’y coupe pas et m'y exécute donc. Alors bien sûr, il y a une sorte de règle muette lorsque l'on parle à quelqu'un. Il faut fixer la personne dans les yeux, mais également avoir qq temps d'arrêt histoire de ne pas créer la gêne. Il se trouve qu’elle avait un regard franc (pas intéréssé je pense). un peu trop franc en fait, elle ne marquait pas cette fameuse pause dont j'ai parlé.
Patatra !
Le stress monte..
Je me sens tendu mais pas au bon endroit…
Et là...
C'est le drame !
Symptômes cliniques :
-Je me crispe
-Il m'est impossible de sourire
-Je sens le haut de ma tête qui tremble légèrement
-Je finis par capituler et regarde la table (bien moins intéressante que la fille).
C'était si visible qu'elle m'a demandé si j'allais bien et voulais un verre d'eau...
Etrangement ce "malaise" s'estompe, et disparaît presque totalement quand je peux m’exprimer.
Vous avez sûrement plus ou moins deviné mes interrogations :
1) avez-vous déjà ressenti d'une manière aussi...violente ? le stress lorsque vous étiez en face d'une fille qui vous plaisait ?
2) si oui (de préférence), avez-vous trouvé les clés pour éradiquer cet immondice qui me pourrit la vie et m'a sapé de très très belles opportunités…Genre la magnifique blonde dans le métro new Yorkais qui te fixe avec une telle intensité que si elle t’attrapait avec un lasso ça ne serait pas plus explicite…
Tant que je n'aurais pas réglé ce problème d'aisance qui sape mon naturel, me lancer dans le jeu de la séduction va être difficile voir impossible. Car oui, rappelez-vous la première règle de toute première interaction, que ça soit avec une fille ou un garçon d’ailleurs.
La normalité. Alors...un conseil pour sauver ma normalité docteur ?
Depuis quelques temps, je me suis mis à être plus attentif à ma tenue. A ma gestuelle également; J'avais autrefois des mouvements un peu trop brusques ; je les ai ralenti. Mes efforts, de manière générale ont payé.
Plus de filles qui se touchent les cheveux en me croisant, certaines qui traversent tout le bus, me lance un regard, et s'asseoivent à côté de moi, des regards un peu trop appuyés pour être juste de curiosité dans le reflets des vitres du métro, et comble de l'évidence, cette anglaise qui me faisait du pied dans le vol Londres-New York…A vrai dire, je ne suis pas si loin de pouvoir commencer la vie que j'aimerais tant mener. Cette fameuse vie ou tu CHOISIS celle qui te plait.
Oui, oui, commencer...car il n'est pas question de se lancer sans avoir régler CE problème. Il est vital,et je m'y atèle à vrai dire depuis quelques mois, mais sans résultats.
S'étant renouvelé cette après midi même, voilà donc une opportunité de vous l’exposer de manière claire et concise. Je vous fais un rapide topo :
J'avais un banal rendez-vous professionnel à 17h avec une consultante. Il s'est trouvé que la consultante était jeune et jolie. Peau de porcelaine, quelques tâches de rousseur, des cheveux blonds nuancés de roux et surtout lorsqu’elle sourit elle passe du stade de jolie à EXTREMEMENT jolie. Etrange, moi qui suis généralement attiré par les filles à la peau légèrement bronzée.
Au début de l'entretien, -il va de soit- elle me présente l'agence, ses missions, ses us. Bien éduqué, je regarde toujours mes interlocuteurs dans les yeux lorsqu’ils me parlent. Je n’y coupe pas et m'y exécute donc. Alors bien sûr, il y a une sorte de règle muette lorsque l'on parle à quelqu'un. Il faut fixer la personne dans les yeux, mais également avoir qq temps d'arrêt histoire de ne pas créer la gêne. Il se trouve qu’elle avait un regard franc (pas intéréssé je pense). un peu trop franc en fait, elle ne marquait pas cette fameuse pause dont j'ai parlé.
Patatra !
Le stress monte..
Je me sens tendu mais pas au bon endroit…
Et là...
C'est le drame !
Symptômes cliniques :
-Je me crispe
-Il m'est impossible de sourire
-Je sens le haut de ma tête qui tremble légèrement
-Je finis par capituler et regarde la table (bien moins intéressante que la fille).
C'était si visible qu'elle m'a demandé si j'allais bien et voulais un verre d'eau...
Etrangement ce "malaise" s'estompe, et disparaît presque totalement quand je peux m’exprimer.
Vous avez sûrement plus ou moins deviné mes interrogations :
1) avez-vous déjà ressenti d'une manière aussi...violente ? le stress lorsque vous étiez en face d'une fille qui vous plaisait ?
2) si oui (de préférence), avez-vous trouvé les clés pour éradiquer cet immondice qui me pourrit la vie et m'a sapé de très très belles opportunités…Genre la magnifique blonde dans le métro new Yorkais qui te fixe avec une telle intensité que si elle t’attrapait avec un lasso ça ne serait pas plus explicite…
Tant que je n'aurais pas réglé ce problème d'aisance qui sape mon naturel, me lancer dans le jeu de la séduction va être difficile voir impossible. Car oui, rappelez-vous la première règle de toute première interaction, que ça soit avec une fille ou un garçon d’ailleurs.
La normalité. Alors...un conseil pour sauver ma normalité docteur ?
Aux yeux du monde, on est ce que l'on fait. Agis.