- Dim Aoû 11, 2013 12:44 pm
#136742
[indication temporelle]
Pour des considérations de calendrier, cette aventure se déroule entre Léa et Artémis
[/indication temporelle]
Agnieszka et moi n'avions plus eu de contacts depuis une bonne année.
Nous avions été amants à une époque et en des lieux lointains, lorsque, fraichement largué par la mère de mes enfants, je n'avais pour but que de me refaire un égo. Je l'avais séduite au culot, elle, sa blondeur, son mètre quatre-vingt et sa descente que je n'aimerais pas remonter à vélo. Elle aurait du satisfaire mes vanités mais j'étais perdu et j'avais entretenu pendant plusieurs mois une autre relation avec Elisa, tout aussi blonde, grande et belle, et le hasard m'avait fait découvrir que toutes deux avaient le même cycle et partageaient la même date d'anniversaire. On dit que le hasard, c'est dieu qui voyage incognito, je suppose qu'il devait bien se marrer en me voyant me dépêtrer avec la logistique.
Quoiqu'il en soit, j'avais tout de même été très clair sur la non-exclusivité de mes relations à cette époque. Cette honnêteté sur mon exclusivité me valut, comme à chaque fois, plus de respect que de reproche, mais notre histoire s'arrêta fatalement au bout de quelques mois. Nous restâmes très bon amis et à en juger par l'intimité des détails qu'elle me donne sur sa vie privée, je pense pouvoir dire que je suis une sorte de confident. Après avoir changé d'hémisphère, nous sommes resté en contact épisodique via les ondes électriques, de loin en loin.
Lorsque je reçu un sibyllin "on skype ?", j'eus une sorte d'intuition. La conversation la révéla un peu triste, ayant perdu du poids, et me demandant ce que je faisais la semaine suivante. Je sortais à peine de la débacle post-Léa que j'avais prévu d'emmener à une remise de décoration à laquelle j'étais invité. Cette cérémonie étant très codée, j'étais très embarrassé d'avoir déclaré un "+1" et de devoir le décommander, aussi je proposais à Agnieszka de m'y accompagner. Du tac au tac, elle accepta. J'expliquai que sous les dorures de la République, nous aurions à être bien vêtus, ce qui ne la gênait pas. Je lui précisai également que ma famille serait la ainsi que de nombreux amis, mais cela ne semblait pas la gêner non plus. Pour faire bon poids, j'ajoutai "Et si tu es sage, je t'emmènerai dîner."
"OK" fût sa réponse. Je commençais à trouver que pour une jeune femme que je n'avais pas vue depuis deux ans, et avec qui je n'avais pas parlé depuis un an, les choses se présentaient correctement. Pour en avoir le coeur net, je continuai :
"Et le weekend suivant, je pars en weekend dans la maison classée de mon meilleur ami, sur la plage, je pense que je peux t'emmener, je m'arrangerai avec lui, ça t'intéresse ?"
"OK"
"..."
Naturellement, à ce stade de la conversation, je n'avais plus beaucoup de doute sur l'issue horizontale de ce coup de fil, et je lui fis remarquer sa perte de poids en lui mentant sur le fait que j'espérais qu'elle n'avait pas de soucis sentimentaux.
"J'ai pas envie d'en parler, on se voit la semaine prochaine"
Le jeudi suivant, en sortant de la bouche de métro, une surprise m'attendait...
Pour des considérations de calendrier, cette aventure se déroule entre Léa et Artémis
[/indication temporelle]
Agnieszka et moi n'avions plus eu de contacts depuis une bonne année.
Nous avions été amants à une époque et en des lieux lointains, lorsque, fraichement largué par la mère de mes enfants, je n'avais pour but que de me refaire un égo. Je l'avais séduite au culot, elle, sa blondeur, son mètre quatre-vingt et sa descente que je n'aimerais pas remonter à vélo. Elle aurait du satisfaire mes vanités mais j'étais perdu et j'avais entretenu pendant plusieurs mois une autre relation avec Elisa, tout aussi blonde, grande et belle, et le hasard m'avait fait découvrir que toutes deux avaient le même cycle et partageaient la même date d'anniversaire. On dit que le hasard, c'est dieu qui voyage incognito, je suppose qu'il devait bien se marrer en me voyant me dépêtrer avec la logistique.
Quoiqu'il en soit, j'avais tout de même été très clair sur la non-exclusivité de mes relations à cette époque. Cette honnêteté sur mon exclusivité me valut, comme à chaque fois, plus de respect que de reproche, mais notre histoire s'arrêta fatalement au bout de quelques mois. Nous restâmes très bon amis et à en juger par l'intimité des détails qu'elle me donne sur sa vie privée, je pense pouvoir dire que je suis une sorte de confident. Après avoir changé d'hémisphère, nous sommes resté en contact épisodique via les ondes électriques, de loin en loin.
Lorsque je reçu un sibyllin "on skype ?", j'eus une sorte d'intuition. La conversation la révéla un peu triste, ayant perdu du poids, et me demandant ce que je faisais la semaine suivante. Je sortais à peine de la débacle post-Léa que j'avais prévu d'emmener à une remise de décoration à laquelle j'étais invité. Cette cérémonie étant très codée, j'étais très embarrassé d'avoir déclaré un "+1" et de devoir le décommander, aussi je proposais à Agnieszka de m'y accompagner. Du tac au tac, elle accepta. J'expliquai que sous les dorures de la République, nous aurions à être bien vêtus, ce qui ne la gênait pas. Je lui précisai également que ma famille serait la ainsi que de nombreux amis, mais cela ne semblait pas la gêner non plus. Pour faire bon poids, j'ajoutai "Et si tu es sage, je t'emmènerai dîner."
"OK" fût sa réponse. Je commençais à trouver que pour une jeune femme que je n'avais pas vue depuis deux ans, et avec qui je n'avais pas parlé depuis un an, les choses se présentaient correctement. Pour en avoir le coeur net, je continuai :
"Et le weekend suivant, je pars en weekend dans la maison classée de mon meilleur ami, sur la plage, je pense que je peux t'emmener, je m'arrangerai avec lui, ça t'intéresse ?"
"OK"
"..."
Naturellement, à ce stade de la conversation, je n'avais plus beaucoup de doute sur l'issue horizontale de ce coup de fil, et je lui fis remarquer sa perte de poids en lui mentant sur le fait que j'espérais qu'elle n'avait pas de soucis sentimentaux.
"J'ai pas envie d'en parler, on se voit la semaine prochaine"
Le jeudi suivant, en sortant de la bouche de métro, une surprise m'attendait...
l'expérience est une lanterne qui n'éclaire que celui qui la porte