- Mer Juin 11, 2014 8:27 pm
#153928
Avant Propos:
J'ai longtemps réfléchi avant d'ouvrir ce journal. Comme je suis très pudique je me suis questionné sur la raison réelle qui me pousse à publier quelque chose publiquement et également sur son utilité.
J'ai l'habitude de parler peu et d'observer beaucoup. J'ai la conviction qu'une personne parlant peu oralement parle beaucoup intérieurement. C'est mon cas. Je suis en constante introspection.
Mon introspection concernant mon rapport aux autres est apparue lorsque j'ai décidé de m'intéresser aux filles.
Le but de ce journal n'est donc pas tant de récolter des conseils car j'ai trouvé les plus généraux (et donc les plus utile) dans les articles ou les journaux de ce site m'intéressant. Ce n'est pas pour autant que je fermerai les yeux à la vue d'un conseil ou d'une critique quelconque. Au contraire
Son but est de poser les jalons de mon évolution mais aussi de tester mes idées et mes expériences.
Préface:
Au gré de mes réflexions vagabondes, j'en suis arrivé à ce soutra:
"Je ne suis pas seul car je suis avec tout le monde".
C'est ce que veut nous faire croire Facebook. Nous avons tendance à penser qu'en étant constamment connecté à la vie des autres notre solitude est moins présente. Cela pourrait être vrai si ce procédé n'était pas virtuel et donc vidé de tout sens (et également manipulable). Ce que cette simple affirmation à moi même signifie, c'est que si je suis assez ouvert pour interagir, "badiner" avec mon voisin/voisine, librement je serai surement moins seul que la plupart (j'inclue ceux qui sont en couple par commodité ou par imitation).
Un autre:
"Etre libre, c'est être bien avec soi même"
On se sent libre lorsqu'on aime ce qu'on fait, que l'on a rien à se reprocher, que l'on arrive à s'expliquer nos choix. Cette liberté est l'une des clés de la séduction. Le séducteur assume ce qu'il est et ce qu'il fait. Le séducteur assume son désir pour ses cibles et assume la critique car il sait où il en est.
Peut être penserez vous qu'affirmer ainsi ces réflexions n'est pas digne d'un séducteur en herbe et donc présomptueux. Mais ce n'est que de la théorie, des conclusions tirées de mes lectures et d'observations. Mon problème actuel est que j'ai du mal à passer aux travaux pratiques.
La lecture de tous les récits d'abordages sur ce forum a changé mon quotidien. J'ai dû apprendre à vivre avec un sentiment d'échec constant. Je ne peux plus aborder les filles que je trouve jolies. Je DOIS les aborder.
Mais bizarrement, je me sens plus à l'aise avec l'idée de trouver une nouvelle copine grâce à l'abordage car rien que cette démarche lui montre sans ambiguité mon intérêt pour elle. Tout est clair dès le départ. Par contre, dans le cercle d'ami, il faut prendre en compte la pression sociale et réussir à passer avec maestria la barrière de la cordialité dans le cas de simple connaissance, ou celle de l'amitié si la connaissance est de longue date.
Je n'ai plus de problème lorsqu'il s'agit de parler à des inconnus. Car j'ai trouvé mon moteur: la nécessité. Par nécessité je suis capable de changer du tout au tout.
En dehors de ce cas, je réfléchis toujours trois secondes de trop avant de briser la glace. C'est le temps qu'il me faut pour me souvenir que les gens sont bien élevés et qu'ils ne m'insulteront pas car j'ai osé leur adressé la parole. C'est aussi le temps de me remémorer que la personne en face est surement dans mon cas (ne pas oser parler) et qu'elle n'attend que ça. Finalement, il suffit d'aligner trois mots, de poser une question "personnelle publique" (tu viens d'où ? tu fais quoi ?,...) pour lancer la machine. Tout comme l'incertitude du démarrage d'une tondeuse à essence (en tirant sur le cordon) la conversation peu démarrer (tant mieux) ou en rester là (tant pis). J'aurai au moins tenté.
Mais quand je croise une inconnue qui me plait je pense dans l'ordre:
1. Tiens ! elle est mignonne !
2. Devrais je lui parler ?
3. Pourquoi faire ?
4. J'en croiserai une toute aussi jolie plus tard, alors pourquoi me fixer sur elle en particulier ?
A l'évidence tout cela reste très pragmatique. Je ne peux pas faire mieux lorsqu'il s'agit d'une inconnue. Je ne la connais pas et donc tout sentiment est absent. Il faut avoir un état d'esprit bien particulier pour aborder à la chaine. Il faut être dans le pari constant. Il faut parier que la personne nous plaira plus que les autres. Ou alors il faut considérer cette action comme un pur loisir ou une thérapie.
J'ai longtemps réfléchi avant d'ouvrir ce journal. Comme je suis très pudique je me suis questionné sur la raison réelle qui me pousse à publier quelque chose publiquement et également sur son utilité.
J'ai l'habitude de parler peu et d'observer beaucoup. J'ai la conviction qu'une personne parlant peu oralement parle beaucoup intérieurement. C'est mon cas. Je suis en constante introspection.
Mon introspection concernant mon rapport aux autres est apparue lorsque j'ai décidé de m'intéresser aux filles.
Le but de ce journal n'est donc pas tant de récolter des conseils car j'ai trouvé les plus généraux (et donc les plus utile) dans les articles ou les journaux de ce site m'intéressant. Ce n'est pas pour autant que je fermerai les yeux à la vue d'un conseil ou d'une critique quelconque. Au contraire
Son but est de poser les jalons de mon évolution mais aussi de tester mes idées et mes expériences.
Préface:
Au gré de mes réflexions vagabondes, j'en suis arrivé à ce soutra:
"Je ne suis pas seul car je suis avec tout le monde".
C'est ce que veut nous faire croire Facebook. Nous avons tendance à penser qu'en étant constamment connecté à la vie des autres notre solitude est moins présente. Cela pourrait être vrai si ce procédé n'était pas virtuel et donc vidé de tout sens (et également manipulable). Ce que cette simple affirmation à moi même signifie, c'est que si je suis assez ouvert pour interagir, "badiner" avec mon voisin/voisine, librement je serai surement moins seul que la plupart (j'inclue ceux qui sont en couple par commodité ou par imitation).
Un autre:
"Etre libre, c'est être bien avec soi même"
On se sent libre lorsqu'on aime ce qu'on fait, que l'on a rien à se reprocher, que l'on arrive à s'expliquer nos choix. Cette liberté est l'une des clés de la séduction. Le séducteur assume ce qu'il est et ce qu'il fait. Le séducteur assume son désir pour ses cibles et assume la critique car il sait où il en est.
Peut être penserez vous qu'affirmer ainsi ces réflexions n'est pas digne d'un séducteur en herbe et donc présomptueux. Mais ce n'est que de la théorie, des conclusions tirées de mes lectures et d'observations. Mon problème actuel est que j'ai du mal à passer aux travaux pratiques.
La lecture de tous les récits d'abordages sur ce forum a changé mon quotidien. J'ai dû apprendre à vivre avec un sentiment d'échec constant. Je ne peux plus aborder les filles que je trouve jolies. Je DOIS les aborder.
Mais bizarrement, je me sens plus à l'aise avec l'idée de trouver une nouvelle copine grâce à l'abordage car rien que cette démarche lui montre sans ambiguité mon intérêt pour elle. Tout est clair dès le départ. Par contre, dans le cercle d'ami, il faut prendre en compte la pression sociale et réussir à passer avec maestria la barrière de la cordialité dans le cas de simple connaissance, ou celle de l'amitié si la connaissance est de longue date.
Je n'ai plus de problème lorsqu'il s'agit de parler à des inconnus. Car j'ai trouvé mon moteur: la nécessité. Par nécessité je suis capable de changer du tout au tout.
En dehors de ce cas, je réfléchis toujours trois secondes de trop avant de briser la glace. C'est le temps qu'il me faut pour me souvenir que les gens sont bien élevés et qu'ils ne m'insulteront pas car j'ai osé leur adressé la parole. C'est aussi le temps de me remémorer que la personne en face est surement dans mon cas (ne pas oser parler) et qu'elle n'attend que ça. Finalement, il suffit d'aligner trois mots, de poser une question "personnelle publique" (tu viens d'où ? tu fais quoi ?,...) pour lancer la machine. Tout comme l'incertitude du démarrage d'une tondeuse à essence (en tirant sur le cordon) la conversation peu démarrer (tant mieux) ou en rester là (tant pis). J'aurai au moins tenté.
Mais quand je croise une inconnue qui me plait je pense dans l'ordre:
1. Tiens ! elle est mignonne !
2. Devrais je lui parler ?
3. Pourquoi faire ?
4. J'en croiserai une toute aussi jolie plus tard, alors pourquoi me fixer sur elle en particulier ?
A l'évidence tout cela reste très pragmatique. Je ne peux pas faire mieux lorsqu'il s'agit d'une inconnue. Je ne la connais pas et donc tout sentiment est absent. Il faut avoir un état d'esprit bien particulier pour aborder à la chaine. Il faut être dans le pari constant. Il faut parier que la personne nous plaira plus que les autres. Ou alors il faut considérer cette action comme un pur loisir ou une thérapie.