- Sam Sep 22, 2007 12:14 am
#16755
[size=150]Elle était couturière:[/size]
Je précise que ceci est mon premier FR, il y a des erreurs, je le sais. Aidez-moi donc à les décrypter pour progresser.
[size=150]Première Partie: In extrémiste[/size]
18h36. Je n’ai plus le temps. Le chef de gare siffle. Plus que 10mètres. Enfin ! Je suis dans le train ! Une performance à défier les légendaires 9secondes 74 de Powell au 100mètres ! Bref, je suis monté. Mon sac par-dessus l’épaule, je me fraye un chemin et cherche désespérément une place libre.
« Ici ! »
Quoi? Je me retourne et effectivement je pouvais m’asseoir. Elle était là et m'offrait un siège, grande blonde aux quelques taches de rousseur et regard azur. Elle portait une robe noire finissant à mi cuisse. Son décolleté plongeant laissait apparaître le col de son soutien-gorge en fine dentelle noire.
Dandy: « Merci, sans toi j’étais condamné à rester debout. »
Elle: (Sourire)
En posant mes affaires, je remarque qu’elle est accompagnée et contrasté par une horrible personne dont les jambes me rappellent deux jambons de Bayonne. (J’arrête là le film d’épouvante). Les deux compères mangeaient de ces affreux sandwiches achetés plus cher que ne vaut l’emballage lui-même. Mes appels téléphoniques passé, j’ouvre « Mythologies » de Rolland Barthes. Mais qu’est ce que je fais ? Je suis assis en face d’une véritable bombe atomique ! Eclair de lucidité, je remballe, vois qu’elle coud et dis naturellement :
[size=150]Deuxième Partie: Prise de conscience[/size]
Dandy : « Tu es couturière ? »
Elle : « Oui, enfin étudiante encore, je prépare mon diplôme en haute couture »
Dandy : « Je te verrais donc bientôt au côté de Karl Lagerfeld »
Elle : (rire) « J’espère mais.. »
Sa copine, se sentant vraisemblablement à l’écart surgit :
« On est en cours ensemble, on prépare… et gniagnia et gniagniagnia (on s’en fout) »
Elle : « C’est très dur maintenant, il faut grimper échelon par échelon. »
D : « Oui mais il existe toujours l’alternative de la promotion canapé.
Elle : (rire)
S’ensuit une conversation ennuyeuse sur leurs avenirs professionnels.
Elle : « AÏE ! »
Elle s’était piqué le doigt avec son aiguille. En voilà une belle occasion pour établir un premier contact physique.
Dandy : (lui prenant la main) « tu devrais mettre un dé à coudre, je sais tu vas ressembler à une grand-mère mais c’est mieux que de se faire mal »
Elle : (rire puis elle se recoiffe de l’autre main (signe d’intérêt ?))
Sa coéquipière resurgit, je lui lâche la main.
Sa copine : « C’est moins pratique avec un dé, on perd en dextérité. (S’adressant à elle) Tiens tu sais que l’on doit terminer machin bidule pour lundi, il ne faudra pas trainer. »
D : « Vous avez l’air assez occupé, c’est bien de travailler mais il faut aussi s’amuser. Vous sortez où généralement ? »
Elle : «On ne sort pas ! L’internat nous l’interdit. Mais il arrive que l’on se boive une bouteille aux bords de l’eau près de « Gallia » après les cours.
D : « Gallia ? Je vais en cours à coté …
Coupé par Elle.
Elle : « … Mais on se verra alors, nous aussi on est là. Sinon on va souvent à… (Discussion sur les bars branchés de la ville) »
Le conducteur du train : « NOUS ARRIVONS EN GARE DE (chez moi), DEUX MINUTES D’ARRET »
[size=150]Dernière Partie: Se revoir?[/size]
D : « On se donne donc rendez vous aux bords de l’eau après les cours. »
J’enfile mon nouveau trench, elle me regarde de haut en bas et sourit. Je m’avance, me colle à elle et récupère mon sac.
Elle : « Mais tu nous reconnaitras comment ? Les Quais sont grands ! »
(Oui je sais je suis un boulet. Le numclose était là, je le savais, j’ai craché dessus)
D : « Il n’y a pas cinquante couturière blondes aux bords de l’eau. »
Je lui souris et lui dit à bientôt. Ne me retournant pas, je sors. Les pans du trench au vent, je m’arrête devant la porte de sortie de la gare, me retourne par faiblesse et vois à travers la fenêtre sa copine rigolant et Elle faisant la mou. Elle a vu que je la regardais, elle colle sa main sur la vitre puis se contrôlant la retire aussitôt et m’adresse un dernier sourire puis un geste de la main. Lui redonnant, je pars et regagne ma voiture.
J’irai aux bords de l’eau dans deux semaines.
Je précise que ceci est mon premier FR, il y a des erreurs, je le sais. Aidez-moi donc à les décrypter pour progresser.
[size=150]Première Partie: In extrémiste[/size]
18h36. Je n’ai plus le temps. Le chef de gare siffle. Plus que 10mètres. Enfin ! Je suis dans le train ! Une performance à défier les légendaires 9secondes 74 de Powell au 100mètres ! Bref, je suis monté. Mon sac par-dessus l’épaule, je me fraye un chemin et cherche désespérément une place libre.
« Ici ! »
Quoi? Je me retourne et effectivement je pouvais m’asseoir. Elle était là et m'offrait un siège, grande blonde aux quelques taches de rousseur et regard azur. Elle portait une robe noire finissant à mi cuisse. Son décolleté plongeant laissait apparaître le col de son soutien-gorge en fine dentelle noire.
Dandy: « Merci, sans toi j’étais condamné à rester debout. »
Elle: (Sourire)
En posant mes affaires, je remarque qu’elle est accompagnée et contrasté par une horrible personne dont les jambes me rappellent deux jambons de Bayonne. (J’arrête là le film d’épouvante). Les deux compères mangeaient de ces affreux sandwiches achetés plus cher que ne vaut l’emballage lui-même. Mes appels téléphoniques passé, j’ouvre « Mythologies » de Rolland Barthes. Mais qu’est ce que je fais ? Je suis assis en face d’une véritable bombe atomique ! Eclair de lucidité, je remballe, vois qu’elle coud et dis naturellement :
[size=150]Deuxième Partie: Prise de conscience[/size]
Dandy : « Tu es couturière ? »
Elle : « Oui, enfin étudiante encore, je prépare mon diplôme en haute couture »
Dandy : « Je te verrais donc bientôt au côté de Karl Lagerfeld »
Elle : (rire) « J’espère mais.. »
Sa copine, se sentant vraisemblablement à l’écart surgit :
« On est en cours ensemble, on prépare… et gniagnia et gniagniagnia (on s’en fout) »
Elle : « C’est très dur maintenant, il faut grimper échelon par échelon. »
D : « Oui mais il existe toujours l’alternative de la promotion canapé.
Elle : (rire)
S’ensuit une conversation ennuyeuse sur leurs avenirs professionnels.
Elle : « AÏE ! »
Elle s’était piqué le doigt avec son aiguille. En voilà une belle occasion pour établir un premier contact physique.
Dandy : (lui prenant la main) « tu devrais mettre un dé à coudre, je sais tu vas ressembler à une grand-mère mais c’est mieux que de se faire mal »
Elle : (rire puis elle se recoiffe de l’autre main (signe d’intérêt ?))
Sa coéquipière resurgit, je lui lâche la main.
Sa copine : « C’est moins pratique avec un dé, on perd en dextérité. (S’adressant à elle) Tiens tu sais que l’on doit terminer machin bidule pour lundi, il ne faudra pas trainer. »
D : « Vous avez l’air assez occupé, c’est bien de travailler mais il faut aussi s’amuser. Vous sortez où généralement ? »
Elle : «On ne sort pas ! L’internat nous l’interdit. Mais il arrive que l’on se boive une bouteille aux bords de l’eau près de « Gallia » après les cours.
D : « Gallia ? Je vais en cours à coté …
Coupé par Elle.
Elle : « … Mais on se verra alors, nous aussi on est là. Sinon on va souvent à… (Discussion sur les bars branchés de la ville) »
Le conducteur du train : « NOUS ARRIVONS EN GARE DE (chez moi), DEUX MINUTES D’ARRET »
[size=150]Dernière Partie: Se revoir?[/size]
D : « On se donne donc rendez vous aux bords de l’eau après les cours. »
J’enfile mon nouveau trench, elle me regarde de haut en bas et sourit. Je m’avance, me colle à elle et récupère mon sac.
Elle : « Mais tu nous reconnaitras comment ? Les Quais sont grands ! »
(Oui je sais je suis un boulet. Le numclose était là, je le savais, j’ai craché dessus)
D : « Il n’y a pas cinquante couturière blondes aux bords de l’eau. »
Je lui souris et lui dit à bientôt. Ne me retournant pas, je sors. Les pans du trench au vent, je m’arrête devant la porte de sortie de la gare, me retourne par faiblesse et vois à travers la fenêtre sa copine rigolant et Elle faisant la mou. Elle a vu que je la regardais, elle colle sa main sur la vitre puis se contrôlant la retire aussitôt et m’adresse un dernier sourire puis un geste de la main. Lui redonnant, je pars et regagne ma voiture.
J’irai aux bords de l’eau dans deux semaines.