- Ven Jan 27, 2017 10:29 pm
#181406
Bonjour à tous,
Je suis nouveau sur le forum, alors commençons par les présentations que je vous soit pas un total inconnu.
J'ai 19 ans je suis étudiant en Prépa Littéraire dans un lycée de banlieue, très sportif, cinéphile un peu désabusé. Assez conceptuel et un coté créatif qui ne demande qu'à s'exprimer.
68/32 au test du % de H/F à titre d'information
Ex timide maladif de la classe moyenne caractéristique de nos sociétés libérales féminisantes, j'étais il y a encore trois ans de ça terrorisé à l'idée de juste prendre les transports en commun . Une suite de prises de conscience, dont les lectures des articles & forums de ce site (merci à Stéphane et tout les autres qui lisent) et les livres d'autres personnages difficilement citables m'ont amené au constat terrible et pourtant terriblement formateur : ma vie allait dans le mur.
C'est à force de sport, de sorties de ma zone de confort, de discussions avec des gens qui m'ont semblé dans un autre monde que j'ai fini par briser le mur invisible qui me séparait des « autres » et commencer à goûter à ce que la vie avait de plaisant à apporter.
Pourtant un point reste encore sombre et si je poste su ce forum vous vous doutez bien de quel point il s'agit. Je n'ai absolument aucune expérience avec les filles.
Aucune.
Pourtant en commençant à faire preuve de caractère entre la première et la terminale (vêtements et personnalité), certaines filles m'ont fait comprendre que je ne laissais pas la gent féminine indifférente mais rien ne s'est jamais concrétisé, à part avoir friendzoné une droguée dépressive nymphomane aux cheveux bleus (aah la terminale L dans un lycée privé...), le terme « intimité » avec une fille est pour moi aussi chargé d'espoir qu'il est lointain et flou.
Après être passé par la fac sans succès , mon caractère a encore continuer a changer.
Toujours est-il que cette année je suis dans une classe ou nous sommes 3 garçons pour 11 filles et ou ma personnalité qui a fort évolué depuis est très appréciée, je fais des blagues en cours, professeur y compris, ma scolarité se porte bien sans fournir des masses de travail et je maintiens mon équilibre physique en faisant beaucoup de sport comme toujours, Athlétisme et Boxe thaï bien que de manière assez irrégulière je l'admets, mes contacts avec d'anciens vrais amis de fac et de lycée me permettent des sorties assez régulières malgré un emploi du temps assez serré.
Je n'ai pas le style de vie de mes rêves mais il me satisfait vu les contraintes que je me suis imposé.
Par contraste avec les deux autres garçons de la classe, j'ai l'impression d'être le seul à apparaître comme sexué (prises d'initiatives et de parole en cours, j'ai des conversation facile avec tout le monde, humour qui fait souvent mouche...), là ou les deux autres sont assez introvertis et plus en difficulté scolairement, ce qui me vaut d'être assez courtisé sans faire d'énormes efforts, déjà 3 filles m'ont témoigné de l'intérêt en 4 mois de cours, ce qui je le reconnais est aussi grisant que déstabilisant tant c'est inhabituel pour moi.
Seulement voilà, je suis du genre à être en marge de la pression sociale mais autant le dire comme je le pense, 19 ans toujours puceau c'est long et quand ça se sait c'est pas évident à assumer publiquement. Ce qui me fait dire qu'il va falloir que je tente l'expérience avec l'une d'entre elles.
Actuellement je suis dans un dilemme
Dans ma classe majoritairement féminine comme je l'ai énoncé, je suis tombé sous le charme (c'est vraiment l'expression) d'une fille que j'avais pourtant ignoré jusque là mais a force de fréquenter tout les jours j'ai cru déceler des changements chez elle (ou théorie de l'enceinte close peut-être?), seulement je crois qu'elle est devenue distante, vu les vents polaires que je lui ai mis au début de l'année.
De l'autre coté j'ai tout au long de la semaine reçu des avances assez claires de la part d'une autre fille, du type elle passe son temps a se coller à moi en classe ou en dehors, elle engage tout le temps la conversation avec moi et veut toujours avoir des infos personnelles sur moi, rigole à TOUTES mes blagues même celles qui sont à chier, elle dit tout le temps que je suis un mec génial etc...BREF les signes d’intérêt sont gros comme un château de la Loire.
En bref je dois faire un choix entre les deux sachant que :
La première est un coup de cœur en terme de physique et je peux dire que c'est la première fille DROLE que je rencontre (pas de fake ni de misogynie , c'est ce que je constate)
La deuxième est la première fille avec qui je peux parler de sujets polémiques sans qu'elle se braque sur des ersatz de féminisme et droits-de-l'hommisme ou communautarisme primaire, bref c'est la saule avec qui j'ai ce qu'on pourrait nommer une connexion intellectuelle assez forte. Elle est physiquement sans plus mais loin d'être moche non plus
La première est réellement une fille qui me motive, elle travaille à côté de ses études pour être indépendante de ses parents, très fort caractère (aaah l'Algérie...), ce qui aussi génial qu'effrayant. Je pense que cette fille a pas mal de H. Le fait de penser au « niveau » qu'elle a – si l'on peut parler ainsi - me donne une véritable énergie pour élever le mien. Moi qui avait prétentieusement horreur du travail salarié j'ai complètement revu ma manière d'imaginer ma vie à court terme, j'essaye en ce moment de trouver un job à côté pour financer mes projets à défaut de pouvoir compter sur le CROUS.
Néanmoins elle est une vision des valeurs assez matérialiste et terre-à-terre qui s'éloigne beaucoup des miennes, ce qui limite quelque peu la profondeur de nos conversations. Ajouté au froid latent qu'il ya entre nous étant donné que je l'ai plus ou moins friendzonnée en début d'année.
La deuxième est une fille avec qui j'ai l'impression de pouvoir parler pendant des heures entières sans s'arrêter tant notre vision du monde est proche. Chose que j'aurai du mal à perdre si jamais je la met en friendzone et qu'elle se vexe, parce que hors de ma famille je n'ai jamais senti autant de connexion intellectuelle avec quelqu'un. Seulement je ne ressens pas spécialement d'attirance pour elle.
Ce qui transparaît de mes réflexions est que j'ai l'impression que la première est la fille que j'aimerais avoir si je parvenais à réellement changer en profondeur, une sorte de moi en mieux, sous entendant aussi que la relation pourrait ne pas fonctionner avec le « moi » actuel.
Au contraire la deuxième semble trouver de l’intérêt dans le coté intello cynique que je voulais enterrer parce que je le croyais inutile et asexué, créant chez moi la tentation de me complaire dans ce rôle qui m'est plus naturel que celui de pile Duracell de la classe.
Ça pose aussi quelque part la question : doit-on changer ou s'accepter tel qu'on est ?
Car je vois les gros efforts à faire pour devenir un autre homme qui pourrait plaire à des filles qui sont très différentes de moi et m'attirent, mais je réalise aussi que y'a cette part de moi en tant que type assez cérébral, un peu F aussi qui va rester au fond et que je pensais ridicule et a effacer mais qui semble plaire à certaines visiblement. Et je vous avoue que c'est terriblement usant de se changer radicalement au quotidien, d'autant plus qu'on essaye de le faire à vitesse grand V.
Plus simplement, dois-je continuer vers une fille qui me challenge en prenant le risque de me griller – car dans une classe de 14 personnes, qui voudra du mec qui s'est déjà fait recaler par l'une des filles ?
Si je prends le risque et que ça foire ça compromet grandement mes chances avec les autres filles de ma classe et mon emploi du temps limite trop mes sorties pour en rencontrer hors de mon cercle social pour l'instant.
Ou dois-je « m'autoriser » une forme de facilité en laissant la seconde fille venir à moi, me lançant dans une des fameuses relations par défaut tant décriées sur ce site, mais qui me permettrait quelque part d'avoir une première expérience sérieuse avec la gente féminine sans faire trop d'efforts ?
C'est un peu quitte ou double.
Bref vous avez compris il y a plusieurs questions :
Que dois-je faire vis à vis des deux demoiselles ?
Dois-je m'affranchir de ce choix en changeant complètement mon style de vie quitte à ce que ma scolarité en pâtisse un peu ?
Est-il possible de sortir avec une fille dont on a ignoré les avances pendant un moment ?
Est-il possible de se regarder dans la glace en sortant avec une fille qui ne nous plait moyennement juste par « nécessité » de se faire une expérience ?
Est-ce arrogant ou inconscient de s'imaginer avoir le choix entre deux jolies filles de 19 ans au XXIe siècle sachant leur hypothétique valeur sur le « marché » ?
Je sais que j'ai fait long mais c'est que j'en appelle à vos talents aiguisés de lecteurs pour déceler dans ma plume, mes expressions, ma vision de ma propre existence, les défauts qui vous sautent aux yeux.
Je pense qu'il y a beaucoup de non dits dans mon posts mais j'ai du mal à poser des mots dessus (par définition) donc peut-être arriverez vous à y voir clair en tant que regard extérieurs
Merci de votre lecture, sincèrement et bonne soirée/ journée à tous.
Je suis nouveau sur le forum, alors commençons par les présentations que je vous soit pas un total inconnu.
J'ai 19 ans je suis étudiant en Prépa Littéraire dans un lycée de banlieue, très sportif, cinéphile un peu désabusé. Assez conceptuel et un coté créatif qui ne demande qu'à s'exprimer.
68/32 au test du % de H/F à titre d'information
Ex timide maladif de la classe moyenne caractéristique de nos sociétés libérales féminisantes, j'étais il y a encore trois ans de ça terrorisé à l'idée de juste prendre les transports en commun . Une suite de prises de conscience, dont les lectures des articles & forums de ce site (merci à Stéphane et tout les autres qui lisent) et les livres d'autres personnages difficilement citables m'ont amené au constat terrible et pourtant terriblement formateur : ma vie allait dans le mur.
C'est à force de sport, de sorties de ma zone de confort, de discussions avec des gens qui m'ont semblé dans un autre monde que j'ai fini par briser le mur invisible qui me séparait des « autres » et commencer à goûter à ce que la vie avait de plaisant à apporter.
Pourtant un point reste encore sombre et si je poste su ce forum vous vous doutez bien de quel point il s'agit. Je n'ai absolument aucune expérience avec les filles.
Aucune.
Pourtant en commençant à faire preuve de caractère entre la première et la terminale (vêtements et personnalité), certaines filles m'ont fait comprendre que je ne laissais pas la gent féminine indifférente mais rien ne s'est jamais concrétisé, à part avoir friendzoné une droguée dépressive nymphomane aux cheveux bleus (aah la terminale L dans un lycée privé...), le terme « intimité » avec une fille est pour moi aussi chargé d'espoir qu'il est lointain et flou.
Après être passé par la fac sans succès , mon caractère a encore continuer a changer.
Toujours est-il que cette année je suis dans une classe ou nous sommes 3 garçons pour 11 filles et ou ma personnalité qui a fort évolué depuis est très appréciée, je fais des blagues en cours, professeur y compris, ma scolarité se porte bien sans fournir des masses de travail et je maintiens mon équilibre physique en faisant beaucoup de sport comme toujours, Athlétisme et Boxe thaï bien que de manière assez irrégulière je l'admets, mes contacts avec d'anciens vrais amis de fac et de lycée me permettent des sorties assez régulières malgré un emploi du temps assez serré.
Je n'ai pas le style de vie de mes rêves mais il me satisfait vu les contraintes que je me suis imposé.
Par contraste avec les deux autres garçons de la classe, j'ai l'impression d'être le seul à apparaître comme sexué (prises d'initiatives et de parole en cours, j'ai des conversation facile avec tout le monde, humour qui fait souvent mouche...), là ou les deux autres sont assez introvertis et plus en difficulté scolairement, ce qui me vaut d'être assez courtisé sans faire d'énormes efforts, déjà 3 filles m'ont témoigné de l'intérêt en 4 mois de cours, ce qui je le reconnais est aussi grisant que déstabilisant tant c'est inhabituel pour moi.
Seulement voilà, je suis du genre à être en marge de la pression sociale mais autant le dire comme je le pense, 19 ans toujours puceau c'est long et quand ça se sait c'est pas évident à assumer publiquement. Ce qui me fait dire qu'il va falloir que je tente l'expérience avec l'une d'entre elles.
Actuellement je suis dans un dilemme
Dans ma classe majoritairement féminine comme je l'ai énoncé, je suis tombé sous le charme (c'est vraiment l'expression) d'une fille que j'avais pourtant ignoré jusque là mais a force de fréquenter tout les jours j'ai cru déceler des changements chez elle (ou théorie de l'enceinte close peut-être?), seulement je crois qu'elle est devenue distante, vu les vents polaires que je lui ai mis au début de l'année.
De l'autre coté j'ai tout au long de la semaine reçu des avances assez claires de la part d'une autre fille, du type elle passe son temps a se coller à moi en classe ou en dehors, elle engage tout le temps la conversation avec moi et veut toujours avoir des infos personnelles sur moi, rigole à TOUTES mes blagues même celles qui sont à chier, elle dit tout le temps que je suis un mec génial etc...BREF les signes d’intérêt sont gros comme un château de la Loire.
En bref je dois faire un choix entre les deux sachant que :
La première est un coup de cœur en terme de physique et je peux dire que c'est la première fille DROLE que je rencontre (pas de fake ni de misogynie , c'est ce que je constate)
La deuxième est la première fille avec qui je peux parler de sujets polémiques sans qu'elle se braque sur des ersatz de féminisme et droits-de-l'hommisme ou communautarisme primaire, bref c'est la saule avec qui j'ai ce qu'on pourrait nommer une connexion intellectuelle assez forte. Elle est physiquement sans plus mais loin d'être moche non plus
La première est réellement une fille qui me motive, elle travaille à côté de ses études pour être indépendante de ses parents, très fort caractère (aaah l'Algérie...), ce qui aussi génial qu'effrayant. Je pense que cette fille a pas mal de H. Le fait de penser au « niveau » qu'elle a – si l'on peut parler ainsi - me donne une véritable énergie pour élever le mien. Moi qui avait prétentieusement horreur du travail salarié j'ai complètement revu ma manière d'imaginer ma vie à court terme, j'essaye en ce moment de trouver un job à côté pour financer mes projets à défaut de pouvoir compter sur le CROUS.
Néanmoins elle est une vision des valeurs assez matérialiste et terre-à-terre qui s'éloigne beaucoup des miennes, ce qui limite quelque peu la profondeur de nos conversations. Ajouté au froid latent qu'il ya entre nous étant donné que je l'ai plus ou moins friendzonnée en début d'année.
La deuxième est une fille avec qui j'ai l'impression de pouvoir parler pendant des heures entières sans s'arrêter tant notre vision du monde est proche. Chose que j'aurai du mal à perdre si jamais je la met en friendzone et qu'elle se vexe, parce que hors de ma famille je n'ai jamais senti autant de connexion intellectuelle avec quelqu'un. Seulement je ne ressens pas spécialement d'attirance pour elle.
Ce qui transparaît de mes réflexions est que j'ai l'impression que la première est la fille que j'aimerais avoir si je parvenais à réellement changer en profondeur, une sorte de moi en mieux, sous entendant aussi que la relation pourrait ne pas fonctionner avec le « moi » actuel.
Au contraire la deuxième semble trouver de l’intérêt dans le coté intello cynique que je voulais enterrer parce que je le croyais inutile et asexué, créant chez moi la tentation de me complaire dans ce rôle qui m'est plus naturel que celui de pile Duracell de la classe.
Ça pose aussi quelque part la question : doit-on changer ou s'accepter tel qu'on est ?
Car je vois les gros efforts à faire pour devenir un autre homme qui pourrait plaire à des filles qui sont très différentes de moi et m'attirent, mais je réalise aussi que y'a cette part de moi en tant que type assez cérébral, un peu F aussi qui va rester au fond et que je pensais ridicule et a effacer mais qui semble plaire à certaines visiblement. Et je vous avoue que c'est terriblement usant de se changer radicalement au quotidien, d'autant plus qu'on essaye de le faire à vitesse grand V.
Plus simplement, dois-je continuer vers une fille qui me challenge en prenant le risque de me griller – car dans une classe de 14 personnes, qui voudra du mec qui s'est déjà fait recaler par l'une des filles ?
Si je prends le risque et que ça foire ça compromet grandement mes chances avec les autres filles de ma classe et mon emploi du temps limite trop mes sorties pour en rencontrer hors de mon cercle social pour l'instant.
Ou dois-je « m'autoriser » une forme de facilité en laissant la seconde fille venir à moi, me lançant dans une des fameuses relations par défaut tant décriées sur ce site, mais qui me permettrait quelque part d'avoir une première expérience sérieuse avec la gente féminine sans faire trop d'efforts ?
C'est un peu quitte ou double.
Bref vous avez compris il y a plusieurs questions :
Que dois-je faire vis à vis des deux demoiselles ?
Dois-je m'affranchir de ce choix en changeant complètement mon style de vie quitte à ce que ma scolarité en pâtisse un peu ?
Est-il possible de sortir avec une fille dont on a ignoré les avances pendant un moment ?
Est-il possible de se regarder dans la glace en sortant avec une fille qui ne nous plait moyennement juste par « nécessité » de se faire une expérience ?
Est-ce arrogant ou inconscient de s'imaginer avoir le choix entre deux jolies filles de 19 ans au XXIe siècle sachant leur hypothétique valeur sur le « marché » ?
Je sais que j'ai fait long mais c'est que j'en appelle à vos talents aiguisés de lecteurs pour déceler dans ma plume, mes expressions, ma vision de ma propre existence, les défauts qui vous sautent aux yeux.
Je pense qu'il y a beaucoup de non dits dans mon posts mais j'ai du mal à poser des mots dessus (par définition) donc peut-être arriverez vous à y voir clair en tant que regard extérieurs
Merci de votre lecture, sincèrement et bonne soirée/ journée à tous.