- Jeu Avr 25, 2013 10:54 pm
#133406
S'il y a bien un obstacle sur lequel tout homme se heurte lorsqu'il se met à chasser, c'est l'ego.
Mais si, laissez-moi vous le prouver
Qu'est-ce que vous redoutez le plus lorsque vous vous imaginez partir à l'abordage ?
- Ce n'est pas qu'elle vous égorge sur place, vous avez quand même le discernement pour aller vers des filles plus saines que ça
- Ce n'est pas qu'elle crie "au violeur", vous savez quand même vous y prendre sans passer pour un goujat !
Ce que vous redoutez le plus, c'est simplement qu'elle vous dise non. 3 lettres anodines en apparences, mais qui vous apparaissent tout de même lourde à entendre.
"Non", c'est le refus, le rejet de soi, de tout ce qu'on pouvait être fier d'être il y a encore 2 min : sa vie, ses projets, ses amis.
Non, de ces morceaux de vous, rien ne l'intéresse. Ça peut être dit avec le sourire mais c'est encore pire. Ce "non", c'est la remise en cause totale de ce que vous êtes.
Du moins c'est l'interprétation que vous en faites. Et cette interprétation, c'est l'ego qui vous la susurre à l'oreille.
Satanée chose que l'ego ! A quoi sert-il donc à part me pourrir la vie ? Et m'empêcher d'aller vers la belle inconnue ?
Cet ego, c'est aussi ce qui fait la force de votre personnalité, qui vous rend fier de vous, vous incite à réaliser des projets, vous pousse à vous dépasser.
Sans ego, nulle doute que l'Histoire ne serait pas ce qu'elle a été ! (pas de Bonaparte, pas de De Gaulle)
Cet ego, parce qu'il pousse à protéger et embellir cet estime de soi, est finalement un véritable émulateur... tout en étant un bloqueur.
Et vous, votre ego, le voyez-vous comme un allié ou un ennemi ?
Mais si, laissez-moi vous le prouver
Qu'est-ce que vous redoutez le plus lorsque vous vous imaginez partir à l'abordage ?
- Ce n'est pas qu'elle vous égorge sur place, vous avez quand même le discernement pour aller vers des filles plus saines que ça
- Ce n'est pas qu'elle crie "au violeur", vous savez quand même vous y prendre sans passer pour un goujat !
Ce que vous redoutez le plus, c'est simplement qu'elle vous dise non. 3 lettres anodines en apparences, mais qui vous apparaissent tout de même lourde à entendre.
"Non", c'est le refus, le rejet de soi, de tout ce qu'on pouvait être fier d'être il y a encore 2 min : sa vie, ses projets, ses amis.
Non, de ces morceaux de vous, rien ne l'intéresse. Ça peut être dit avec le sourire mais c'est encore pire. Ce "non", c'est la remise en cause totale de ce que vous êtes.
Du moins c'est l'interprétation que vous en faites. Et cette interprétation, c'est l'ego qui vous la susurre à l'oreille.
Satanée chose que l'ego ! A quoi sert-il donc à part me pourrir la vie ? Et m'empêcher d'aller vers la belle inconnue ?
Cet ego, c'est aussi ce qui fait la force de votre personnalité, qui vous rend fier de vous, vous incite à réaliser des projets, vous pousse à vous dépasser.
Sans ego, nulle doute que l'Histoire ne serait pas ce qu'elle a été ! (pas de Bonaparte, pas de De Gaulle)
Cet ego, parce qu'il pousse à protéger et embellir cet estime de soi, est finalement un véritable émulateur... tout en étant un bloqueur.
Et vous, votre ego, le voyez-vous comme un allié ou un ennemi ?
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.