- Mar Aoû 05, 2008 5:32 am
#55364
Salut les ptis clous
Avez vous des tics idiots? Moi j'en ai un, et il est grattiné:
Je suis un mec vexé. Quand on m'ignore, je reste prostré dans mon coin en attendant que maman vienne me chercher.
A la base, on part plutôt gagnant: physique agréable, sapologue, designer, danseur, cultivé, papillonant en société. Et pourtant.
Si, lors d'un dîner, d'une soirée, la conversation, la foule, se désintéressent de moi, je me mets à paniquer, suer à grosses gouttes intérieurement. Même si j'ai appris à dédramatiser avec un sourire et une pirouette, ça plombe la soirée.
Régulièrement, je me fais draguer, kinoter, k-closer... par une fille qui me plaît. Mon 1er réflexe de con, c'est alors de la snobber. Même les plus motivées se lassent et finissent par me mépriser.
Lors de mes relations longues, c'est la même: détaché au début, je deviens complètement needy lorsque les sentiments s'étiolent.
Si une fille ne répond pas à mes signes d'intérêt, alors là c'est Waterloo.
Je crois que je n peux envisager une relation que lorsque la fille m'est "complètement dévouée". Ce qui, je l'avoue, est cruel et despotique.
Mettons nous en situation: Hier soir, le Procope. Une inconnue qui me plaît bien rejoint notre table et moi... Je l'ignore. Elle se lie avec mon pote, et moi, je me renferme. Elle prend son num. Coup de couteau dans le coeur. Je suis glacial. C'est la fois de trop: je n'agirai plus jamais comme un con.
Attitude de merde, vous en conviendrez. Je me renferme, je deviens solitaire. Quelque chose me dit que je suis loin d'être le seul à souffrir de ce mal.
J'ai dévoré les articles de spikeseduction, d'une limpidité exemplaire. C'est pragmatique, plein de bon sens. Je suis sûr que vous gentlemen mettrez le doigt sur mon problême bien mieux que n'importe quel psy.
En vous remerciant, je vous adresse mes bisous distingués.
Avez vous des tics idiots? Moi j'en ai un, et il est grattiné:
Je suis un mec vexé. Quand on m'ignore, je reste prostré dans mon coin en attendant que maman vienne me chercher.
A la base, on part plutôt gagnant: physique agréable, sapologue, designer, danseur, cultivé, papillonant en société. Et pourtant.
Si, lors d'un dîner, d'une soirée, la conversation, la foule, se désintéressent de moi, je me mets à paniquer, suer à grosses gouttes intérieurement. Même si j'ai appris à dédramatiser avec un sourire et une pirouette, ça plombe la soirée.
Régulièrement, je me fais draguer, kinoter, k-closer... par une fille qui me plaît. Mon 1er réflexe de con, c'est alors de la snobber. Même les plus motivées se lassent et finissent par me mépriser.
Lors de mes relations longues, c'est la même: détaché au début, je deviens complètement needy lorsque les sentiments s'étiolent.
Si une fille ne répond pas à mes signes d'intérêt, alors là c'est Waterloo.
Je crois que je n peux envisager une relation que lorsque la fille m'est "complètement dévouée". Ce qui, je l'avoue, est cruel et despotique.
Mettons nous en situation: Hier soir, le Procope. Une inconnue qui me plaît bien rejoint notre table et moi... Je l'ignore. Elle se lie avec mon pote, et moi, je me renferme. Elle prend son num. Coup de couteau dans le coeur. Je suis glacial. C'est la fois de trop: je n'agirai plus jamais comme un con.
Attitude de merde, vous en conviendrez. Je me renferme, je deviens solitaire. Quelque chose me dit que je suis loin d'être le seul à souffrir de ce mal.
J'ai dévoré les articles de spikeseduction, d'une limpidité exemplaire. C'est pragmatique, plein de bon sens. Je suis sûr que vous gentlemen mettrez le doigt sur mon problême bien mieux que n'importe quel psy.
En vous remerciant, je vous adresse mes bisous distingués.