- Dim Aoû 17, 2008 7:48 pm
#56178
Bonjour à vous,
Je vis en proche banlieue de Paris, j'ai la trentaine, marié, un enfant. Je suis chercheur en mathématiques appliquées (un bon profil de geek mais je me soigne).
Le hasard et l'expérience m'ont donné trois qualités qui j'espère me seront utiles pour séduire : j'invente des trucs tout le temps, drôles (humour circonstancié qui met à l'aise mes ami(e)s) ou sérieux (j'en ai fait mon métier); je sais écouter (effet secondaire de mon principal défaut); et je suis beau gosse athlétique aux yeux bleus (les filles qui me côtoient ou que je croise me le font savoir soit cash, soit par leurs regards appuyés ou leur sourire instantané quand je m'adresse à elles). Par contre j'ai un "problème" majeur, contre lequel je suis entrain de venir à bout pour sortir du mode AFC qui me colle à la peau : car j'étais (et je suis encore un peu mais ça s'estompe largement maintenant) éreutophobe ("peur de rougir")*. En gros j'ai souffert, mais maintenant ça me sert.
Notez qu'un éreutophobe ne rougit pas parce qu'il est timide, mais est timide parce qu'il rougit. Ce qui signifie que maintenant que j'ai à peu près éradiqué cette phobie, je ne suis plus timide et ça, ça me donne une énergie incroyable que je veux apprendre à maitriser ici. C'est une libération, en quelque sorte le début d'une seconde vie pour moi.
En séduction, je suis encore grand débutant, je commence depuis un mois à m'adresser aux vendeuses dans les magasins, et aux filles dans la rue ou en boîte. Pas de numClose, mais juste socialiser avec des inconnu(e)s pour le moment, sous n'importe quel prétexte. Le fait pour moi d'être capable sans rougir, de parler à une inconnue (même si je suis encore souvent en mode AFC, i.e. inintéressant mais sans être lourd) et de lui décrocher un sourire, c'est une victoire sur moi-même. J'ai quand même grâce à mon physique et mon humour (mais certainement pas grâce à mon "game") pu sortir avec quelques filles et finalement ma femme mais c'était du tout cuit, elles me connaissaient, vivez dans mon entourage et je leur plaisais sans avoir besoin d'une méthode, elles étaient AFC (si ça a un sens pour une fille) et pas des filles niveau 8,9 ou 10, pas les parisiennes que j'ai accostées en boîte récemment (qui sont pour moi des murailles infranchissables en comparaison).
En look, je me débrouille, j'ai pas un killer look mais j'ai quelques tenues qui le font bien. Mon physique m'aide je pense à combler ce qui manque (mais je sais qu'il me manque pas mal de trucs).
Je viens chercher ici les expériences et les règles qui en sont issues, pour exploiter à mort le potentiel que je pense avoir, pour me venger des 20 dernières années qui sont passées sous mon nez du point de vue séduction féminine (de bombes bien entendu), du point de vue séduction tout court (ma prochaine augmentation), et du point de vue de ma vie d'être humain (ne plus me faire marcher sur les pieds ni manipuler par qui que ce soit).
Je suis arrivé ici par hasard depuis le site FrenchTouchSeduction, je cherchais des conseils pour draguer, et je tombe sur une vraie caverne d'alibaba.
Pour terminer ma présentation, je rappelle que je suis marié. Je ne cherche pas à divorcer, mais des aventures court terme/FuckFriend discrètes (ne me qualifiez pas sans connaître mon histoire). Vous comprendrez que s'ajoute là un handicap non négligeable à mon "game", que je n'ai pour le moment vu abordé dans aucun File Report (mais je n'ai pas encore tout lu). Ce serait l'équivalent d'un "je veux fuck closer ma cible, mais j'ai une relation de long terme et je ne la quitterai pas" (dans les File Report que j'ai lus, les séducteurs ne sont pas en relation longue lorsqu'ils veulent FuckCloser), et cela pose des problèmes particuliers : faut-il mentir à sa cible? J'enlève ma bague ou je la garde? sinon lorsque la cible parle de son propre copain, on fait quoi? on dit quoi? ou si elle dit qu'elle est fidèle ou qu'elle aime les hommes fidèles, ou que ce que je fait c'est "mal"... Des questions qui m'intéressent particulièrement, mais je sens que sur celles-ci je vais apprendre sur le tas et je vous ferai partager mes expériences.
A bientôt donc, probablement avec un journal de bord.
* C'est à dire que je rougis très fortement (visage et cou pivoine) à la moindre émotion. Par le fait d'un emballement, une sorte de cercle vicieux, si je rougis un tout petit peu, je le sens (mon visage s'échauffe), j'en ai honte et je rougis donc davantage, et ainsi de suite jusqu'à la saturation, en quelques secondes, et pour une durée de plusieurs minutes. Les moqueries provoquées par mes rougissements intempestifs ont atteint leur paroxysme au lycée. Imaginez simplement qu'aucune de vos émotions ne puisse être cachée, une joie, une peine, une colère, une honte, une envie, la vue d'une fille, ou une fille qui s'adresse à vous même pour n'importe quelle raison absolument sans enjeu..., et vous comprendrez le calvaire que j'ai vécu jusqu'à l'âge adulte. Du fait de ces moqueries, j'ai développé enfant et surtout adolescent une phobie, la peur de rougir en public, or vous l'avez compris, la peur est une émotion, il suffit donc pour obtenir ce joli teint rubicond, que j'imagine que je vais rougir dans une situation qui ne s'est même pas encore présentée (par exemple entrer tous les matins dans la cour du lycée devant les centaines d'yeux qu'il me suffit de croire tournés vers moi, ou plus récemment, me retrouver face à mes étudiants, ou face au public lors d'une conférence). Ce handicap m'a rendu très réservé/timide : inconvénient majeur presque aucun contact social, aucune expérience d'échange avec les autres, surtout pas avec les filles. Conséquence majeure, un besoin de plaire et d'être apprécié, une soif de reconnaissance (puisqu'on c'est trop souvent moqué de moi), qui sont excessifs (je suis donc par nature trop needy et j'ai subi plusieurs obsession amoureuse). Effets secondaire : concentration sur mes études qui m'ont menées là où je suis, application et perfectionnisme (pour ne soulever aucun réprimande publique), écoute, observation et apprentissage des comportements positifs et négatifs des autres (mais sans mise en pratique). Bonne culture générale (je lisais beaucoup au lieu de socialiser). Ouverture d'esprit : quand on se moque de vous, vous commencez à analyser et prendre du recul sur tout. Mon métier me permet de voyager et d'échanger beaucoup socialement mais seulement au niveau professionnel. Je suis apprécié de mes amis (humour, écoute, ouverture, culture suffisante pour aborder de nombreux sujets). Besoin de plaire (habits plutôt mode, culturisme, hygiène poussée et hygiène de vie). Et finalement un calme olympien, je maitrise mes émotions (puisque sinon je passe en mode tomate).
Je vis en proche banlieue de Paris, j'ai la trentaine, marié, un enfant. Je suis chercheur en mathématiques appliquées (un bon profil de geek mais je me soigne).
Le hasard et l'expérience m'ont donné trois qualités qui j'espère me seront utiles pour séduire : j'invente des trucs tout le temps, drôles (humour circonstancié qui met à l'aise mes ami(e)s) ou sérieux (j'en ai fait mon métier); je sais écouter (effet secondaire de mon principal défaut); et je suis beau gosse athlétique aux yeux bleus (les filles qui me côtoient ou que je croise me le font savoir soit cash, soit par leurs regards appuyés ou leur sourire instantané quand je m'adresse à elles). Par contre j'ai un "problème" majeur, contre lequel je suis entrain de venir à bout pour sortir du mode AFC qui me colle à la peau : car j'étais (et je suis encore un peu mais ça s'estompe largement maintenant) éreutophobe ("peur de rougir")*. En gros j'ai souffert, mais maintenant ça me sert.
Notez qu'un éreutophobe ne rougit pas parce qu'il est timide, mais est timide parce qu'il rougit. Ce qui signifie que maintenant que j'ai à peu près éradiqué cette phobie, je ne suis plus timide et ça, ça me donne une énergie incroyable que je veux apprendre à maitriser ici. C'est une libération, en quelque sorte le début d'une seconde vie pour moi.
En séduction, je suis encore grand débutant, je commence depuis un mois à m'adresser aux vendeuses dans les magasins, et aux filles dans la rue ou en boîte. Pas de numClose, mais juste socialiser avec des inconnu(e)s pour le moment, sous n'importe quel prétexte. Le fait pour moi d'être capable sans rougir, de parler à une inconnue (même si je suis encore souvent en mode AFC, i.e. inintéressant mais sans être lourd) et de lui décrocher un sourire, c'est une victoire sur moi-même. J'ai quand même grâce à mon physique et mon humour (mais certainement pas grâce à mon "game") pu sortir avec quelques filles et finalement ma femme mais c'était du tout cuit, elles me connaissaient, vivez dans mon entourage et je leur plaisais sans avoir besoin d'une méthode, elles étaient AFC (si ça a un sens pour une fille) et pas des filles niveau 8,9 ou 10, pas les parisiennes que j'ai accostées en boîte récemment (qui sont pour moi des murailles infranchissables en comparaison).
En look, je me débrouille, j'ai pas un killer look mais j'ai quelques tenues qui le font bien. Mon physique m'aide je pense à combler ce qui manque (mais je sais qu'il me manque pas mal de trucs).
Je viens chercher ici les expériences et les règles qui en sont issues, pour exploiter à mort le potentiel que je pense avoir, pour me venger des 20 dernières années qui sont passées sous mon nez du point de vue séduction féminine (de bombes bien entendu), du point de vue séduction tout court (ma prochaine augmentation), et du point de vue de ma vie d'être humain (ne plus me faire marcher sur les pieds ni manipuler par qui que ce soit).
Je suis arrivé ici par hasard depuis le site FrenchTouchSeduction, je cherchais des conseils pour draguer, et je tombe sur une vraie caverne d'alibaba.
Pour terminer ma présentation, je rappelle que je suis marié. Je ne cherche pas à divorcer, mais des aventures court terme/FuckFriend discrètes (ne me qualifiez pas sans connaître mon histoire). Vous comprendrez que s'ajoute là un handicap non négligeable à mon "game", que je n'ai pour le moment vu abordé dans aucun File Report (mais je n'ai pas encore tout lu). Ce serait l'équivalent d'un "je veux fuck closer ma cible, mais j'ai une relation de long terme et je ne la quitterai pas" (dans les File Report que j'ai lus, les séducteurs ne sont pas en relation longue lorsqu'ils veulent FuckCloser), et cela pose des problèmes particuliers : faut-il mentir à sa cible? J'enlève ma bague ou je la garde? sinon lorsque la cible parle de son propre copain, on fait quoi? on dit quoi? ou si elle dit qu'elle est fidèle ou qu'elle aime les hommes fidèles, ou que ce que je fait c'est "mal"... Des questions qui m'intéressent particulièrement, mais je sens que sur celles-ci je vais apprendre sur le tas et je vous ferai partager mes expériences.
A bientôt donc, probablement avec un journal de bord.
* C'est à dire que je rougis très fortement (visage et cou pivoine) à la moindre émotion. Par le fait d'un emballement, une sorte de cercle vicieux, si je rougis un tout petit peu, je le sens (mon visage s'échauffe), j'en ai honte et je rougis donc davantage, et ainsi de suite jusqu'à la saturation, en quelques secondes, et pour une durée de plusieurs minutes. Les moqueries provoquées par mes rougissements intempestifs ont atteint leur paroxysme au lycée. Imaginez simplement qu'aucune de vos émotions ne puisse être cachée, une joie, une peine, une colère, une honte, une envie, la vue d'une fille, ou une fille qui s'adresse à vous même pour n'importe quelle raison absolument sans enjeu..., et vous comprendrez le calvaire que j'ai vécu jusqu'à l'âge adulte. Du fait de ces moqueries, j'ai développé enfant et surtout adolescent une phobie, la peur de rougir en public, or vous l'avez compris, la peur est une émotion, il suffit donc pour obtenir ce joli teint rubicond, que j'imagine que je vais rougir dans une situation qui ne s'est même pas encore présentée (par exemple entrer tous les matins dans la cour du lycée devant les centaines d'yeux qu'il me suffit de croire tournés vers moi, ou plus récemment, me retrouver face à mes étudiants, ou face au public lors d'une conférence). Ce handicap m'a rendu très réservé/timide : inconvénient majeur presque aucun contact social, aucune expérience d'échange avec les autres, surtout pas avec les filles. Conséquence majeure, un besoin de plaire et d'être apprécié, une soif de reconnaissance (puisqu'on c'est trop souvent moqué de moi), qui sont excessifs (je suis donc par nature trop needy et j'ai subi plusieurs obsession amoureuse). Effets secondaire : concentration sur mes études qui m'ont menées là où je suis, application et perfectionnisme (pour ne soulever aucun réprimande publique), écoute, observation et apprentissage des comportements positifs et négatifs des autres (mais sans mise en pratique). Bonne culture générale (je lisais beaucoup au lieu de socialiser). Ouverture d'esprit : quand on se moque de vous, vous commencez à analyser et prendre du recul sur tout. Mon métier me permet de voyager et d'échanger beaucoup socialement mais seulement au niveau professionnel. Je suis apprécié de mes amis (humour, écoute, ouverture, culture suffisante pour aborder de nombreux sujets). Besoin de plaire (habits plutôt mode, culturisme, hygiène poussée et hygiène de vie). Et finalement un calme olympien, je maitrise mes émotions (puisque sinon je passe en mode tomate).
