- Dim Mai 08, 2011 3:33 am
#108800
Bonsoir,
Le contenu de ce message peut s'avérer déroutant pour ceux qui vont le lire car il ne s'agit pas ici de séduire une fille mais plutôt de "séduire" ses collègues (hommes et femmes).
Mais, d'une part, je sais que le site de Stéphane ne s'adresse pas aux dragueurs mais plutôt aux hommes qui veulent plus globalement améliorer leur vie - dont la vie sociale est un aspect important - et, d'autre part, je préfère exposer mon problème ici pour me faire secouer les puces plutôt que donner 40€ à un psy qui ne fera que me conforter dans mon état.
Voilà mon problème :
J'ai toujours été de nature solitaire, assez peu à l'aise avec le principe du groupe de potes.
Je préfère rassurer tout de suite les personnes qui verraient dans ma première phrase une pub pour SOS amitié ^^ : j'ai des amis - et accessoirement une copine depuis quelques semaines. Seulement, ces amis que j'ai sont des personnes avec qui j'ai de grandes affinités et à qui je sais que je peux me confier : des "meilleurs" amis en somme.
Pour ce qui est des potes de classe (équivalent sans doutes des collègues de bureau une fois dans le monde du travail), je n'en ai finalement que peu. Cette fraternisation superficielle m'a toujours semblé inutile. D'où tires-tu donc tes "meilleurs" amis me direz-vous ? De gens avec qui j'ai noté de grandes affinités et avec lesquels j'ai investi sur une véritable amitié, basée sur un partage de valeurs qui me sont chères et de confidences.
Bien sûr je sais assez facilement rentrer en contact avec une personne inconnue. Mais les premiers échanges faits, si la personne représente pour moi peu d'intérêt, je ne suis pas capable de la relancer sur de nouveaux sujets de conversation ; ce qui fera irrémédiablement tomber les prochaines discussions dans des "salut, ça va ?" matinaux épuisants de platitude.
A l'autre extrême, si la personne que je côtoie me semble très intéressante et m'impressionne, je me retrouve dans la même problématique que le garçon qui est impressionné par une très belle femme : mon naturel s'arrête là et ma seule idée en tête est "comment lui plaire ?".
D'où le titre de mon message : Y-a-t'il une généralisation de tout ce que l'on a appris en séduction à la "séduction" de personnes qui nous plaisent (mais avec qui on ne veut pas coucher, si vous m'avez compris) ? Ou comment se lier d'amitié avec les gens qui nous intéressent ?
Corollaire : De quelle façon entretenir une camaraderie superficielle mais agréable avec les gens qui ne nous intéressent pas forcément, mais que nous sommes obligés de croiser chaque jour au boulot, sans tomber dans la monotonie du "salut, ça va ?".
Selon moi, c'est un sujet au moins aussi important que la séduction homme-femme. Je sors depuis peu avec une fille géniale, qui m'envoie des textos tous les jours, mais cette lacune que j'ai au niveau du lien social m'a amèrement rappelé qu'avoir la fille ne suffisait pas à être totalement épanoui.
Le contenu de ce message peut s'avérer déroutant pour ceux qui vont le lire car il ne s'agit pas ici de séduire une fille mais plutôt de "séduire" ses collègues (hommes et femmes).
Mais, d'une part, je sais que le site de Stéphane ne s'adresse pas aux dragueurs mais plutôt aux hommes qui veulent plus globalement améliorer leur vie - dont la vie sociale est un aspect important - et, d'autre part, je préfère exposer mon problème ici pour me faire secouer les puces plutôt que donner 40€ à un psy qui ne fera que me conforter dans mon état.
Voilà mon problème :
J'ai toujours été de nature solitaire, assez peu à l'aise avec le principe du groupe de potes.
Je préfère rassurer tout de suite les personnes qui verraient dans ma première phrase une pub pour SOS amitié ^^ : j'ai des amis - et accessoirement une copine depuis quelques semaines. Seulement, ces amis que j'ai sont des personnes avec qui j'ai de grandes affinités et à qui je sais que je peux me confier : des "meilleurs" amis en somme.
Pour ce qui est des potes de classe (équivalent sans doutes des collègues de bureau une fois dans le monde du travail), je n'en ai finalement que peu. Cette fraternisation superficielle m'a toujours semblé inutile. D'où tires-tu donc tes "meilleurs" amis me direz-vous ? De gens avec qui j'ai noté de grandes affinités et avec lesquels j'ai investi sur une véritable amitié, basée sur un partage de valeurs qui me sont chères et de confidences.
Bien sûr je sais assez facilement rentrer en contact avec une personne inconnue. Mais les premiers échanges faits, si la personne représente pour moi peu d'intérêt, je ne suis pas capable de la relancer sur de nouveaux sujets de conversation ; ce qui fera irrémédiablement tomber les prochaines discussions dans des "salut, ça va ?" matinaux épuisants de platitude.
A l'autre extrême, si la personne que je côtoie me semble très intéressante et m'impressionne, je me retrouve dans la même problématique que le garçon qui est impressionné par une très belle femme : mon naturel s'arrête là et ma seule idée en tête est "comment lui plaire ?".
D'où le titre de mon message : Y-a-t'il une généralisation de tout ce que l'on a appris en séduction à la "séduction" de personnes qui nous plaisent (mais avec qui on ne veut pas coucher, si vous m'avez compris) ? Ou comment se lier d'amitié avec les gens qui nous intéressent ?
Corollaire : De quelle façon entretenir une camaraderie superficielle mais agréable avec les gens qui ne nous intéressent pas forcément, mais que nous sommes obligés de croiser chaque jour au boulot, sans tomber dans la monotonie du "salut, ça va ?".
Selon moi, c'est un sujet au moins aussi important que la séduction homme-femme. Je sors depuis peu avec une fille géniale, qui m'envoie des textos tous les jours, mais cette lacune que j'ai au niveau du lien social m'a amèrement rappelé qu'avoir la fille ne suffisait pas à être totalement épanoui.
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.