- Lun Aoû 11, 2008 9:41 pm
#55807
Salut à tous,
Je m'appelle Patrick mais on dit Bob.
Je vous rejoints grâce à un membre éminent de ce forum qui m'en a parlé après deux nuits de drague complètement folles au festival d'Avignon (à l'occasion je vous ferai d'ailleurs un rapport sur le façon dont j'ai fini en roulant des patins à une lesbienne).
Au point de vue drague, disons que je suis un self-made-man. Après des années de lycée particulièrement pénible au niveau de l'estime de soi, j'ai compris qu'il fallait reprendre les choses à zéro. Je me suis mis à observer les bons dragueurs et à les imiter. Fondamentalement, je n'ai pas développé des techniques particulièrement poussées, mais j'ai vite compris le principe de la congruence. Et je n'avais plus qu'à m'imaginer très fort être un super-lover et les filles tombaient. Enfin, pas toutes quand même En lisant The Game, j'ai compris quelques petites erreurs et surtout comment enchaîner les opérations pour augmenter mon niveau. Ma grande spécialité, c'est l'humour absurde* que j'utilise beaucoup en drague.
Sinon, j'ai 35 ans, je suis marié, j'habite Bruxelles et je m'intéresse au commerce de l'art primitif. Et, chose qui parlera sûrement à Spike, j'ai une thèse de doctorat en sociologie.
Je viens ici pour acquérir la démarche réflexive par rapport à la pratique de terrain et pour améliorer mon niveau de drague général. J'ai encore des progrès à faire point de vue look. Mon objectif à court terme : passer au moins 3 nuits sur 7 avec une nana (pas nécessairment la même) lors d'un stage de plongée au club med dans 15 jours.
*à ne jamais utiliser en drague.
Je m'appelle Patrick mais on dit Bob.
Je vous rejoints grâce à un membre éminent de ce forum qui m'en a parlé après deux nuits de drague complètement folles au festival d'Avignon (à l'occasion je vous ferai d'ailleurs un rapport sur le façon dont j'ai fini en roulant des patins à une lesbienne).
Au point de vue drague, disons que je suis un self-made-man. Après des années de lycée particulièrement pénible au niveau de l'estime de soi, j'ai compris qu'il fallait reprendre les choses à zéro. Je me suis mis à observer les bons dragueurs et à les imiter. Fondamentalement, je n'ai pas développé des techniques particulièrement poussées, mais j'ai vite compris le principe de la congruence. Et je n'avais plus qu'à m'imaginer très fort être un super-lover et les filles tombaient. Enfin, pas toutes quand même En lisant The Game, j'ai compris quelques petites erreurs et surtout comment enchaîner les opérations pour augmenter mon niveau. Ma grande spécialité, c'est l'humour absurde* que j'utilise beaucoup en drague.
Sinon, j'ai 35 ans, je suis marié, j'habite Bruxelles et je m'intéresse au commerce de l'art primitif. Et, chose qui parlera sûrement à Spike, j'ai une thèse de doctorat en sociologie.
Je viens ici pour acquérir la démarche réflexive par rapport à la pratique de terrain et pour améliorer mon niveau de drague général. J'ai encore des progrès à faire point de vue look. Mon objectif à court terme : passer au moins 3 nuits sur 7 avec une nana (pas nécessairment la même) lors d'un stage de plongée au club med dans 15 jours.
*à ne jamais utiliser en drague.
Au début des années soixante, la barbe était encore fasciste, en soixante-huit elle avait été contestataire, et à présent, elle devenait neutre et universelle, choix de liberté. La barbe a toujours été un masque (on se met une barbe postiche pour ne pas être reconnu), mais en ce début des années soixante-dix, on pouvait se camoufler derrière une vraie barbe. On pouvait mentir en disant la vérité, mieux, en rendant la vérité énigmatique et fuyante, car face à une barbe, on ne pouvait plus en déduire l'idéologie du barbu. Mais ce soir-là, la barbe resplendissait même sur les visages glabres de ceux qui, tout en ne la portant pas, laissaient comprendre qu'ils auraient pu la cultiver et n'y avait renoncer que par défi. (U. Eco)