Séduction & dynamiques sociales : articles, analyses et questions

Modérateurs: animal, Léo

By Cornville
#135147 ou la séduction sans émotions.

Bonjour à tous, je suis nouveau ici, comme le nombre de posts à mon compteur en témoigne. J'espère cependant que les quelques mots qui suivent parleront pour moi indépendamment de ma non-réputation ici.
Voilà les mots: :) (j'ai écris tout ça il y a quelques jours et je me suis inscrit pour le partager:)

Petite introduction avant de passer à l'essentiel, comme disait Jibril: 95% de théorie, 5% de pratique. Non! Plutôt l'inverse. 5% de théorie donc, avant de passer à l'essentiel. Ce guide s'adresse à moi, tout d'abord, mais aussi et surtout à tout ceux qui font face aux mêmes difficultés que celles que je rencontre, et qui souhaite que leurs relations aux femmes ne soient plus des difficultés justement, mais plus que des relations.

Je construis ce guide comme j'en ai besoin, en pariant sur le fait qu'il s'adaptera tout aussi bien à ceux qui, sur le plan de leurs relations avec les femmes, sont dans une posture similaire à la mienne.
"L'homme qui voulait aimer les femmes", voilà notre problème: nous n'aimons pas les femmes. Nous n'en sommes pas pleinement capable. Les désirer, oui! C'est sûrement ce qui nous amène par là même à désirer séduire. Tout ça pour quoi? Pour être heureux. Nous voudrions séduire pour être heureux, et combien sont tombés dans le panneau! Non, au contraire, il faut apprendre à ne plus désirer séduire, pour pouvoir échanger librement avec les femmes, comme avec n'importe quel être humain, simplement, et si possible avec un peu d'amour. Quand on séduit, on se place dans une position de séducteur, c'est-à-dire qu'on adopte une manière d'être INTERIEURE où l'on "cherche les angles", on cherche la faille à exploiter. Cette position ne marche pas bien, j'en ai un peu fais les frais. Et il y à de bonnes chances pour que nos succès soient imputables, non pas à cette attitude, mais en dépit d'elle. Qui voudrait être avec quelqu'un qui passe sont temps à essayer de "gagner du terrain", "de faire céder"? Un boxeur? A ce jeu on risque, et on attire des gens à qui ce jeu et la manière d'être dont il découle plaît. Des gens similaires, d'autres "joueurs", fûsse-t-il d'un autre sexe.

Alors on est pas heureux. Voilà la conclusion de 3 ans de séduction et de 15ans de malheur affectif.
Alors, quand avons-nous été heureux avec les femmes? Quelques bonnes soirées où l'ébriété nous à rendu notre capacité d'apprécier les gens, y compris les femmes? Quelques instants où tout semblait s'agencer parfaitement autour de nous? Comment retrouver ces instants où la joie du moment compte plus que l'avoir-potentiel qu'on essaye de dénicher chez l'autre?

Les anciens séducteurs savent bien que les femmes en elles-même n'ont pas le pouvoir de nous rendre heureux.
Par contre il est possible d'être heureux en étant avec des femmes, et de partager cette joie avec elle. Dans ces moments d'ailleurs ce n'est pas avec un sexe qu'on échange mais avec un être humain, qui se trouve être du sexe féminin. Voilà, bon, il se trouve que d'être en présence d'une femme, ça ouvre des perspectives de communications un peu plus large et... non, pas de blague vaseuse :) Mais dans ces moment de joie, qu'on parle à une femme, un homme, un riche, un pauvre, un si, un ça importe peu. Ce qui importe c'est la joie d'exister et la joie de pouvoir partager cette joie. Ca semble un peu enfantin, innocent et métaphysique? Ce sont les mots qui sont pauvres et plat pour décrire une expérience toute en relief (et puis ma capacité à écrire aussi).

Donc, ce guide n'a pas pour but de séduire les femmes, c'est-à-dire de conserver la manière d'être qui ne nous est pas bénéfique, ou pas assez. Cependant, ceux qui pensent ou qui en tirent un bénéfice certain ou présumé sont invités à nous suivre, ne serait-ce qui pour voir s'il n'existe pas une alternative plus joyeuse et attrayante que la séduction. D'ailleurs ça n'est pas vraiment une "alternative", je pense que tout ceux qui ont déjà abordé une inconnue dans la rue et où la conversation s'est terminée par un numéro de téléphone, tout ceux là ont déjà ressenti cette joie intérieure. Ce que je propose, et que je désire, c'est cette joie, mais sans souffrir du reste: souffrir de ne pas savoir gérer la peur d'y aller, ne pas savoir gérer la peur de ne pas savoir quoi dire et même ne pas savoir gérer la peur de l'intimité.

Voilà l'essence du problème: nous ne savons pas gérer nos émotions. Nous sommes bien tous d'accord. Voilà une belle femme qui passe et tous, nous les hommes, nous pouvons dire que l'idée d'aller l'aborder déclenche en nous certaines émotions. Souvent la peur prédomine. La différence principale alors qui nous saute aux yeux est que certains ont trop peur pour aborder et puis d'autre n'ont pas assez de peur qui se déclanche en eux pour les empêcher d'y aller.

Alors comment, oui, comment faire en sorte que cette peur diminue de sorte que nous ne soyons plus bloqués, non seulement lorsque nous voyons cette femme, mais aussi lorsque nous sommes avec une femme qui nous plaît, et dans toute situation où ces émotions qui nous déstabilisent risquent de faire leurs apparitions?

Je m'écris ce guide car "le sujet des femmes", avec tout ce qu'il englobe de relations sociale, vie de couple, sexe..."le sujet des femmes" est le principal blocage qu'il me reste dans ma vie. Je crois. J'ai été boulimique (le désir de manger), allergique, accrocs à la pornographie et j'en passe. J'ai dépassé toutes ces situations en apprenant à me débarrasser des émotions qui motivaient ces comportements, je suis donc à la fois mon propre étudiant, en ce qui concerne les femmes, et aussi un peu mon propre maître en ce qui concerne la libération de soi (on peut dire ça comme ça).

Voilà, la "petite" introduction touche à sa fin, nous avons passé en revue le superflus, reste l'essentiel: le processus par lequel se libérer de ces émotions. Voilà aussi mon plus gros problème: ne pas perdre mon lectorat imaginaire par la simplicité de ce processus. Dans un monde parfois perçu comme complexe la simplicité peut surprendre et, n'ayant pas de manière sûre de la comprendre, être ignorée. Voilà donc la solution: ne pas aborder le sujet intellectuellement, puisque tout ce que j'ai dit est sujet à débat, mais par l'expérience. (d'ailleurs tout ce que j'ai écris n'est qu'un point de vue, et je l'utilise pour essayer d'ouvrir les esprits à ce qui suit -> si ça n'a pas marché, pardonnez-moi, pardonnez-vous, réconcilions-nous, cher lecteur et lisez à froid l'essentiel:)

Ainsi, je vous invite à essayer cette technique, et pas à imaginer des raisons plausibles pour lesquelle elle pourrait fonctionner ou pas.

Nous avons l'habitude de gérer nos émotions de plusieurs façon: les réprimer, les fuire et les exprimer. Confirmez le par votre propre expérience, ou observez-vous aujourd'hui et constatez les manières par lesquelles vous gérez les émotions dont vous prenez conscience. D'ailleurs, ce sera votre premier exercice, celui du jour 0.

Number 1: Réprimer: c'est-à-dire, repousser l'émotion hors de conscience lorsqu'elle apparait; l'émotion fait surface, prise de conscience de l'émotion puis résistance au fait de la ressentir et repoussage hors de conscience.

Fuite: Divertir son attention de l'émotion ressentie, en sortant boire un verre, regardant la télé, faisant l'amour, prenant de la drogue, ou de n'importe qu'elle autre manière (fût-elle constructive ou destructive)

Expression: tout est dans le nom. Le plus souvent l'expression d'une émotion nous en soulage un peu, juste assez pour que le reste de l'iceberg puisse être réprimé (d'après certains psychiatres)

Ces 3 manières ne règlent pas le problème, elle l'enterre: ainsi vivons-nous par réflexe comme des autruches, cachant notre tête sous terre pour ne pas voire le monde de pression émotionnelle qui s'agite en nous.

Nous associons les émotions négative avec de la souffrance, ainsi l'utilisation de ces mécanismes est renforcée. Ce que j'ai réalisé par ma propre expérience c'est que les émotions négatives n'ont pas en elles-même le pouvoir de nous faire souffrir, c'est notre résistance à ces émotions qui créer une tension interieur qu'on appelle souffrance.

Le moyen de n'en plus souffrir, logiquement, est donc de n'y pas résister. C'est-à-dire d'accepter de ressentir ces émotions inconfortables sans y résister (donc sans en souffrir). J'ai remarqué que c'est quand ces émotions sont réprimées (tendance principale chez moi de les gérer) que j'en souffre le plus, quand je vis ma vie avec ces émotions en arrière plan, en tâche de fond. A partir du moment où j'accepte de les laisser vivre leur vie en moi, j'en ressent une gène, mais plus de souffrance. Au contraire: le soulagement de n'y plus resister, et le soulagement de m'en libérer. Ne me demandez pas pourquoi on s'en libère en acceptant d'y faire face. Faute d'y répondre, je vous invite dû moins à constater par vous-même la vérité du processus que je décris.

Donc voilà la technique: laisser l'émotion vivre sa vie en soi, l'observer en soi, accepter de la ressentir et garder son attention sur elle, jusqu'à ce qu'elle disparaisse, et que l'on se sente bien par rapport à la situation qui auparavant déclanchait cette ou ces émotions.

Vous pouvez oublier l'introduction de ce guide, vous pouvez tout oublier et ne retenir que cette "technique", cette manière de gérer vos émotions et l'essayer pour vous-même.

Pouh, courte introduction: mon oeil. Allez, finis la théorie, passons à la pratique.
By Cornville
#135148 PRATIQUE!

Vous n'avez plus besoin de moi, ni de rien puisque vous avez une méthode à tester. Vous en faites ce que vous voulez, mais ici vous trouverez des suggestions pour l'appliquer au "problème" qui n'en sera plus un, le problème des émotions que déclenchent en nous les femmes, et plus généralement les situations sociales.

Etape zéro: je vous conseil avant tout, pour comprendre de quoi cet outil s'agit, de le tester tranquillement chez vous. Premièrement parce que si je vous ai raconté n'importe quoi, vous ne perdrez pas votre temps à suivre des suggestions qui reposent entièrement sur une technique qui ne fonctionne pas. Deuxièmement parce que de pratiquer pendant, par exemple 15 minutes, va vous permettre de prendre le pli, et d'éxperimenter le processus de "lâcher-prise" comme disent nos amis spirituels (même si je ne crois pas qu'ils expliquent comment faire, vous voyez, moi oui :) )


Voilà, l'ETAPE 0: prenez quelques minutes 5, 10,15,20,25 ou 30 ou sans vous fixer de temps, c'est vous qui voyez, pour tester la technique. Voyez comment vous vous sentez avant et pendant que vous laissez vivre un sentiment, et après aussi. Vous pouvez vous appuyer sur une situation avec laquelle vous avez des difficultés ou simplement sur les émotions en vous en ce moment (il y en a toujours).

NOTE IMPORTANTE: si vous ne sentez rien, rappelez-vous que ne rien sentir, c'est bien sentir quelque chose. "Je ne sens rien" veut bien dire que vous ressentez un sentiment de "rien", d'ailleurs souvent ressenti par les dépressifs, que plus rien ne fait réagir. C'est donc un sentiment comme un autre. Après l'avoir observé, laissé courir, souvent une autre émotion prends sa place.

[Je vous conseil aussi de ne pas lire toutes les étapes à la fois, au risque d'être sur-chargé d'information et de tout envoyer balader sous le prétexte du "oh ça va son guide, c'est le bordel! C'est compliqué!". Je vous invite donc à lire 1 étape ou 2 à la fois, mais pas plus, et de pratiquer, d'essayer, malgré la tentation de tout lire d'un coup (au risque de vous assommer). Vous pouvez utiliser les séparations du "guide" en posts pour vous freiner dans votre élan.]

Voilà une séparation pour vous freiner d'ailleurs :)
By Cornville
#135149 PREMIERE ETAPE:

Etre à l'aise en milieu social. Les interactions peuvent déclencher en nous beaucoup d'émotions, alors
cette première étape consiste à appliquer notre outil dans un milieu social (i.e où il y a des
gens) sans interactions. Personnellement, ça suffit pleinement à déclancher beaucoup d'émotions,
pour peu que je les autorisent à faire surface. Même si cette étape vous semble superflue, essayez
de vous asseoir à un café, seul, dans une rue assez passante, et voyez ce qui se passe. Voyez ce
qui se passe en vous, aussi quand une femme passe, quand une jolie femme passe, quand quelqu'
un vous regarde, quand vous voulez demander l'addition au serveur ect. Faites-le au moins une
fois, ne serait-ce que pour constater ce qui se passe en vous.

Si vous trouvez cette première étape inutile, essayez d'observer les émotions en vous, peut-être que si vous sentez de la colère de la peur etc. elle n'est pas si inutile qu'il n'y paraît. :)
By Cornville
#135151 [color=#40FF40][size=150]DEUXIEME ETAPE[/size][/color]

2 cas me viennent à l'esprit:

-Vous n'avez PAS pratiqué la première étape. C'est-à-dire que vous n'avez pas pu sortir de chez
vous pour faire ce que je nous ai demandé (à vous comme à moi). 2 suggestions qui peuvent aller
de paire:

1) il y a des chances que vous soyez de nature très solitaire, donc utilisez la
technique pour laisser partir vos émotions lorsque vous êtes seuls. De ma propre expérience,
les émotions négatives que je ressentais était trop forte pour que je puisse sortir librement
de chez moi. J'ai donc utilisé mes propres limites et je suis parti d'où je suis: j'ai "lâché-prise"
pendant que j'étais seul et incapable de sortir. Ce jusqu'à pouvoir sortir.

2) utilisez un prétexte pour vous poser à un café. Par exemple vous avez DEJA rendez-vous et
vous arrivez 1 heure en avance (vraiment une heure) pour être seul au café en attendant vos amis,
collègue, rendez-vous, que sais-je. En partant de là, vous pouvez observer vos émotions. En bref:
arrivez très en avance et "surrenderez" (l'expression anglaise est "surrender" ou "let go" pour
le processus que j'ai décris).


-Vous avez suivi la première suggestion de ce guide. (au passage vous trouvez pas que ce guide
ressemble au "livre dont vous êtes le héros"? Chaque choix vous emmènera quelque part avec moi,
soyez en sûr :) )
Deux cas encore une fois:

1) vous n'avez RIEN ressenti, pas d'émotions négatives PAR RAPPORT
AU FAIT DE VOUS TROUVER LA, seul, quand une fille passait devant vous etc. Etes-vous sûr que
ce "rien" n'était par un "sentiment de rien, d'absence" plutôt qu'une liberté émotionnelle, une
liberté d'émotion, c'est-à-dire un sentiment au moins de satisfaction (ou de joie, ou de paix interieur? par exemple)
Si vous penchez vers le sentiment d'absence (ou d'apathie) retournez au café pour l'observer,
si elle ne disparaît pas continuez au deuxième cas 2) du la 2e étape (ce qui suit quoi!), si elle
disparaît, observez les autres émotions qui font surface puis revenez à ce guide et
passez aussi au deuxième cas aussi (ahah). Si vous n'avez ressenti que des émotions positives dans cette
situation, bravo, vous êtes suffisamment libre émotionnellement pour ne rien ressentir a priori dans
une situation sociale. Passez à l'étape suivante.

[gros pavé attention: lisez repposé, comme les aires d'autoroute, il faut faire une pause toute les 30 minutes :) ]

2) Vous avez ressenti des émotions. Voici la liste de ce que vous avez pu ressentir: honte, culpabilité, apathie, tristesse, peur, désir, colère, orgueil. Peu importe à la limite de quelle émotion il s'agit, l'essentiel est que des émotions négatives ce sont manifestées. Vous pouvez vous passer de labels, je vous y encourage d'ailleurs (inutile de savoir ce qu'on laisse s'exprimer en soi comme émotion négatives, du moment qu'on les laisse vivre pour s'en délivrer).
Gardez à l'esprit que notre objectif est de nous libérer de ces émotions pour être heureux dans des situations où ces émotions même nous empêche de ressentir de la joie ou ne serait-ce que du bien être. Peu importe donc où nous en sommes tant que nous progressons. Certaines personnes en sont peut-être à rester chez elle pour dépasser la peur, l'apathie et que sais-je qui les empêchent de sortir. Je vous conseille de vous placer du côté de l'humilité et de vous replacer, avec elle, dans cette même situation de l'étape 1.
Ce contexte peut être un café (bien pratique à Paris quand il donne sur la rue, surtout pendant les beaux jours pour les belles femmes qui passent) mais pas seulement. Je vous conseil de faire une habitude de cette étape, de l'utiliser comme prétexte à "surrenderer", jusqu'à ce que vous vous sentiez suffisamment libre. Le sentiment de libération prendra le pas sur le désir de progrès, du moins c'est le cas chez moi. Vous pouvez aussi lâcher-prise sur le désir de progresser dans vos relations avec les femmes pour être plus libre de suivre ces étapes à votre gré.
Placez-vous dans ce contexte social "à vide" (ça n'existe pas vraiment, mais vous voyez ce que je veux dire), placez-vous y peut-être 1 fois, 2 ou 3fois par semaine, comme vous voulez. Au bout d'un moment, ces émotions s'atténurons et vous passerez l'étape suivante. Il est d'ailleurs possible que vous sautiez carrément des étapes, la progression n'est pas linéaire et on ne sait jamais quelles situations nous confronte le plus à certaines émotions. Il se peut qu'à force de revenir à la première étape suggérée ici que vous vous sentiez assez libre pour envoyer ce guide balader et vivre votre vie sociale joyeusement. Chaque étape est complète en elle-même et suffit pour se liberer de l'ensemble des émotions négatives qui nous entrvent.
D'ailleurs, vous pouvez, dès que vous le souhaitez, penser à un contexte social et observer les émotions qui se manifestent en vous, les laisser vivre et, à traver ce souvenir, vous libérer d'émotions qui vous limite dans l'ensemble de votre vie sociale.

Nous touchons ici à un principe essentiel: il n'y à pas plusieurs peurs, il n'y a que la peur, un stock de peur si vous voulez, qui est déclenché par certaines situations. Il n'y a pas une peur par situation mais DES situations qui tappe dans UN stock de peur inconscient et pré-existant en vous, en nous. Voilà pourquoi chaque étape suffit en elle-même et pourquoi aucune n'est nécessaire, puisque la simple pratique de la technique de "lâché-prise" suffit en elle-même à nous libérer d'émotions négatives. Se mettre dans un contexte favorable à déclencher ces émotions n'est qu'une aide, finalement. Mais comme c'est bien pratique je vous invite à retourner à l'étape une et pratiquer la "technique" aussi souvent que vous le voulez. Quand vous vous sentez satisfait, assis au café ou sur le banc d'un square (sans rien faire bien sûr ou alors en faisant quelque chose TOUT EN ressentant les émotions qui passent en vous) alors vous pouvez soit continuer jusqu'à vous sentir encore mieux, soit passer à l'étape 3, soit continuer l'étape 1 et ajouter l'étape 3, soit juste l'étape 0, ou l'étape 0 et 3... faites sur-mesure.

[autre occasion de se freiner et pratiquer, pour les fondus de la lecture]
By Cornville
#135152 ENTRE-ACTE (ou la non-étape)

Je vous propose comme non-étape la pratique du lâcher-prise dans votre vie quotidienne, en tant
que style de vie. Faire du lâcher-prise un mode de vie. Je pense que si vous avez expérimenté
cette technique par vous-même et constaté des résultats (dans la manière dont vous vous sentiez en
le faisant ou dans votre manière d'être en général), l'idée d'en faire un style de vie doit vous
paraître plus prometteuse qu'étrange. En tout cas c'est mon cas!
2ème proposition: ne vous limitez pas à ce guide, qui n'est qu'un fil conducteur (ou limitez-vous
y d'ailleurs, si ça vous aide). Vous pouvez appliquer cet outil à toutes les situations, y compris
quand vous rencontrez l'amie d'une amie qui est jolie et déclanche certaines émotions en vous, ou
en toutes autres situation ou cette technique pourrait vous aider à vous libérer d'émotions négatives.

Clap clap clap, la suite: