- Dim Juin 06, 2010 10:28 pm
#95593
Merci de votre tolérence pour mon premier article.
[size=150][color=orange]La dynamique de séduction[/color][/size]
[size=125][color=orange]Un beau moment :[/color][/size]
Cette soirée est une bonne soirée. Je suis attablé avec des amis sur une terrasse. La chaleur est clémente malgré la nuit qui tombe lentement. Les lumières tamisées de ce pub sont orangées en dégradées, jusqu’à cette grosse bougie posée au centre de la table. Toute cette luminosité installe un climat de détente propice à la sérénité et à la discussion. La musique est agréable et d’un volume idéale pour faciliter les échanges.
Je suis idéalement placé. De ma place je vois les entrées et les sorties, ce qui m’offre de temps en temps de petits spectacles passagers .Tantôt une petite jupe fine dansant délicatement sur un postérieur semblable à un fruit, tantôt un visage d’une beauté qui me ravit. Ils ne me laissent pas le temps de perdre le fil de la conversation avec mes amis, c’est un moment agréable.
Autour de cette table en bois sobre et massif, nous formons un groupe social mixte de 6 personnes. Nous nous trouvons dans une « phase de maturité »: Nous nous connaissons, nous affirmons nos différences sans détour, nous nous respectons, nous échangeons nos avis. On se connait.
Cependant ce soir j’ai invité un ami que les autres ne connaissent pas. Dans un premier temps il est plongé dans une « phase d’insécurisation »: observant et découvrant les personnalités, ne sachant pas du tout quel genre d’échange il peut développer avec untel ou unetelle.
L’atmosphère détendue lui a permis rapidement, avec mon aide, d’atteindre la phase de « l’illusion groupale », où il se sent accepté. Pour ressentir cela, il a été obligé de s’adapter aux personnes présentes, d’être rassuré par les normes inconscientes de ce groupe, de les comprendre et de les accepter lui-même. Il se sent comme nous.
Au fil de la soirée il atteindra la phase abusivement appelée « de conflits », dans laquelle il pourra affirmer ses différences. Mais pour justement éviter que des conflits ingérés n’apparaissent, il devra prendre quelques pincettes linguistiques du genre « je suis d’accord avec toi MAIS… ». Et il pourra alors dire tout à fait l’inverse. Un vocabulaire d’adulte offre une pléthore de formules visant inconsciemment à aplanir les discours contradictoires et potentiellement conflictuels.
[size=100][color=orange]Le groupe social[/color][/size]
Un groupe social est un ensemble de personnes ayant des caractéristiques communes ou bien des buts communs.
Les groupes peuvent être en relation directe, vivre dans un même espace ou bien être complètement séparés. Quand ils sont en relation directe, les groupes peuvent avoir des relations de coopération, de compétition ou de domination. Le dernier cas aboutit à la stratification sociale.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=woCRrXxw2hk&feature=related]Musique[/url]
[size=125][color=orange]Une belle femme[/color][/size]
Au beau milieu de ce bon moment, je vois s’agiter cette jolie robe fleurie, et la fille qui la porte avec harmonie. Je sors un instant du confort de mon groupe, et je la fixe, longuement, recherchant son regard. Elle s’en aperçoit, une fois. Elle rentre rapidement dans la discussion avec ses amis, affiche son plus beau sourire, devient active au sein de son propre confort. Je ne détourne pas le regard, j’attends. Elle persiste sur ses proches. Depuis l’angle dans lequel elle se tient elle ne peut savoir si je suis encore à l’observer. Mais elle peut savoir que je n’ai pas bougé. J’insiste, trente, quarante secondes, avant d’obtenir son second regard, qu’elle écourte aussi rapidement que le premier.
C’est suffisant pour moi. Elle sait que j’existe et elle à pour moi, au moins, de la curiosité. Je ne lui suis plus insignifiant, tout simplement. Je peux repartir dans mes échanges, dans mon groupe social, et je m’amuse, je profite de « l’instant plaisant ». J’irais rechercher un dernier signe d’intérêt plus tard avant de prendre ma décision. Mais dors et déjà, je sens se multiplier les moments où c'est elle qui m'observe.
La décision que je vais avoir à prendre sera celle de sortir d’un groupe social en « phase de maturité », pour créer un nouveau groupe social avec cette fille, et me retrouver, comme mon ami en début de soirée, en « phase d’insécurisation ». Et certainement comme ce même ami, je vais décider ou non de rentrer dans la « dynamique de séduction ».
[size=125][color=orange]La dynamique de séduction :[/color][/size]
Tout au long de la séduction, au moins un de deux êtres décide de créer un groupe social, puis crée ce groupe. Deux personnes se rencontrent. Soit le groupe réussira à sortir de la « phase d’insécurisation », soit il mourra.
[color=orange]Phase d’insécurisation : [/color]
Lors de vos premiers échanges, dès l’instant ou vous avez crée le groupe avec une demoiselle, on ressent de part et d’autre de l’insécurité. Est-ce que l’autre est normal ? C’est l’objet principal de notre crainte. C’est seulement quand les inconscients des deux parties auront intégré qu’ils ont des normes communes que le groupe glissera sereinement dans la phase suivante.
Tout le jeu consiste à identifier une des normes de l’autre. Pour cela il faut tout d’abord observer. Je sais que cette fille qui marche avec un livre à la main sera intéressée si je lui parle de lecture. Je sais que celle qui porte un pendentif en forme de note de musique, sera sécurisée sur le terrain des instruments de musique. Plus votre discernement sera fort, plus précise pourra être votre identification des normes. Vous choisirez alors le sujet qui fera ressentir à votre bel objectif, que « NOUS SOMMES PAREILS ».
Tout l’art de la séduction consistera à « renvoyer à l’autre l’image qu’il souhaite avoir de lui-même. » L’outil « empathie » vous permettra de vous mettre à la place de l’autre, et ainsi vous orienter sur ce dont votre interlocutrice à besoin pour avancer. Dans ces conditions votre phrase d’introduction (amorce) vous procurera moins de stress. A la sortie d’un cinéma, un « tu es allé voir quoi ? » suffira à ouvrir le bal, et à vous approcher tout les deux dans l’illusion groupale. Cerise sur le gâteau, une limite de temps dans votre échange finira d’assoir le sentiment de sécurité : « Je ne reste pas longtemps je dois rejoindre mes amis dans le pub d’en face ». Et noix de chantilly sur la cerise, vous venez de lui montrer une autre norme commune : vous avez des amis.
[color=orange]L’illusion groupale :[/color]
Une fois le sentiment de sécurité installé. Vous aurez tout le temps pour mettre en avant toutes les normes que vous avez en commun. Il suffit pour cela de rester en contact. Le téléphone est une invention formidable ! Plus vous aurez de codes communs, et plus l’illusion groupale sera forte. Elle installera un sentiment de légèreté, de plaisir, d’excitation peut être. A ce propos, le sexe est une norme standard, ne l’oubliez pas dans vos discussions. Si vous affichez trop tôt vos différences, vous fragiliserez cette étape. Prenez garde à ne pas accumuler ces divergences car vous redescendriez dans la phase d’insécurité et la marche sera alors difficile à inverser. La mort du groupe serait alors à prévoir.
C’est à ce moment que l’on s’amuse le plus. C’est maintenant que le baiser aura toute les chances de survenir comme par magie. On rencontre une euphorie qu’il faut savoir canaliser afin de ne pas perdre notre objectif : entrer dans la mal nommée « phase de conflit ».
Pour cela, il faudra noyer dans vos intérêts communs quelques unes de vos différences. De manière judicieuse, et en prenant les pincettes linguistiques. Un petit « Tiens ! Sur ce point j’ai un avis différent ».
Si la belle relance et vous demande les arguments, écoute, et contre argumente, EUREKA, vous sortez doucement de l’illusion groupale. Votre relation grandit, félicitation !
Si par contre elle se referme, allez-y doucement. Reprenez les sujets qui vous rapprochent, et retentez plus tard.
Si elle change d’avis en trois secondes, c’est qu’elle se sent trop bien dans l’illusion groupale. Soit elle n’a pas de caractère, soit elle désire tout simplement prolonger l’euphorie. Revenez de temps en temps sur les différences.
A ce stade, soit vous plongerez dans l’étape suivante, soit vous ferez mourir volontairement ce jeune groupe social que vous désiriez au début, que vous avez créé, et qui vous déplait à présent. Vous partez.
[color=orange]La phase de conflit :[/color]
La phase de conflit est extrêmement intéressante car c’est la plus enrichissante. Elle vous offre des discussions longues, passionnées et passionnantes. Vous échangerez des connaissances, vous apprendrez des choses et en offrirez à votre partenaire. Elle augmente la culture et la connaissance de chacun. Vous découvrez plus profondément ce groupe que vous formez tout les deux. Les normes établies auparavant constituent un matelas confortables pour gérer vos petits conflits d’opinions, vos différences.
Lors des incompréhensions, des frustrations peuvent survenir. Il faut les canaliser.
Dès l’instant où vous ressentez une frustration en vous, parlez de votre ressentis. Si vous percevez une frustration chez votre belle conquête, questionnez là sur SON ressentis. C’est simple, il faut mettre des mots sur les maux. Vous augmenterez sensiblement le sens socio-affectif de votre relation.
[size=125][color=orange]Aah l'Amour[/color][/size]
Si vous tombez amoureux à ce stade… héhéhé... c’est normal.
Décidez ou non dès à présent de faire mourir cette relation, ou de la faire grandir encore, vers la « phase de maturité », vers un groupe qui s’autogère, dont toutes les composantes participent à sa survie, en prenant des initiatives. C’est la relation à long terme, déjà pleinement abordée dans d’autres sujets.
[size=150][color=orange]La dynamique de séduction[/color][/size]
[size=125][color=orange]Un beau moment :[/color][/size]
Cette soirée est une bonne soirée. Je suis attablé avec des amis sur une terrasse. La chaleur est clémente malgré la nuit qui tombe lentement. Les lumières tamisées de ce pub sont orangées en dégradées, jusqu’à cette grosse bougie posée au centre de la table. Toute cette luminosité installe un climat de détente propice à la sérénité et à la discussion. La musique est agréable et d’un volume idéale pour faciliter les échanges.
Je suis idéalement placé. De ma place je vois les entrées et les sorties, ce qui m’offre de temps en temps de petits spectacles passagers .Tantôt une petite jupe fine dansant délicatement sur un postérieur semblable à un fruit, tantôt un visage d’une beauté qui me ravit. Ils ne me laissent pas le temps de perdre le fil de la conversation avec mes amis, c’est un moment agréable.
Autour de cette table en bois sobre et massif, nous formons un groupe social mixte de 6 personnes. Nous nous trouvons dans une « phase de maturité »: Nous nous connaissons, nous affirmons nos différences sans détour, nous nous respectons, nous échangeons nos avis. On se connait.
Cependant ce soir j’ai invité un ami que les autres ne connaissent pas. Dans un premier temps il est plongé dans une « phase d’insécurisation »: observant et découvrant les personnalités, ne sachant pas du tout quel genre d’échange il peut développer avec untel ou unetelle.
L’atmosphère détendue lui a permis rapidement, avec mon aide, d’atteindre la phase de « l’illusion groupale », où il se sent accepté. Pour ressentir cela, il a été obligé de s’adapter aux personnes présentes, d’être rassuré par les normes inconscientes de ce groupe, de les comprendre et de les accepter lui-même. Il se sent comme nous.
Au fil de la soirée il atteindra la phase abusivement appelée « de conflits », dans laquelle il pourra affirmer ses différences. Mais pour justement éviter que des conflits ingérés n’apparaissent, il devra prendre quelques pincettes linguistiques du genre « je suis d’accord avec toi MAIS… ». Et il pourra alors dire tout à fait l’inverse. Un vocabulaire d’adulte offre une pléthore de formules visant inconsciemment à aplanir les discours contradictoires et potentiellement conflictuels.
[size=100][color=orange]Le groupe social[/color][/size]
Un groupe social est un ensemble de personnes ayant des caractéristiques communes ou bien des buts communs.
Les groupes peuvent être en relation directe, vivre dans un même espace ou bien être complètement séparés. Quand ils sont en relation directe, les groupes peuvent avoir des relations de coopération, de compétition ou de domination. Le dernier cas aboutit à la stratification sociale.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=woCRrXxw2hk&feature=related]Musique[/url]
[size=125][color=orange]Une belle femme[/color][/size]
Au beau milieu de ce bon moment, je vois s’agiter cette jolie robe fleurie, et la fille qui la porte avec harmonie. Je sors un instant du confort de mon groupe, et je la fixe, longuement, recherchant son regard. Elle s’en aperçoit, une fois. Elle rentre rapidement dans la discussion avec ses amis, affiche son plus beau sourire, devient active au sein de son propre confort. Je ne détourne pas le regard, j’attends. Elle persiste sur ses proches. Depuis l’angle dans lequel elle se tient elle ne peut savoir si je suis encore à l’observer. Mais elle peut savoir que je n’ai pas bougé. J’insiste, trente, quarante secondes, avant d’obtenir son second regard, qu’elle écourte aussi rapidement que le premier.
C’est suffisant pour moi. Elle sait que j’existe et elle à pour moi, au moins, de la curiosité. Je ne lui suis plus insignifiant, tout simplement. Je peux repartir dans mes échanges, dans mon groupe social, et je m’amuse, je profite de « l’instant plaisant ». J’irais rechercher un dernier signe d’intérêt plus tard avant de prendre ma décision. Mais dors et déjà, je sens se multiplier les moments où c'est elle qui m'observe.
La décision que je vais avoir à prendre sera celle de sortir d’un groupe social en « phase de maturité », pour créer un nouveau groupe social avec cette fille, et me retrouver, comme mon ami en début de soirée, en « phase d’insécurisation ». Et certainement comme ce même ami, je vais décider ou non de rentrer dans la « dynamique de séduction ».
[size=125][color=orange]La dynamique de séduction :[/color][/size]
Tout au long de la séduction, au moins un de deux êtres décide de créer un groupe social, puis crée ce groupe. Deux personnes se rencontrent. Soit le groupe réussira à sortir de la « phase d’insécurisation », soit il mourra.
[color=orange]Phase d’insécurisation : [/color]
Lors de vos premiers échanges, dès l’instant ou vous avez crée le groupe avec une demoiselle, on ressent de part et d’autre de l’insécurité. Est-ce que l’autre est normal ? C’est l’objet principal de notre crainte. C’est seulement quand les inconscients des deux parties auront intégré qu’ils ont des normes communes que le groupe glissera sereinement dans la phase suivante.
Tout le jeu consiste à identifier une des normes de l’autre. Pour cela il faut tout d’abord observer. Je sais que cette fille qui marche avec un livre à la main sera intéressée si je lui parle de lecture. Je sais que celle qui porte un pendentif en forme de note de musique, sera sécurisée sur le terrain des instruments de musique. Plus votre discernement sera fort, plus précise pourra être votre identification des normes. Vous choisirez alors le sujet qui fera ressentir à votre bel objectif, que « NOUS SOMMES PAREILS ».
Tout l’art de la séduction consistera à « renvoyer à l’autre l’image qu’il souhaite avoir de lui-même. » L’outil « empathie » vous permettra de vous mettre à la place de l’autre, et ainsi vous orienter sur ce dont votre interlocutrice à besoin pour avancer. Dans ces conditions votre phrase d’introduction (amorce) vous procurera moins de stress. A la sortie d’un cinéma, un « tu es allé voir quoi ? » suffira à ouvrir le bal, et à vous approcher tout les deux dans l’illusion groupale. Cerise sur le gâteau, une limite de temps dans votre échange finira d’assoir le sentiment de sécurité : « Je ne reste pas longtemps je dois rejoindre mes amis dans le pub d’en face ». Et noix de chantilly sur la cerise, vous venez de lui montrer une autre norme commune : vous avez des amis.
[color=orange]L’illusion groupale :[/color]
Une fois le sentiment de sécurité installé. Vous aurez tout le temps pour mettre en avant toutes les normes que vous avez en commun. Il suffit pour cela de rester en contact. Le téléphone est une invention formidable ! Plus vous aurez de codes communs, et plus l’illusion groupale sera forte. Elle installera un sentiment de légèreté, de plaisir, d’excitation peut être. A ce propos, le sexe est une norme standard, ne l’oubliez pas dans vos discussions. Si vous affichez trop tôt vos différences, vous fragiliserez cette étape. Prenez garde à ne pas accumuler ces divergences car vous redescendriez dans la phase d’insécurité et la marche sera alors difficile à inverser. La mort du groupe serait alors à prévoir.
C’est à ce moment que l’on s’amuse le plus. C’est maintenant que le baiser aura toute les chances de survenir comme par magie. On rencontre une euphorie qu’il faut savoir canaliser afin de ne pas perdre notre objectif : entrer dans la mal nommée « phase de conflit ».
Pour cela, il faudra noyer dans vos intérêts communs quelques unes de vos différences. De manière judicieuse, et en prenant les pincettes linguistiques. Un petit « Tiens ! Sur ce point j’ai un avis différent ».
Si la belle relance et vous demande les arguments, écoute, et contre argumente, EUREKA, vous sortez doucement de l’illusion groupale. Votre relation grandit, félicitation !
Si par contre elle se referme, allez-y doucement. Reprenez les sujets qui vous rapprochent, et retentez plus tard.
Si elle change d’avis en trois secondes, c’est qu’elle se sent trop bien dans l’illusion groupale. Soit elle n’a pas de caractère, soit elle désire tout simplement prolonger l’euphorie. Revenez de temps en temps sur les différences.
A ce stade, soit vous plongerez dans l’étape suivante, soit vous ferez mourir volontairement ce jeune groupe social que vous désiriez au début, que vous avez créé, et qui vous déplait à présent. Vous partez.
[color=orange]La phase de conflit :[/color]
La phase de conflit est extrêmement intéressante car c’est la plus enrichissante. Elle vous offre des discussions longues, passionnées et passionnantes. Vous échangerez des connaissances, vous apprendrez des choses et en offrirez à votre partenaire. Elle augmente la culture et la connaissance de chacun. Vous découvrez plus profondément ce groupe que vous formez tout les deux. Les normes établies auparavant constituent un matelas confortables pour gérer vos petits conflits d’opinions, vos différences.
Lors des incompréhensions, des frustrations peuvent survenir. Il faut les canaliser.
Dès l’instant où vous ressentez une frustration en vous, parlez de votre ressentis. Si vous percevez une frustration chez votre belle conquête, questionnez là sur SON ressentis. C’est simple, il faut mettre des mots sur les maux. Vous augmenterez sensiblement le sens socio-affectif de votre relation.
[size=125][color=orange]Aah l'Amour[/color][/size]
Si vous tombez amoureux à ce stade… héhéhé... c’est normal.
Décidez ou non dès à présent de faire mourir cette relation, ou de la faire grandir encore, vers la « phase de maturité », vers un groupe qui s’autogère, dont toutes les composantes participent à sa survie, en prenant des initiatives. C’est la relation à long terme, déjà pleinement abordée dans d’autres sujets.