- Jeu Mai 27, 2010 6:01 pm
#95129
Bonjour
Voilà, à partir d'un moment il est nécessaire de se présenter, et donc c'est ce que je fais.
Autant pouvoir se prononcer sur des sujets que de se contenter de lire, même si c'est bénéfique.
Je m'appelle Julien, j'ai 18 ans, je vis dans le Calvados.
En fait si je viens ici c'est parce que j'ai de temps en temps des ( gros ) accès de blues,
c'est parfois dû à des choses, événement insignifiant et je veut que ça s'arrête .
Même si je suis intéressé par les autres rubriques du forum
Sinon mon pseudo vient d'un poème de Baudelaire "L' Albatros"
Je le mets si ça peut intéresser quelqu'un.
-------------
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher
Voilà, à partir d'un moment il est nécessaire de se présenter, et donc c'est ce que je fais.
Autant pouvoir se prononcer sur des sujets que de se contenter de lire, même si c'est bénéfique.
Je m'appelle Julien, j'ai 18 ans, je vis dans le Calvados.
En fait si je viens ici c'est parce que j'ai de temps en temps des ( gros ) accès de blues,
c'est parfois dû à des choses, événement insignifiant et je veut que ça s'arrête .
Même si je suis intéressé par les autres rubriques du forum
Sinon mon pseudo vient d'un poème de Baudelaire "L' Albatros"
Je le mets si ça peut intéresser quelqu'un.
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Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher