- Mer Juin 13, 2012 9:47 pm
#123052
Parce que "Brainy is the new sexy", surtout quand avec un corps parfait on a le culot de se présenter nue.
Les connaisseurs auront reconnu en moi Irène Adler, La femme qui fait tourner la tête de Sherlock dans la petite perle de la BBC.
Comme elle, donc, je suis une femme. Une femme ne cachant pas un certain attrait pour les personnes intelligentes, un peu hors clous, et qui veulent bien jouer avec moi. Les plus perspicaces auront remarqué également que j'ai utilisé le terme "personnes" plutôt que de parler d'homme. Je chasse sur tous les terrains.
Un peu plus jeune qu'Irène, je suis encore dans ma glorieuse vingtaine. Employée dans le secteur culturel, début de carrière je l'espère prometteuse, je suis du genre ambitieuse et très prise par les horaires de cadre. Horaires de cadre, pas "statut", qui lui reste modeste.
Même les moins perspicaces auront remarqué que j'ai un certain niveau d'éducation, et n'auront pas eu tord de conclure que je vie en secteur urbain. Les plus malins auront conclu que si je ne nomme pas ma ville, c'est qu'elle n'est pas Paris.
Mon "look" est mouvant. Je suis un peu caméléon, principalement par jeu, mais également parce que je fais fréquement le grand écart entre des groupes sociaux ayant peu à voir les uns avec les autres, et qu'il est tellement plus reposant de donner l'impression aux gens d'être des leurs plutôt que de s'accrocher à une identité incarner par un costume ...
Physiquement, puisque je sais que ça vous intéresse, je me considère comme étant jolie, et je n'hésite pas à me mettre en valeur quand je sais que les circonstances vont m'amener à rencontrer d'autres êtres humains ou assimilés.
J'ai des "points faibles" physiques, bien sur : quelques rondeurs, une petite taille, un manque d'attrait certain pour le sport, qui m'ennuie. Compensés largement par une allure sophistiquée, maquillage élégant, jupes courtes, seins que je laisse deviner, cheveux blonds, courts, et à la coupe soignée.
Je sais selon l'humeur attirer les regard ou passer inaperçue, et je n'ai aucune difficulté à ramasser un partenaire d'une nuit.
Ce qui m'amène ici maintenant.
Une situation délicate. J'hésite à choisir une stratégie pour la mener à bien.
Situons.
Depuis plusieurs mois, je me rapproche d'une jeune chirurgienne tout aussi ouverte aux personnes de tous sexes que moi. La charmante jeune femme vie fort loin de ma ville. D'échanges d'sms quotidiens en discussions sur internet, en passant par les appels téléphoniques, nous sommes devenues assez intimes. Ce n'est pas une parfaite inconnue, j'ai fais sa connaissance dans un cercle amical il y a un an de cela, mais ne l'est plus vue en chair depuis lors.
Bien sûr, je n'ai pas gardé ce lien dans des visées chastes. Et j'ai gagné une première étape : elle me demande de venir la voir.
Vacances posées, une semaine en juillet, où elle m'accueillera chez elle.
6 jours pour lui faire comprendre que nous ne serons jamais des amies, mais que d'autres configurations ne me laissent pas indifférente.
Parallèlement à cela, il y a deux mois, me voici rejoindre pour les beaux yeux d'un splendide appartement en quartier chic une colocation avec deux garçons, dix ans plus âgés que votre Irène déjà préférée. De premier abord, je les trouve tous les deux laids et en suis très heureuse. Ils sont sympathiques et l'appartement magnifique.
Me voici à emmenager ... et à trouver un jeune homme magnifiquement formé dormant à demi nu dans le salon. Il s'agit de l'un d'eux, appelons le Alpha, qui n'a pas encore de matelas et qui cheveux coupés, laisse entrevoir une musculature travaillée et un port élégant.
Ravie, je me dis que j'aurais quelques plaisirs à le voir sortir de la douche. Ce qui ne manque pas d'arriver, il porte très bien la serviette qui roule des vagues sur ses hanches fines. Plaisir des yeux encore innocent.
Innocent, il le serait resté si nous ne discutions pas parfois, et si, petit à petit, je ne découvrais pas un homme qui me fait rire, qui partage mes goûts musicaux, culturels, possède une belle intelligence et d'une approche sensible de la vie. Il me touche l'âme.
Je continue à me rapprocher de ma chirurgienne, qui ne me plait pas moins parce qu'Alpha me plait. Concomitamment, ces deux êtres m'attirent.
Hauts et bas, mon attrait pour le garçon s'étiole lorsque je le vois, dans le cadre d'une soirée, ne pas réussir à séduire quelques jolies femmes alors que j'ai déjà dans mes filets attrapé un de ses amis au physique agréable.
Quelques discussions plus tard, la sensibilité et l'humour du garçon m'attirent de nouveau.
Mon problème est clair : je veux tout.
La fille, le garçon, et garder l'appartement.
Il me faut donc trouver une stratégie pour finir mon travail de séduction avec ma chirurgienne, appâter le garçon malgré l'obstacle de la proximité (car bien sur, il me croise au réveil, me voit parfois fatiguée ...), faire céder le garçon malgré la réserve toute naturelle de ne pas vouloir introduire de la chair dans le cadre d'une colocation, et concilier par la suite les deux amants sans perdre ce logement.
En sommes, être une salope subtile.
Dernière question à laquelle les consignes demandaient de répondre : je suis tombée sur ce site en cherchant à me renseigner sur l'obsession.
Quand je m'ennuie, mon cerveau a une légère tendance à tourner en rond. Or, malgré mes deux lièvres à lever et mon travail prenant, je m'ennuie un peu, et mon vilain psyché en profite pour laisser une grande place à mes fantasmes sur le Garçon - mais si vous le voyiez ! le bel animal !
Les connaisseurs auront reconnu en moi Irène Adler, La femme qui fait tourner la tête de Sherlock dans la petite perle de la BBC.
Comme elle, donc, je suis une femme. Une femme ne cachant pas un certain attrait pour les personnes intelligentes, un peu hors clous, et qui veulent bien jouer avec moi. Les plus perspicaces auront remarqué également que j'ai utilisé le terme "personnes" plutôt que de parler d'homme. Je chasse sur tous les terrains.
Un peu plus jeune qu'Irène, je suis encore dans ma glorieuse vingtaine. Employée dans le secteur culturel, début de carrière je l'espère prometteuse, je suis du genre ambitieuse et très prise par les horaires de cadre. Horaires de cadre, pas "statut", qui lui reste modeste.
Même les moins perspicaces auront remarqué que j'ai un certain niveau d'éducation, et n'auront pas eu tord de conclure que je vie en secteur urbain. Les plus malins auront conclu que si je ne nomme pas ma ville, c'est qu'elle n'est pas Paris.
Mon "look" est mouvant. Je suis un peu caméléon, principalement par jeu, mais également parce que je fais fréquement le grand écart entre des groupes sociaux ayant peu à voir les uns avec les autres, et qu'il est tellement plus reposant de donner l'impression aux gens d'être des leurs plutôt que de s'accrocher à une identité incarner par un costume ...
Physiquement, puisque je sais que ça vous intéresse, je me considère comme étant jolie, et je n'hésite pas à me mettre en valeur quand je sais que les circonstances vont m'amener à rencontrer d'autres êtres humains ou assimilés.
J'ai des "points faibles" physiques, bien sur : quelques rondeurs, une petite taille, un manque d'attrait certain pour le sport, qui m'ennuie. Compensés largement par une allure sophistiquée, maquillage élégant, jupes courtes, seins que je laisse deviner, cheveux blonds, courts, et à la coupe soignée.
Je sais selon l'humeur attirer les regard ou passer inaperçue, et je n'ai aucune difficulté à ramasser un partenaire d'une nuit.
Ce qui m'amène ici maintenant.
Une situation délicate. J'hésite à choisir une stratégie pour la mener à bien.
Situons.
Depuis plusieurs mois, je me rapproche d'une jeune chirurgienne tout aussi ouverte aux personnes de tous sexes que moi. La charmante jeune femme vie fort loin de ma ville. D'échanges d'sms quotidiens en discussions sur internet, en passant par les appels téléphoniques, nous sommes devenues assez intimes. Ce n'est pas une parfaite inconnue, j'ai fais sa connaissance dans un cercle amical il y a un an de cela, mais ne l'est plus vue en chair depuis lors.
Bien sûr, je n'ai pas gardé ce lien dans des visées chastes. Et j'ai gagné une première étape : elle me demande de venir la voir.
Vacances posées, une semaine en juillet, où elle m'accueillera chez elle.
6 jours pour lui faire comprendre que nous ne serons jamais des amies, mais que d'autres configurations ne me laissent pas indifférente.
Parallèlement à cela, il y a deux mois, me voici rejoindre pour les beaux yeux d'un splendide appartement en quartier chic une colocation avec deux garçons, dix ans plus âgés que votre Irène déjà préférée. De premier abord, je les trouve tous les deux laids et en suis très heureuse. Ils sont sympathiques et l'appartement magnifique.
Me voici à emmenager ... et à trouver un jeune homme magnifiquement formé dormant à demi nu dans le salon. Il s'agit de l'un d'eux, appelons le Alpha, qui n'a pas encore de matelas et qui cheveux coupés, laisse entrevoir une musculature travaillée et un port élégant.
Ravie, je me dis que j'aurais quelques plaisirs à le voir sortir de la douche. Ce qui ne manque pas d'arriver, il porte très bien la serviette qui roule des vagues sur ses hanches fines. Plaisir des yeux encore innocent.
Innocent, il le serait resté si nous ne discutions pas parfois, et si, petit à petit, je ne découvrais pas un homme qui me fait rire, qui partage mes goûts musicaux, culturels, possède une belle intelligence et d'une approche sensible de la vie. Il me touche l'âme.
Je continue à me rapprocher de ma chirurgienne, qui ne me plait pas moins parce qu'Alpha me plait. Concomitamment, ces deux êtres m'attirent.
Hauts et bas, mon attrait pour le garçon s'étiole lorsque je le vois, dans le cadre d'une soirée, ne pas réussir à séduire quelques jolies femmes alors que j'ai déjà dans mes filets attrapé un de ses amis au physique agréable.
Quelques discussions plus tard, la sensibilité et l'humour du garçon m'attirent de nouveau.
Mon problème est clair : je veux tout.
La fille, le garçon, et garder l'appartement.
Il me faut donc trouver une stratégie pour finir mon travail de séduction avec ma chirurgienne, appâter le garçon malgré l'obstacle de la proximité (car bien sur, il me croise au réveil, me voit parfois fatiguée ...), faire céder le garçon malgré la réserve toute naturelle de ne pas vouloir introduire de la chair dans le cadre d'une colocation, et concilier par la suite les deux amants sans perdre ce logement.
En sommes, être une salope subtile.
Dernière question à laquelle les consignes demandaient de répondre : je suis tombée sur ce site en cherchant à me renseigner sur l'obsession.
Quand je m'ennuie, mon cerveau a une légère tendance à tourner en rond. Or, malgré mes deux lièvres à lever et mon travail prenant, je m'ennuie un peu, et mon vilain psyché en profite pour laisser une grande place à mes fantasmes sur le Garçon - mais si vous le voyiez ! le bel animal !