- Ven Mar 20, 2015 9:22 pm
#167023
Fond sonore : Pierre Bachelet – 20 ans.
J’ai découvert Spikeséduction par un proche ami, nous étions à l’époque en 2011-2012, j’avais 20ans.
L’un des tous premiers contacts que j’ai eu avec ce modern gentleman club a été le livre papier que Stéphane a écrit. Mon expérience des filles n’était pas fantastique : j’avais eu quelques copines, qu’évidemment je n’avais pas eu les couilles d’aborder in real life et je sortais de prépa par la petite porte (Celle qui consiste à donner sa démission car cette voie faisait pour moi plus l’objet d’un conditionnement social). Rien de bien transcendant.
Porté par la frustration de cet échec, J’avais envie disons le clairement de « chopper ». Je suis devenu ce qu’on pourrait appelé un dragueur. Je me suis donc forgé seul, dans la rue et les lieux publics. J’ai su affronté seul ma peur de l’échec et j’ai essuyé comme vous pourrez l’imaginer de nombreux échecs.
Cet apprentissage de la drague (car je sortais pour séduire et rencontrer des filles) a été pour moi très formateur. J’ai appris à aller vers l’inconnu, sans filets. J’ai appris à faire taire cette petite voix qui avant m’aurait paralysé. J’avais peu. J’avais peur probablement d’être refoulé, de n’être pas apprécié. Peur du jugement d’autrui à mon égard, du regard des passants autour de moi. Peur de ne pas être validé en fait.
Les succès sont venus timidement mais se sont enchainés ensuite très vite après le tout premier. J’étais devenu un tchatcheur efficace, sympa, je pouvais avec un peu d’énergie aborder une femme que j’aurais jugé inaccessible quelques années auparavant. J’étais devenu le dragueur du livre qui porte le nom de « Binoclar pour un borgne », efficace, mais qui se faisait chier sévère en dehors de la drague.
Je n’étais pas un mauvais étudiant, bien au contraire, mais je n’avais pas l’ambition de briller par mes performances académiques. J’ai validé ma double licence de Maths-Physique en 4ans plutôt que 3 puisque j’ai été trop occupé à draguer. L’addiction aux rencontres et au sexe est devenue très forte, trop forte. La drague a été un raccourci à ma vie professionnelle et intérieure. Les seules chose en dehors de la drague dans lesquelles je me suis vraiment éclaté a été de partager mes connaissances avec des élèves. C’est une des activités que je préfère car même en ayant été un élève plutôt doué dans les sciences et ayant un gout minimum pour ces disciplines, je me faisais rudement chier à l’école : Je faisais autre chose. Quoi ? Je pensais à l’amour, aux femmes, à devenir quelqu’un.
Bizarrement j’ai toujours associé ces deux concepts : La Séduction et devenir quelqu’un. Or moi je n’étais que simple dragueur. J’ai toujours rêvé d’avoir une dimension un peu plus haute, mais laquelle ? Je pense que ça aura un lien avec l’Enseignement et l’écriture. Je me sens bien, vraiment bien dans ces deux situations. Je n’ai pas la sensation de faker, j’ai la sensation de faire quelque chose qui me correspond.
3 ans plus tard nous sommes en 2015….
J’ai 23 ans, j’ai une Licence et je vais valider une première année de Master si je ne foire pas tout en juin. Mais je veux plus….
J’aimerais devenir un homme vraiment séduisant, complet : qui n’a pas besoin de faker pour avoir des filles qui me plaisent.
J’aimerais Voyager.
J’aimerais avoir des activités plus sociales qui me permettraient de cotoyer plus de monde. J’ai une tendance à l’exclusivité dans l’amitié. Soit c’est l’amitié fusionnelle, fraternelle, soit c’est rien. Est-ce que c’est con ? Je sais pas, faut voir. J’ai pas de potes, j’ai la chance d’avoir 3 trés bons amis qui ne m’ont jamais déçus. Pour les amies, elles sont devenues des Fuck friends. Seul le temps nous dira si ça tient sur le long terme les relations d’amitié très forte et sex. Je compte donc faire serveur cet été dans un café parisien, j’ai déjà fait l’expérience en 2012 dans le brasserie de mon oncle, ça m’avait plu. J’imagine passer le baffa pour le fun dans les années qui viennent, ça me ferait marrer de faire animateur collo au moins rien qu’un fois dans ma vie.
J’aimerais monter mon propre business.
J’aimerais parler anglais couramment (qui m’ont traumatisées). Paradoxalement avoir un anglais même bad game a été très rarement un frein en séduction, je retire même des mes dragues en anglais la plus folle rencontre de ma vie avec une ex mannequin russe venue pour affaire sur Paris. Sur la ligne 7 pour ceux qui connaissent, métro Pyramides. Pour en revenir à l’anglais, j’aimerais mieux le parler pour voyager.
J’ai du gout pour une époque antérieure à la mienne, les années 70 et 80. J’aime les musiques de ces époques, les objets de ces époques. J’aime les textes, un beau texte de chanson peut me faire pleurer. J’aime sentir qu’en 3min de chanson sont enfermées des lieux, des images, des paysages, des odeurs, des gouts, des sensations, des sentiments. J’aime donc la variété Française des cette époque. Et je vous livre un secret : Mon idéal féminin est Françoise Hardy ( jeune hein ), sa voix et sont corps me rendent un peu fou. Je dois être romantique dans le fond, mais je ne le suis paradoxalement plus avec mes amis qui pour moi sont des frères d’armes ( band of brothers pour ceux qui connaissent ) plutôt qu’avec des femmes.
J’ai perdu mon intérêt pour la recherche de l’amour, du moins provisoirement en attendant de me réaliser pleinement. Je ne pense que l’on peut aimer et mériter d’être aimer qu’une fois accompli. Personne n’aime les coquilles vides.
Merci de m’accueillir parmi vous.
Yann
J’ai découvert Spikeséduction par un proche ami, nous étions à l’époque en 2011-2012, j’avais 20ans.
L’un des tous premiers contacts que j’ai eu avec ce modern gentleman club a été le livre papier que Stéphane a écrit. Mon expérience des filles n’était pas fantastique : j’avais eu quelques copines, qu’évidemment je n’avais pas eu les couilles d’aborder in real life et je sortais de prépa par la petite porte (Celle qui consiste à donner sa démission car cette voie faisait pour moi plus l’objet d’un conditionnement social). Rien de bien transcendant.
Porté par la frustration de cet échec, J’avais envie disons le clairement de « chopper ». Je suis devenu ce qu’on pourrait appelé un dragueur. Je me suis donc forgé seul, dans la rue et les lieux publics. J’ai su affronté seul ma peur de l’échec et j’ai essuyé comme vous pourrez l’imaginer de nombreux échecs.
Cet apprentissage de la drague (car je sortais pour séduire et rencontrer des filles) a été pour moi très formateur. J’ai appris à aller vers l’inconnu, sans filets. J’ai appris à faire taire cette petite voix qui avant m’aurait paralysé. J’avais peu. J’avais peur probablement d’être refoulé, de n’être pas apprécié. Peur du jugement d’autrui à mon égard, du regard des passants autour de moi. Peur de ne pas être validé en fait.
Les succès sont venus timidement mais se sont enchainés ensuite très vite après le tout premier. J’étais devenu un tchatcheur efficace, sympa, je pouvais avec un peu d’énergie aborder une femme que j’aurais jugé inaccessible quelques années auparavant. J’étais devenu le dragueur du livre qui porte le nom de « Binoclar pour un borgne », efficace, mais qui se faisait chier sévère en dehors de la drague.
Je n’étais pas un mauvais étudiant, bien au contraire, mais je n’avais pas l’ambition de briller par mes performances académiques. J’ai validé ma double licence de Maths-Physique en 4ans plutôt que 3 puisque j’ai été trop occupé à draguer. L’addiction aux rencontres et au sexe est devenue très forte, trop forte. La drague a été un raccourci à ma vie professionnelle et intérieure. Les seules chose en dehors de la drague dans lesquelles je me suis vraiment éclaté a été de partager mes connaissances avec des élèves. C’est une des activités que je préfère car même en ayant été un élève plutôt doué dans les sciences et ayant un gout minimum pour ces disciplines, je me faisais rudement chier à l’école : Je faisais autre chose. Quoi ? Je pensais à l’amour, aux femmes, à devenir quelqu’un.
Bizarrement j’ai toujours associé ces deux concepts : La Séduction et devenir quelqu’un. Or moi je n’étais que simple dragueur. J’ai toujours rêvé d’avoir une dimension un peu plus haute, mais laquelle ? Je pense que ça aura un lien avec l’Enseignement et l’écriture. Je me sens bien, vraiment bien dans ces deux situations. Je n’ai pas la sensation de faker, j’ai la sensation de faire quelque chose qui me correspond.
3 ans plus tard nous sommes en 2015….
J’ai 23 ans, j’ai une Licence et je vais valider une première année de Master si je ne foire pas tout en juin. Mais je veux plus….
J’aimerais devenir un homme vraiment séduisant, complet : qui n’a pas besoin de faker pour avoir des filles qui me plaisent.
J’aimerais Voyager.
J’aimerais avoir des activités plus sociales qui me permettraient de cotoyer plus de monde. J’ai une tendance à l’exclusivité dans l’amitié. Soit c’est l’amitié fusionnelle, fraternelle, soit c’est rien. Est-ce que c’est con ? Je sais pas, faut voir. J’ai pas de potes, j’ai la chance d’avoir 3 trés bons amis qui ne m’ont jamais déçus. Pour les amies, elles sont devenues des Fuck friends. Seul le temps nous dira si ça tient sur le long terme les relations d’amitié très forte et sex. Je compte donc faire serveur cet été dans un café parisien, j’ai déjà fait l’expérience en 2012 dans le brasserie de mon oncle, ça m’avait plu. J’imagine passer le baffa pour le fun dans les années qui viennent, ça me ferait marrer de faire animateur collo au moins rien qu’un fois dans ma vie.
J’aimerais monter mon propre business.
J’aimerais parler anglais couramment (qui m’ont traumatisées). Paradoxalement avoir un anglais même bad game a été très rarement un frein en séduction, je retire même des mes dragues en anglais la plus folle rencontre de ma vie avec une ex mannequin russe venue pour affaire sur Paris. Sur la ligne 7 pour ceux qui connaissent, métro Pyramides. Pour en revenir à l’anglais, j’aimerais mieux le parler pour voyager.
J’ai du gout pour une époque antérieure à la mienne, les années 70 et 80. J’aime les musiques de ces époques, les objets de ces époques. J’aime les textes, un beau texte de chanson peut me faire pleurer. J’aime sentir qu’en 3min de chanson sont enfermées des lieux, des images, des paysages, des odeurs, des gouts, des sensations, des sentiments. J’aime donc la variété Française des cette époque. Et je vous livre un secret : Mon idéal féminin est Françoise Hardy ( jeune hein ), sa voix et sont corps me rendent un peu fou. Je dois être romantique dans le fond, mais je ne le suis paradoxalement plus avec mes amis qui pour moi sont des frères d’armes ( band of brothers pour ceux qui connaissent ) plutôt qu’avec des femmes.
J’ai perdu mon intérêt pour la recherche de l’amour, du moins provisoirement en attendant de me réaliser pleinement. Je ne pense que l’on peut aimer et mériter d’être aimer qu’une fois accompli. Personne n’aime les coquilles vides.
Merci de m’accueillir parmi vous.
Yann