- Mer Mar 07, 2012 10:37 pm
#120139
Vendredi soir, je rejoins des amis dans un bar un peu garage/50's près de Menilmontant.
Comme souvent dans ce genre d'endroit, il y'a beaucoup de gens au look extravagant. Moi qui est plutôt d'une nature "vierge" et simple, je ne crois pas être si à mon aise.
RAS, il est plus de minuit nous devons partir. Décidément je crois n'être plus fait aux soirées dans les bars, pourtant j'ai une fois de plus trop bu.
Les autres rentrent en métro, quant à moi j'ai besoin de marcher. J'ai besoin de sentir un souffle de liberté. Et puis je sens cette air de mojo. Pile celui qui me ferait tenir toute la nuit.
[img]http://img15.hostingpics.net/pics/88467818513792331.jpg[/img]
Les boulevards de Paris peuvent être assez glauques dans ce quartier. Je marche un verre à la main, celui piqué du bar psyché-garage. Je crois même que je commence un peu à tituber.
Je vois 2 filles, en jupe, qui marchent devant moi, et comme depuis 2 mois j'en ai un peu plus rien à foutre de la bienséance je me tente alors à un petit jeu.
Je les double à grand pas. Presque en courant. Je met en plein devant elle, face à face, en criant pour leur faire peur, d'un "aahhhh" beaucoup trop fort.
Elles sursautent (vraiment) et crient à leur tour complètement effrayées. C'était d'ailleurs assez génial à voir
Bien sûr, je souris aussitôt pour bien montrer que tout ca n'était qu'expérience "tripante"...
Moi> Hey! Bon les filles. Vous pensez quoi de ma manière de vous abordez?
J'ai voulu voir si c'était possible, d'aborder des gens normaux, inconnus, dans une rue sombre, un verre d'alcool à la main, en criant pour leur faire peur!
Tout n'est que choc émotionnel. En ayant eu peur d'un coup, et ne me voyant pas patibulaire, c'était sur que la mécanique inverse allait alors pourvoir se produire
Elles> Pfuu, c'est génial! Tu fais quoi? T'allais ou? Viens avec nous on va faire la fête dans bar..."
Honnêtement, l'interaction a duré une vingtaine de secondes, pas plus, et j'ai pu passer la soirée avec elles jusqu'à 6h du matin, en écumant les bars du quartier. C'était une super soirée, on aura encore bu, on se sera embrassé (enfin une), échangé nos numéros (sans qu'elle me réponde à ce jour, mais bon c'est plus si grave quand on est libre, ca arrive)
La conclusion c'est que parfois c'est mieux de choisir sa liberté, plutôt que de suivre 2-3 amis dans un rade, qui pue la bière, et à regarder si une fille nous regarde.
Comme souvent dans ce genre d'endroit, il y'a beaucoup de gens au look extravagant. Moi qui est plutôt d'une nature "vierge" et simple, je ne crois pas être si à mon aise.
RAS, il est plus de minuit nous devons partir. Décidément je crois n'être plus fait aux soirées dans les bars, pourtant j'ai une fois de plus trop bu.
Les autres rentrent en métro, quant à moi j'ai besoin de marcher. J'ai besoin de sentir un souffle de liberté. Et puis je sens cette air de mojo. Pile celui qui me ferait tenir toute la nuit.
[img]http://img15.hostingpics.net/pics/88467818513792331.jpg[/img]
Les boulevards de Paris peuvent être assez glauques dans ce quartier. Je marche un verre à la main, celui piqué du bar psyché-garage. Je crois même que je commence un peu à tituber.
Je vois 2 filles, en jupe, qui marchent devant moi, et comme depuis 2 mois j'en ai un peu plus rien à foutre de la bienséance je me tente alors à un petit jeu.
Je les double à grand pas. Presque en courant. Je met en plein devant elle, face à face, en criant pour leur faire peur, d'un "aahhhh" beaucoup trop fort.
Elles sursautent (vraiment) et crient à leur tour complètement effrayées. C'était d'ailleurs assez génial à voir
Bien sûr, je souris aussitôt pour bien montrer que tout ca n'était qu'expérience "tripante"...
Moi> Hey! Bon les filles. Vous pensez quoi de ma manière de vous abordez?
J'ai voulu voir si c'était possible, d'aborder des gens normaux, inconnus, dans une rue sombre, un verre d'alcool à la main, en criant pour leur faire peur!
Tout n'est que choc émotionnel. En ayant eu peur d'un coup, et ne me voyant pas patibulaire, c'était sur que la mécanique inverse allait alors pourvoir se produire
Elles> Pfuu, c'est génial! Tu fais quoi? T'allais ou? Viens avec nous on va faire la fête dans bar..."
Honnêtement, l'interaction a duré une vingtaine de secondes, pas plus, et j'ai pu passer la soirée avec elles jusqu'à 6h du matin, en écumant les bars du quartier. C'était une super soirée, on aura encore bu, on se sera embrassé (enfin une), échangé nos numéros (sans qu'elle me réponde à ce jour, mais bon c'est plus si grave quand on est libre, ca arrive)
La conclusion c'est que parfois c'est mieux de choisir sa liberté, plutôt que de suivre 2-3 amis dans un rade, qui pue la bière, et à regarder si une fille nous regarde.