- Mar Déc 30, 2008 10:54 am
#65456
Bonjour à tous
C'est l'histoire d'un AFC qui un jour ne put plus se voiler la face et dût enfin se confronter à LA contradiction : les femmes disent vouloir un mec gentil, attentionné, doux, mais dans ce cas, pourquoi le salaud lambda a-t-il plus de succès que l'archétype du mec idéal selon les femmes ? Pourquoi en général, ce mec soit-disant idéal reste toujours bloqué au stade d'ami recueillant les confidences du type "les mecs sont souvent des salauds, ah si seulement tout le monde était comme toi !". Et surtout, pourquoi, quant il est enfin casé, ce mec se fait invariablement larguer avec la même justification : "tu es génial, reste comme tu es, le problème vient de moi, bla bla bla, j'aimerai qu'on redevienne ami"
Devant tant d'interrogations, et lassé d'entendre toujours la même réponse "reste comme tu es, celle là n'était pas la bonne, ça finira par venir", il se mit à chercher les réponses ailleurs.
Cette histoire paraitra sans doute banale : c'est celle de 90% des gens ici, et c'est aussi la mienne.
J'ai presque 20 ans, étudiant, dans la région de Tours. J'ai toujours été l'archétype du "mec gentil", l'AFC. Mais depuis quelques mois, je change peu à peu : j'ai découvert FTS d'abord (forum auquel j'ai un peu participé), puis enfin the Spikeclub, que je lis avec assiduité depuis quelques semaines, avant d'enfin décider de m'inscrire et tenter d'apporter ma (modeste) pierre
Ce que je lisais au début me semblait surréaliste. Il y avait un tel décalage entre ce qu'écrivait les théoriciens du Game et ce qu'on entend communément dans les médias, chez ses amis, à propos de la séduction. Mais plus j'y pensais, plus la contradiction exposée plus haut devenait claire et je comprenais qu'il y avait plus de 19 ans de conditionnement sociale à reprogrammer.
Par ailleurs, ce qui m'a définitivement convaincu, c'est l'analyse de la seule histoire qui avait réellement fonctionnée, au lycée.
Flashback :
C'était avec une fille avec laquelle je ne pensais avoir aucune chance. Je me suis donc comporté avec elle comme un simple ami. Hors, je l'intéressais fortement, mais de part mon attitude, je lui apparaissais inaccessible : hard to get sans le savoir. Ne voulant laisser place à aucun sous-entendu (pour éviter de la faire fuir), je lui avais fait comprendre qu'elle n'était mon style de fille : et hop, une barrière sans le savoir. Neg, C&F, sexualisation à gogo : en effet, j'étais peut être l'AFC de base lors d'une phase de drague, mais en tant que simple pote, j'ai toujours été grand déconneur, ouvert.
Avant finalement de comprendre ses intentions et de closer sans aucun soucis.
A la lecture de tout ces articles, tout était clair : avec cette fille, j'avais déroulé un bon game, sans le savoir, tout simplement parcequ'à l'origine je me comportais en simple pote, donc ouvert, décomplexé, à l'inverse de l'AFC coincé que j'étais lorsque je cherchais à draguer une fille.
C'est ainsi que totalement converti, j'ai pu débuter mon long chemin sur les sentiers de la drague
C'est l'histoire d'un AFC qui un jour ne put plus se voiler la face et dût enfin se confronter à LA contradiction : les femmes disent vouloir un mec gentil, attentionné, doux, mais dans ce cas, pourquoi le salaud lambda a-t-il plus de succès que l'archétype du mec idéal selon les femmes ? Pourquoi en général, ce mec soit-disant idéal reste toujours bloqué au stade d'ami recueillant les confidences du type "les mecs sont souvent des salauds, ah si seulement tout le monde était comme toi !". Et surtout, pourquoi, quant il est enfin casé, ce mec se fait invariablement larguer avec la même justification : "tu es génial, reste comme tu es, le problème vient de moi, bla bla bla, j'aimerai qu'on redevienne ami"
Devant tant d'interrogations, et lassé d'entendre toujours la même réponse "reste comme tu es, celle là n'était pas la bonne, ça finira par venir", il se mit à chercher les réponses ailleurs.
Cette histoire paraitra sans doute banale : c'est celle de 90% des gens ici, et c'est aussi la mienne.
J'ai presque 20 ans, étudiant, dans la région de Tours. J'ai toujours été l'archétype du "mec gentil", l'AFC. Mais depuis quelques mois, je change peu à peu : j'ai découvert FTS d'abord (forum auquel j'ai un peu participé), puis enfin the Spikeclub, que je lis avec assiduité depuis quelques semaines, avant d'enfin décider de m'inscrire et tenter d'apporter ma (modeste) pierre
Ce que je lisais au début me semblait surréaliste. Il y avait un tel décalage entre ce qu'écrivait les théoriciens du Game et ce qu'on entend communément dans les médias, chez ses amis, à propos de la séduction. Mais plus j'y pensais, plus la contradiction exposée plus haut devenait claire et je comprenais qu'il y avait plus de 19 ans de conditionnement sociale à reprogrammer.
Par ailleurs, ce qui m'a définitivement convaincu, c'est l'analyse de la seule histoire qui avait réellement fonctionnée, au lycée.
Flashback :
C'était avec une fille avec laquelle je ne pensais avoir aucune chance. Je me suis donc comporté avec elle comme un simple ami. Hors, je l'intéressais fortement, mais de part mon attitude, je lui apparaissais inaccessible : hard to get sans le savoir. Ne voulant laisser place à aucun sous-entendu (pour éviter de la faire fuir), je lui avais fait comprendre qu'elle n'était mon style de fille : et hop, une barrière sans le savoir. Neg, C&F, sexualisation à gogo : en effet, j'étais peut être l'AFC de base lors d'une phase de drague, mais en tant que simple pote, j'ai toujours été grand déconneur, ouvert.
Avant finalement de comprendre ses intentions et de closer sans aucun soucis.
A la lecture de tout ces articles, tout était clair : avec cette fille, j'avais déroulé un bon game, sans le savoir, tout simplement parcequ'à l'origine je me comportais en simple pote, donc ouvert, décomplexé, à l'inverse de l'AFC coincé que j'étais lorsque je cherchais à draguer une fille.
C'est ainsi que totalement converti, j'ai pu débuter mon long chemin sur les sentiers de la drague