- Dim Juin 23, 2013 2:00 pm
#135147
ou la séduction sans émotions.
Bonjour à tous, je suis nouveau ici, comme le nombre de posts à mon compteur en témoigne. J'espère cependant que les quelques mots qui suivent parleront pour moi indépendamment de ma non-réputation ici.
Voilà les mots: :) (j'ai écris tout ça il y a quelques jours et je me suis inscrit pour le partager:)
Petite introduction avant de passer à l'essentiel, comme disait Jibril: 95% de théorie, 5% de pratique. Non! Plutôt l'inverse. 5% de théorie donc, avant de passer à l'essentiel. Ce guide s'adresse à moi, tout d'abord, mais aussi et surtout à tout ceux qui font face aux mêmes difficultés que celles que je rencontre, et qui souhaite que leurs relations aux femmes ne soient plus des difficultés justement, mais plus que des relations.
Je construis ce guide comme j'en ai besoin, en pariant sur le fait qu'il s'adaptera tout aussi bien à ceux qui, sur le plan de leurs relations avec les femmes, sont dans une posture similaire à la mienne.
"L'homme qui voulait aimer les femmes", voilà notre problème: nous n'aimons pas les femmes. Nous n'en sommes pas pleinement capable. Les désirer, oui! C'est sûrement ce qui nous amène par là même à désirer séduire. Tout ça pour quoi? Pour être heureux. Nous voudrions séduire pour être heureux, et combien sont tombés dans le panneau! Non, au contraire, il faut apprendre à ne plus désirer séduire, pour pouvoir échanger librement avec les femmes, comme avec n'importe quel être humain, simplement, et si possible avec un peu d'amour. Quand on séduit, on se place dans une position de séducteur, c'est-à-dire qu'on adopte une manière d'être INTERIEURE où l'on "cherche les angles", on cherche la faille à exploiter. Cette position ne marche pas bien, j'en ai un peu fais les frais. Et il y à de bonnes chances pour que nos succès soient imputables, non pas à cette attitude, mais en dépit d'elle. Qui voudrait être avec quelqu'un qui passe sont temps à essayer de "gagner du terrain", "de faire céder"? Un boxeur? A ce jeu on risque, et on attire des gens à qui ce jeu et la manière d'être dont il découle plaît. Des gens similaires, d'autres "joueurs", fûsse-t-il d'un autre sexe.
Alors on est pas heureux. Voilà la conclusion de 3 ans de séduction et de 15ans de malheur affectif.
Alors, quand avons-nous été heureux avec les femmes? Quelques bonnes soirées où l'ébriété nous à rendu notre capacité d'apprécier les gens, y compris les femmes? Quelques instants où tout semblait s'agencer parfaitement autour de nous? Comment retrouver ces instants où la joie du moment compte plus que l'avoir-potentiel qu'on essaye de dénicher chez l'autre?
Les anciens séducteurs savent bien que les femmes en elles-même n'ont pas le pouvoir de nous rendre heureux.
Par contre il est possible d'être heureux en étant avec des femmes, et de partager cette joie avec elle. Dans ces moments d'ailleurs ce n'est pas avec un sexe qu'on échange mais avec un être humain, qui se trouve être du sexe féminin. Voilà, bon, il se trouve que d'être en présence d'une femme, ça ouvre des perspectives de communications un peu plus large et... non, pas de blague vaseuse :) Mais dans ces moment de joie, qu'on parle à une femme, un homme, un riche, un pauvre, un si, un ça importe peu. Ce qui importe c'est la joie d'exister et la joie de pouvoir partager cette joie. Ca semble un peu enfantin, innocent et métaphysique? Ce sont les mots qui sont pauvres et plat pour décrire une expérience toute en relief (et puis ma capacité à écrire aussi).
Donc, ce guide n'a pas pour but de séduire les femmes, c'est-à-dire de conserver la manière d'être qui ne nous est pas bénéfique, ou pas assez. Cependant, ceux qui pensent ou qui en tirent un bénéfice certain ou présumé sont invités à nous suivre, ne serait-ce qui pour voir s'il n'existe pas une alternative plus joyeuse et attrayante que la séduction. D'ailleurs ça n'est pas vraiment une "alternative", je pense que tout ceux qui ont déjà abordé une inconnue dans la rue et où la conversation s'est terminée par un numéro de téléphone, tout ceux là ont déjà ressenti cette joie intérieure. Ce que je propose, et que je désire, c'est cette joie, mais sans souffrir du reste: souffrir de ne pas savoir gérer la peur d'y aller, ne pas savoir gérer la peur de ne pas savoir quoi dire et même ne pas savoir gérer la peur de l'intimité.
Voilà l'essence du problème: nous ne savons pas gérer nos émotions. Nous sommes bien tous d'accord. Voilà une belle femme qui passe et tous, nous les hommes, nous pouvons dire que l'idée d'aller l'aborder déclenche en nous certaines émotions. Souvent la peur prédomine. La différence principale alors qui nous saute aux yeux est que certains ont trop peur pour aborder et puis d'autre n'ont pas assez de peur qui se déclanche en eux pour les empêcher d'y aller.
Alors comment, oui, comment faire en sorte que cette peur diminue de sorte que nous ne soyons plus bloqués, non seulement lorsque nous voyons cette femme, mais aussi lorsque nous sommes avec une femme qui nous plaît, et dans toute situation où ces émotions qui nous déstabilisent risquent de faire leurs apparitions?
Je m'écris ce guide car "le sujet des femmes", avec tout ce qu'il englobe de relations sociale, vie de couple, sexe..."le sujet des femmes" est le principal blocage qu'il me reste dans ma vie. Je crois. J'ai été boulimique (le désir de manger), allergique, accrocs à la pornographie et j'en passe. J'ai dépassé toutes ces situations en apprenant à me débarrasser des émotions qui motivaient ces comportements, je suis donc à la fois mon propre étudiant, en ce qui concerne les femmes, et aussi un peu mon propre maître en ce qui concerne la libération de soi (on peut dire ça comme ça).
Voilà, la "petite" introduction touche à sa fin, nous avons passé en revue le superflus, reste l'essentiel: le processus par lequel se libérer de ces émotions. Voilà aussi mon plus gros problème: ne pas perdre mon lectorat imaginaire par la simplicité de ce processus. Dans un monde parfois perçu comme complexe la simplicité peut surprendre et, n'ayant pas de manière sûre de la comprendre, être ignorée. Voilà donc la solution: ne pas aborder le sujet intellectuellement, puisque tout ce que j'ai dit est sujet à débat, mais par l'expérience. (d'ailleurs tout ce que j'ai écris n'est qu'un point de vue, et je l'utilise pour essayer d'ouvrir les esprits à ce qui suit -> si ça n'a pas marché, pardonnez-moi, pardonnez-vous, réconcilions-nous, cher lecteur et lisez à froid l'essentiel:)
Ainsi, je vous invite à essayer cette technique, et pas à imaginer des raisons plausibles pour lesquelle elle pourrait fonctionner ou pas.
Nous avons l'habitude de gérer nos émotions de plusieurs façon: les réprimer, les fuire et les exprimer. Confirmez le par votre propre expérience, ou observez-vous aujourd'hui et constatez les manières par lesquelles vous gérez les émotions dont vous prenez conscience. D'ailleurs, ce sera votre premier exercice, celui du jour 0.
Number 1: Réprimer: c'est-à-dire, repousser l'émotion hors de conscience lorsqu'elle apparait; l'émotion fait surface, prise de conscience de l'émotion puis résistance au fait de la ressentir et repoussage hors de conscience.
Fuite: Divertir son attention de l'émotion ressentie, en sortant boire un verre, regardant la télé, faisant l'amour, prenant de la drogue, ou de n'importe qu'elle autre manière (fût-elle constructive ou destructive)
Expression: tout est dans le nom. Le plus souvent l'expression d'une émotion nous en soulage un peu, juste assez pour que le reste de l'iceberg puisse être réprimé (d'après certains psychiatres)
Ces 3 manières ne règlent pas le problème, elle l'enterre: ainsi vivons-nous par réflexe comme des autruches, cachant notre tête sous terre pour ne pas voire le monde de pression émotionnelle qui s'agite en nous.
Nous associons les émotions négative avec de la souffrance, ainsi l'utilisation de ces mécanismes est renforcée. Ce que j'ai réalisé par ma propre expérience c'est que les émotions négatives n'ont pas en elles-même le pouvoir de nous faire souffrir, c'est notre résistance à ces émotions qui créer une tension interieur qu'on appelle souffrance.
Le moyen de n'en plus souffrir, logiquement, est donc de n'y pas résister. C'est-à-dire d'accepter de ressentir ces émotions inconfortables sans y résister (donc sans en souffrir). J'ai remarqué que c'est quand ces émotions sont réprimées (tendance principale chez moi de les gérer) que j'en souffre le plus, quand je vis ma vie avec ces émotions en arrière plan, en tâche de fond. A partir du moment où j'accepte de les laisser vivre leur vie en moi, j'en ressent une gène, mais plus de souffrance. Au contraire: le soulagement de n'y plus resister, et le soulagement de m'en libérer. Ne me demandez pas pourquoi on s'en libère en acceptant d'y faire face. Faute d'y répondre, je vous invite dû moins à constater par vous-même la vérité du processus que je décris.
Donc voilà la technique: laisser l'émotion vivre sa vie en soi, l'observer en soi, accepter de la ressentir et garder son attention sur elle, jusqu'à ce qu'elle disparaisse, et que l'on se sente bien par rapport à la situation qui auparavant déclanchait cette ou ces émotions.
Vous pouvez oublier l'introduction de ce guide, vous pouvez tout oublier et ne retenir que cette "technique", cette manière de gérer vos émotions et l'essayer pour vous-même.
Pouh, courte introduction: mon oeil. Allez, finis la théorie, passons à la pratique.
Bonjour à tous, je suis nouveau ici, comme le nombre de posts à mon compteur en témoigne. J'espère cependant que les quelques mots qui suivent parleront pour moi indépendamment de ma non-réputation ici.
Voilà les mots: :) (j'ai écris tout ça il y a quelques jours et je me suis inscrit pour le partager:)
Petite introduction avant de passer à l'essentiel, comme disait Jibril: 95% de théorie, 5% de pratique. Non! Plutôt l'inverse. 5% de théorie donc, avant de passer à l'essentiel. Ce guide s'adresse à moi, tout d'abord, mais aussi et surtout à tout ceux qui font face aux mêmes difficultés que celles que je rencontre, et qui souhaite que leurs relations aux femmes ne soient plus des difficultés justement, mais plus que des relations.
Je construis ce guide comme j'en ai besoin, en pariant sur le fait qu'il s'adaptera tout aussi bien à ceux qui, sur le plan de leurs relations avec les femmes, sont dans une posture similaire à la mienne.
"L'homme qui voulait aimer les femmes", voilà notre problème: nous n'aimons pas les femmes. Nous n'en sommes pas pleinement capable. Les désirer, oui! C'est sûrement ce qui nous amène par là même à désirer séduire. Tout ça pour quoi? Pour être heureux. Nous voudrions séduire pour être heureux, et combien sont tombés dans le panneau! Non, au contraire, il faut apprendre à ne plus désirer séduire, pour pouvoir échanger librement avec les femmes, comme avec n'importe quel être humain, simplement, et si possible avec un peu d'amour. Quand on séduit, on se place dans une position de séducteur, c'est-à-dire qu'on adopte une manière d'être INTERIEURE où l'on "cherche les angles", on cherche la faille à exploiter. Cette position ne marche pas bien, j'en ai un peu fais les frais. Et il y à de bonnes chances pour que nos succès soient imputables, non pas à cette attitude, mais en dépit d'elle. Qui voudrait être avec quelqu'un qui passe sont temps à essayer de "gagner du terrain", "de faire céder"? Un boxeur? A ce jeu on risque, et on attire des gens à qui ce jeu et la manière d'être dont il découle plaît. Des gens similaires, d'autres "joueurs", fûsse-t-il d'un autre sexe.
Alors on est pas heureux. Voilà la conclusion de 3 ans de séduction et de 15ans de malheur affectif.
Alors, quand avons-nous été heureux avec les femmes? Quelques bonnes soirées où l'ébriété nous à rendu notre capacité d'apprécier les gens, y compris les femmes? Quelques instants où tout semblait s'agencer parfaitement autour de nous? Comment retrouver ces instants où la joie du moment compte plus que l'avoir-potentiel qu'on essaye de dénicher chez l'autre?
Les anciens séducteurs savent bien que les femmes en elles-même n'ont pas le pouvoir de nous rendre heureux.
Par contre il est possible d'être heureux en étant avec des femmes, et de partager cette joie avec elle. Dans ces moments d'ailleurs ce n'est pas avec un sexe qu'on échange mais avec un être humain, qui se trouve être du sexe féminin. Voilà, bon, il se trouve que d'être en présence d'une femme, ça ouvre des perspectives de communications un peu plus large et... non, pas de blague vaseuse :) Mais dans ces moment de joie, qu'on parle à une femme, un homme, un riche, un pauvre, un si, un ça importe peu. Ce qui importe c'est la joie d'exister et la joie de pouvoir partager cette joie. Ca semble un peu enfantin, innocent et métaphysique? Ce sont les mots qui sont pauvres et plat pour décrire une expérience toute en relief (et puis ma capacité à écrire aussi).
Donc, ce guide n'a pas pour but de séduire les femmes, c'est-à-dire de conserver la manière d'être qui ne nous est pas bénéfique, ou pas assez. Cependant, ceux qui pensent ou qui en tirent un bénéfice certain ou présumé sont invités à nous suivre, ne serait-ce qui pour voir s'il n'existe pas une alternative plus joyeuse et attrayante que la séduction. D'ailleurs ça n'est pas vraiment une "alternative", je pense que tout ceux qui ont déjà abordé une inconnue dans la rue et où la conversation s'est terminée par un numéro de téléphone, tout ceux là ont déjà ressenti cette joie intérieure. Ce que je propose, et que je désire, c'est cette joie, mais sans souffrir du reste: souffrir de ne pas savoir gérer la peur d'y aller, ne pas savoir gérer la peur de ne pas savoir quoi dire et même ne pas savoir gérer la peur de l'intimité.
Voilà l'essence du problème: nous ne savons pas gérer nos émotions. Nous sommes bien tous d'accord. Voilà une belle femme qui passe et tous, nous les hommes, nous pouvons dire que l'idée d'aller l'aborder déclenche en nous certaines émotions. Souvent la peur prédomine. La différence principale alors qui nous saute aux yeux est que certains ont trop peur pour aborder et puis d'autre n'ont pas assez de peur qui se déclanche en eux pour les empêcher d'y aller.
Alors comment, oui, comment faire en sorte que cette peur diminue de sorte que nous ne soyons plus bloqués, non seulement lorsque nous voyons cette femme, mais aussi lorsque nous sommes avec une femme qui nous plaît, et dans toute situation où ces émotions qui nous déstabilisent risquent de faire leurs apparitions?
Je m'écris ce guide car "le sujet des femmes", avec tout ce qu'il englobe de relations sociale, vie de couple, sexe..."le sujet des femmes" est le principal blocage qu'il me reste dans ma vie. Je crois. J'ai été boulimique (le désir de manger), allergique, accrocs à la pornographie et j'en passe. J'ai dépassé toutes ces situations en apprenant à me débarrasser des émotions qui motivaient ces comportements, je suis donc à la fois mon propre étudiant, en ce qui concerne les femmes, et aussi un peu mon propre maître en ce qui concerne la libération de soi (on peut dire ça comme ça).
Voilà, la "petite" introduction touche à sa fin, nous avons passé en revue le superflus, reste l'essentiel: le processus par lequel se libérer de ces émotions. Voilà aussi mon plus gros problème: ne pas perdre mon lectorat imaginaire par la simplicité de ce processus. Dans un monde parfois perçu comme complexe la simplicité peut surprendre et, n'ayant pas de manière sûre de la comprendre, être ignorée. Voilà donc la solution: ne pas aborder le sujet intellectuellement, puisque tout ce que j'ai dit est sujet à débat, mais par l'expérience. (d'ailleurs tout ce que j'ai écris n'est qu'un point de vue, et je l'utilise pour essayer d'ouvrir les esprits à ce qui suit -> si ça n'a pas marché, pardonnez-moi, pardonnez-vous, réconcilions-nous, cher lecteur et lisez à froid l'essentiel:)
Ainsi, je vous invite à essayer cette technique, et pas à imaginer des raisons plausibles pour lesquelle elle pourrait fonctionner ou pas.
Nous avons l'habitude de gérer nos émotions de plusieurs façon: les réprimer, les fuire et les exprimer. Confirmez le par votre propre expérience, ou observez-vous aujourd'hui et constatez les manières par lesquelles vous gérez les émotions dont vous prenez conscience. D'ailleurs, ce sera votre premier exercice, celui du jour 0.
Number 1: Réprimer: c'est-à-dire, repousser l'émotion hors de conscience lorsqu'elle apparait; l'émotion fait surface, prise de conscience de l'émotion puis résistance au fait de la ressentir et repoussage hors de conscience.
Fuite: Divertir son attention de l'émotion ressentie, en sortant boire un verre, regardant la télé, faisant l'amour, prenant de la drogue, ou de n'importe qu'elle autre manière (fût-elle constructive ou destructive)
Expression: tout est dans le nom. Le plus souvent l'expression d'une émotion nous en soulage un peu, juste assez pour que le reste de l'iceberg puisse être réprimé (d'après certains psychiatres)
Ces 3 manières ne règlent pas le problème, elle l'enterre: ainsi vivons-nous par réflexe comme des autruches, cachant notre tête sous terre pour ne pas voire le monde de pression émotionnelle qui s'agite en nous.
Nous associons les émotions négative avec de la souffrance, ainsi l'utilisation de ces mécanismes est renforcée. Ce que j'ai réalisé par ma propre expérience c'est que les émotions négatives n'ont pas en elles-même le pouvoir de nous faire souffrir, c'est notre résistance à ces émotions qui créer une tension interieur qu'on appelle souffrance.
Le moyen de n'en plus souffrir, logiquement, est donc de n'y pas résister. C'est-à-dire d'accepter de ressentir ces émotions inconfortables sans y résister (donc sans en souffrir). J'ai remarqué que c'est quand ces émotions sont réprimées (tendance principale chez moi de les gérer) que j'en souffre le plus, quand je vis ma vie avec ces émotions en arrière plan, en tâche de fond. A partir du moment où j'accepte de les laisser vivre leur vie en moi, j'en ressent une gène, mais plus de souffrance. Au contraire: le soulagement de n'y plus resister, et le soulagement de m'en libérer. Ne me demandez pas pourquoi on s'en libère en acceptant d'y faire face. Faute d'y répondre, je vous invite dû moins à constater par vous-même la vérité du processus que je décris.
Donc voilà la technique: laisser l'émotion vivre sa vie en soi, l'observer en soi, accepter de la ressentir et garder son attention sur elle, jusqu'à ce qu'elle disparaisse, et que l'on se sente bien par rapport à la situation qui auparavant déclanchait cette ou ces émotions.
Vous pouvez oublier l'introduction de ce guide, vous pouvez tout oublier et ne retenir que cette "technique", cette manière de gérer vos émotions et l'essayer pour vous-même.
Pouh, courte introduction: mon oeil. Allez, finis la théorie, passons à la pratique.