- Mar Jan 07, 2014 9:08 pm
#143991
Bonjour tout le monde. C'est d'un sujet un peu tendu que je veux parler ici, et il est à la base bien des choses je crois.
Dans mon éducation, le sex, c'est vu comme un démon. C'est quelque-chose qui a toujours été comme un tabou, ou quelque-chose dont on a honte de parler. En fait, dont on ne parle pas du tout dans mon entourage. Le truc, c'est que ça me pose bien des ennuis, des gènes, des malaises, et qu'au bout du compte, j'ai toujours l'impression que ça ressort en couple ou en allant vers une fille.
Je prends l'exemple d'une relation précédente où, au début, tout allait bien. Au début, on a un peu comme peur, ou une appréhension de se dévoiler face à l'autre, mais c'est vite remplacé par une confiance totale, à se laisser aller à l'autre. Le truc, c'est qu'avec le temps, je vois de plus en plus le fait d'avoir envie de ma copine si j'étais pervers, comme une honte, alors j'ose de moins en moins, et ça ressort sous forme de blocage où j'ai peur d'assumer ce dont j'ai envie, peur d'être jugé comme "pervers", peur d'être oppressant, et plus ça me bloque, plus j'ai l'impression que chaque geste devient oppressant. Résultat, dans les "petites choses" de la vie de tout les jours, qui n'ont aucun rapport au sexe, j'ose de moins en moins. Assumer ce que je dis, mes idées, mes choix, etc. C'est comme si j'attendais que ma copine me fasse des énormes signes d'intérêts pour me sentir à l'aise, sauf qu'elle aussi sent le malaise, et donc froid et tout ce qui s'en suit. Je me sens de plus en plus comme si j'avais besoin de confiance, de connaitre la personne, de me confier pour me lâcher, mais plus cette recherche de sécurité se fait sentir, plus j'ai l'impression que ça casse le désir de l'autre, et de devenir asexué ou pire, oppressant.
Je reste persuadé que dans toutes mes relations précédentes, 75% s'est joué sur ce malaise. Quel est votre ressenti à ce sujet, et comment y réagissez-vous?
Dans mon éducation, le sex, c'est vu comme un démon. C'est quelque-chose qui a toujours été comme un tabou, ou quelque-chose dont on a honte de parler. En fait, dont on ne parle pas du tout dans mon entourage. Le truc, c'est que ça me pose bien des ennuis, des gènes, des malaises, et qu'au bout du compte, j'ai toujours l'impression que ça ressort en couple ou en allant vers une fille.
Je prends l'exemple d'une relation précédente où, au début, tout allait bien. Au début, on a un peu comme peur, ou une appréhension de se dévoiler face à l'autre, mais c'est vite remplacé par une confiance totale, à se laisser aller à l'autre. Le truc, c'est qu'avec le temps, je vois de plus en plus le fait d'avoir envie de ma copine si j'étais pervers, comme une honte, alors j'ose de moins en moins, et ça ressort sous forme de blocage où j'ai peur d'assumer ce dont j'ai envie, peur d'être jugé comme "pervers", peur d'être oppressant, et plus ça me bloque, plus j'ai l'impression que chaque geste devient oppressant. Résultat, dans les "petites choses" de la vie de tout les jours, qui n'ont aucun rapport au sexe, j'ose de moins en moins. Assumer ce que je dis, mes idées, mes choix, etc. C'est comme si j'attendais que ma copine me fasse des énormes signes d'intérêts pour me sentir à l'aise, sauf qu'elle aussi sent le malaise, et donc froid et tout ce qui s'en suit. Je me sens de plus en plus comme si j'avais besoin de confiance, de connaitre la personne, de me confier pour me lâcher, mais plus cette recherche de sécurité se fait sentir, plus j'ai l'impression que ça casse le désir de l'autre, et de devenir asexué ou pire, oppressant.
Je reste persuadé que dans toutes mes relations précédentes, 75% s'est joué sur ce malaise. Quel est votre ressenti à ce sujet, et comment y réagissez-vous?