- Ven Jan 25, 2008 4:27 pm
#34026
[color=blue]De la littérature et de l'île UN[/color]
Syracuse tente de devenir une île printanière où le soleil aura été haussé au solstice touche par touche, trait après trait sur la longue toile de la vie. Reconnaître et gérer ses émotions, cimenter ses valeurs les plus profondes entre individualité et société. Le bonheur n'est pas forcément la résultante de la sécurité et il faut donc risquer. Risquer d'être aimant, d'être aimé et d'être amant.
Syracuse souvent a été une cîté maudite. Maudite de son passé familial, maudite de ses passions pubères où la dérive du moi a pu aller jusqu'à la perte de soi. Des pleurs, des mésestimes, qui souterrainement vous empêchent de vous révéler, ont parfois obérés fortement l'énergie quotidienne.
A Syracuse l'on pratique ou l'on a pratiqué les sports de haut niveau, ce qui veut dire hygiène de vie, partage et humilité. Les arts ont une place centrale aussi : un des cinq arts majeurs (en dehors du fondant au chocolat bien sûr) dont la signification grecque résume assez bien ce qu'on aime faire à Syracuse : on aime faire, on aime créer. Comme par exemple simuler et modéliser des batailles, calculer, réaliser et piloter des choses qui volent. Pourquoi mourir sans avoir compris ? Oui intéressé grandement par les sciences du social. Pourquoi traverser la vie sans s'être intéressé à quoi que ce soit ? Oui aussi intéressé par tout ce qui provient de la technologie et l'esprit. Faire des gammes avec son esprit c'est faire corps avec la vie. Aller physiquement à la limite de la vie, dans un registre différent, c'est la même chose.
Syracuse a plus de quarante ans dans son statut d'enfant de la métropole mais ses rives sont encore vertes. Elle n'a pas été que fille de métropole car elle a été dans sa prime enfance orientale ou plus tard coloniale. Et ce bipartisme culturel a été un champ social particulièrement nourrissant.
A Syracuse on travaille autour de thèmes technologiques et dans un dynamique essentiellement managériales.
[color=blue]Du Game, du terrain et du forum DEUX[/color]
Un lyonnais, timide en voie de guérison dans une constante phase de développement personnel, en accélération tout particulièrement depuis au moins deux ans où l'idée force est « comment changer ou améliorer ma vie ? ». Rencontrer des femmes n'était pas un problème en soi c'était plutôt après qu'ils arrivaient. Maman nous a dit : « tu dois être un bon petit » . Oui mais justement les femmes d'aujourd'hui ne veulent pas être traitées comme les mères d'hier.
La découverte de FTS puis SpikeS courant novembre et un atelier dans la foulée histoire de ne pas faire les choses à moitié. Du coup, déjà porté naturellement sur le vêtement, un effort récent et important sur le relooking a boosté ma présentation.
Des années passées à tenter de comprendre les femmes et souvent je n'en saisissais que des fragments. Et là tout à coup un fil logique et cohérent rassemblent les éléments épars : les femmes n'étant pas le porte-parole de leurs attentes, car totalement parasitées par une image du paraître décorrélée de leur réalité . Des briques se mettent donc en place et surtout tu peux agir sur ton réel, tout de suite, à ta mesure, dans ta dimension,. Tu deviens l'acteur de ta propre vie. Il faut juste du courage et cette immense envie de rire. Sans volonté tu n'es rien. Et sans femmes le monde devient un soleil vert.
Mes points forts : avec de l'énergie capable d'amorce à tout va, beaucoup d'humour et d'imagination. Une vie riche et forte en expériences. A l'aise en solo.
A améliorer : mon langage corporel, une sexualisation pas forcément innée, mon sens de l'observation. Le street pur est encore trop intimidant pour moi.
Résultats immédiats depuis novembre : un numclose et date de vendeuse, un numclose et date sur Meetic, deux nclose, baiser et fclose en séduction.
Exemple hier soir avec une énergie très basse j'ai bossé sur mon langage corporel sur un set de deux. contact visuel avant d'entrer dans le set. Pendant le game j'ai joué la contrainte de temps en sortant trois fois en allant me démonstration de valeur auprès des organisatrices de la soirée. J'ai ajusté mon langage corporel en laissant se pencher la plus intéressée, qui a initié le contact physique, elles ont relancé dans les blancs et les deux ou trois AFC qui ont essayé de prendre le train pendant le game se sont auto-éjectés. Beaucoup de connexion mais manque de sexualisation. Légère projection. Finalement numclose et mailclose. Je phonegame dimanche soir pour une date sur un des thèmes que la plus intéressée a abordé.
Et d'autres ncloses que nous ne détaillerons pas. Et bien d'autres bienfaits car la possession des corps n'est rien en fait. Ce qui compte c'est l'enchantement, celui de pouvoir agir sur sa propre vie.
Je suis en recherche de ami : profil plus de trente ans / looké ou relooké / pour de la séduction dans les pubs branchés de Lyon. Timide s'abstenir. Me contacter sur MP.
Syracuse tente de devenir une île printanière où le soleil aura été haussé au solstice touche par touche, trait après trait sur la longue toile de la vie. Reconnaître et gérer ses émotions, cimenter ses valeurs les plus profondes entre individualité et société. Le bonheur n'est pas forcément la résultante de la sécurité et il faut donc risquer. Risquer d'être aimant, d'être aimé et d'être amant.
Syracuse souvent a été une cîté maudite. Maudite de son passé familial, maudite de ses passions pubères où la dérive du moi a pu aller jusqu'à la perte de soi. Des pleurs, des mésestimes, qui souterrainement vous empêchent de vous révéler, ont parfois obérés fortement l'énergie quotidienne.
A Syracuse l'on pratique ou l'on a pratiqué les sports de haut niveau, ce qui veut dire hygiène de vie, partage et humilité. Les arts ont une place centrale aussi : un des cinq arts majeurs (en dehors du fondant au chocolat bien sûr) dont la signification grecque résume assez bien ce qu'on aime faire à Syracuse : on aime faire, on aime créer. Comme par exemple simuler et modéliser des batailles, calculer, réaliser et piloter des choses qui volent. Pourquoi mourir sans avoir compris ? Oui intéressé grandement par les sciences du social. Pourquoi traverser la vie sans s'être intéressé à quoi que ce soit ? Oui aussi intéressé par tout ce qui provient de la technologie et l'esprit. Faire des gammes avec son esprit c'est faire corps avec la vie. Aller physiquement à la limite de la vie, dans un registre différent, c'est la même chose.
Syracuse a plus de quarante ans dans son statut d'enfant de la métropole mais ses rives sont encore vertes. Elle n'a pas été que fille de métropole car elle a été dans sa prime enfance orientale ou plus tard coloniale. Et ce bipartisme culturel a été un champ social particulièrement nourrissant.
A Syracuse on travaille autour de thèmes technologiques et dans un dynamique essentiellement managériales.
[color=blue]Du Game, du terrain et du forum DEUX[/color]
Un lyonnais, timide en voie de guérison dans une constante phase de développement personnel, en accélération tout particulièrement depuis au moins deux ans où l'idée force est « comment changer ou améliorer ma vie ? ». Rencontrer des femmes n'était pas un problème en soi c'était plutôt après qu'ils arrivaient. Maman nous a dit : « tu dois être un bon petit » . Oui mais justement les femmes d'aujourd'hui ne veulent pas être traitées comme les mères d'hier.
La découverte de FTS puis SpikeS courant novembre et un atelier dans la foulée histoire de ne pas faire les choses à moitié. Du coup, déjà porté naturellement sur le vêtement, un effort récent et important sur le relooking a boosté ma présentation.
Des années passées à tenter de comprendre les femmes et souvent je n'en saisissais que des fragments. Et là tout à coup un fil logique et cohérent rassemblent les éléments épars : les femmes n'étant pas le porte-parole de leurs attentes, car totalement parasitées par une image du paraître décorrélée de leur réalité . Des briques se mettent donc en place et surtout tu peux agir sur ton réel, tout de suite, à ta mesure, dans ta dimension,. Tu deviens l'acteur de ta propre vie. Il faut juste du courage et cette immense envie de rire. Sans volonté tu n'es rien. Et sans femmes le monde devient un soleil vert.
Mes points forts : avec de l'énergie capable d'amorce à tout va, beaucoup d'humour et d'imagination. Une vie riche et forte en expériences. A l'aise en solo.
A améliorer : mon langage corporel, une sexualisation pas forcément innée, mon sens de l'observation. Le street pur est encore trop intimidant pour moi.
Résultats immédiats depuis novembre : un numclose et date de vendeuse, un numclose et date sur Meetic, deux nclose, baiser et fclose en séduction.
Exemple hier soir avec une énergie très basse j'ai bossé sur mon langage corporel sur un set de deux. contact visuel avant d'entrer dans le set. Pendant le game j'ai joué la contrainte de temps en sortant trois fois en allant me démonstration de valeur auprès des organisatrices de la soirée. J'ai ajusté mon langage corporel en laissant se pencher la plus intéressée, qui a initié le contact physique, elles ont relancé dans les blancs et les deux ou trois AFC qui ont essayé de prendre le train pendant le game se sont auto-éjectés. Beaucoup de connexion mais manque de sexualisation. Légère projection. Finalement numclose et mailclose. Je phonegame dimanche soir pour une date sur un des thèmes que la plus intéressée a abordé.
Et d'autres ncloses que nous ne détaillerons pas. Et bien d'autres bienfaits car la possession des corps n'est rien en fait. Ce qui compte c'est l'enchantement, celui de pouvoir agir sur sa propre vie.
Je suis en recherche de ami : profil plus de trente ans / looké ou relooké / pour de la séduction dans les pubs branchés de Lyon. Timide s'abstenir. Me contacter sur MP.
Elle avait les joues fraîches comme de l'émeraude tandis que mes phalanges polissonnes cascadaient sans cesse sous l'étoffe.