- Lun Fév 14, 2011 3:20 pm
#105558
J'en viens à me poser cette question à cause d'une fille que j'ai rencontrée récemment, c'est pourquoi je poste dans la rubrique Aide personnalisée, même s'il est possible que cette question fasse l'objet d'une théorie plus générale. J'imagine d'avance qu'il n'y a pas de réponse catégorique, néanmoins je sollicite vos avis.
Pardonnez l'utilisation de gros clichés que je vais faire, mais cela m'évitera de m'étendre trop et de rendre la lecture fastidieuse. Je fréquente quatre filles en ce moment, mais une retient particulièrement mon attention, Audrey.
Marie : de bonne famille, est en quatrième année de médecine avec moi et me tournait autour depuis un moment jusqu'à ce que je jette mon dévolu sur elle à une soirée il y a peu. On m'a dit aujourd'hui que j'avais de la chance de sortir avec une des plus jolies filles de la promo. Elle m'attire physiquement mais je la trouve nunuche et je sens la pression sociale autour qui voudrait nous faire "jouer le couple idéal".
Cécile : rencontrée à un défilé, mannequin, un peu perdue dans sa tête, elle ne m'intéresse que pour le sexe, voudrait sûrement plus mais je ne me vois pas avec une fille instable.
Juliette : en école de commerce, une amie de longue date me l'a présentée de façon assez équivoque. Je sens ici aussi qu'elle veut me "mettre le grappin dessus". Elle a 23 ans et va bientôt finir son école de communication, il ne fait aucun doute qu'elle aura un travail au piston d'ici un an et demi. Elle m'a ajouté sur facebook directement après la présentation. Dans la tête des filles dans son genre, c'est le moment où trouver un garçon avec une éducation et un patrimoine correct avec qui se caser pendant un moment pour que ses parents lui foutent la paix. Au secours.
Audrey : la jolie étudiante en lettres qui galère financièrement. Je l'ai rencontrée dans une boite de nuit gay, où j'accompagnais un ami qui avait besoin de satisfaire ses pulsions. J'ai senti son regard, je suis allé lui parler, finalement nous nous sommes embrassés. Elle a voulut me donner son numéro, je lui ai dit que c'était inutile, je ne rappelai que rarement les filles rencontrées en boite. Elle a insisté, je l'ai finalement pris. Je lui ai donné rendez vous dans un bar à vin près de chez moi. Elle m'a expliqué qu'elle avait fait un trajet assez long pour venir, elle habite en cité-u à côté de sa fac de Lettres. A un moment je lui ai demandé ce qu'elle faisait pendant ses vacances ; elle travaille comme caissière pour payer ses études. Plus tard je suis allé la voir à la cité-u, c'était la première fois que j'y allais. J'ai été choqué par l'exigüité et la précarité des chambres, sans parler des toilettes et douches communes dans le couloir.
Je ne l'ai pas encore faite venir dans mon appartement en centre ville, mais j'appréhende : ma seule chambre d'ami est plus grande que sa chambre en cité-u. J'ai totalement conscience d'être privilégié pour un étudiant, mais d'habitude cela ne me pose aucun problème, mes amis et les filles que je fréquente le sont aussi.
En fait l'appréhension vis à vis de l'appartement, s'étend à d'autres choses dès que je me projette dans une relation longue. Quelle va être sa réaction quand elle va voir que j'ai une belle voiture ? Elle m'a demandé aussi ou je passais mes vacances, j'ai répondu rapidement "à la mer" et changé de sujet. Pourrais-je partir à Saint-Tropez, Biarritz et Deauville comme tous les étés alors qu'elle est caissière au supermarché ? Devrais-je alors l'emmener et assurer non seulement ses vacances mais son manque à gagner ? Elle risque de vouloir emménager chez moi trop rapidement pour fuir sa cité universitaire.
Face à cela, je suis attiré par sa candeur, sa simplicité et sa culture. C'est pourquoi j'envisage de construire petit à petit une relation longue.
Je me pose ces questions, j'ai d'autres relations en même temps avec des filles à papa, où ces problèmes ne se posent pas, que je devrais arrêter si je souhaite construire une relation longue avec elle.
Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et j'espère que vos expériences personnelles pourront m'éclairer dans ma décision de m'engager ou de couper court et en rester aux bourgeoises.
Pardonnez l'utilisation de gros clichés que je vais faire, mais cela m'évitera de m'étendre trop et de rendre la lecture fastidieuse. Je fréquente quatre filles en ce moment, mais une retient particulièrement mon attention, Audrey.
Marie : de bonne famille, est en quatrième année de médecine avec moi et me tournait autour depuis un moment jusqu'à ce que je jette mon dévolu sur elle à une soirée il y a peu. On m'a dit aujourd'hui que j'avais de la chance de sortir avec une des plus jolies filles de la promo. Elle m'attire physiquement mais je la trouve nunuche et je sens la pression sociale autour qui voudrait nous faire "jouer le couple idéal".
Cécile : rencontrée à un défilé, mannequin, un peu perdue dans sa tête, elle ne m'intéresse que pour le sexe, voudrait sûrement plus mais je ne me vois pas avec une fille instable.
Juliette : en école de commerce, une amie de longue date me l'a présentée de façon assez équivoque. Je sens ici aussi qu'elle veut me "mettre le grappin dessus". Elle a 23 ans et va bientôt finir son école de communication, il ne fait aucun doute qu'elle aura un travail au piston d'ici un an et demi. Elle m'a ajouté sur facebook directement après la présentation. Dans la tête des filles dans son genre, c'est le moment où trouver un garçon avec une éducation et un patrimoine correct avec qui se caser pendant un moment pour que ses parents lui foutent la paix. Au secours.
Audrey : la jolie étudiante en lettres qui galère financièrement. Je l'ai rencontrée dans une boite de nuit gay, où j'accompagnais un ami qui avait besoin de satisfaire ses pulsions. J'ai senti son regard, je suis allé lui parler, finalement nous nous sommes embrassés. Elle a voulut me donner son numéro, je lui ai dit que c'était inutile, je ne rappelai que rarement les filles rencontrées en boite. Elle a insisté, je l'ai finalement pris. Je lui ai donné rendez vous dans un bar à vin près de chez moi. Elle m'a expliqué qu'elle avait fait un trajet assez long pour venir, elle habite en cité-u à côté de sa fac de Lettres. A un moment je lui ai demandé ce qu'elle faisait pendant ses vacances ; elle travaille comme caissière pour payer ses études. Plus tard je suis allé la voir à la cité-u, c'était la première fois que j'y allais. J'ai été choqué par l'exigüité et la précarité des chambres, sans parler des toilettes et douches communes dans le couloir.
Je ne l'ai pas encore faite venir dans mon appartement en centre ville, mais j'appréhende : ma seule chambre d'ami est plus grande que sa chambre en cité-u. J'ai totalement conscience d'être privilégié pour un étudiant, mais d'habitude cela ne me pose aucun problème, mes amis et les filles que je fréquente le sont aussi.
En fait l'appréhension vis à vis de l'appartement, s'étend à d'autres choses dès que je me projette dans une relation longue. Quelle va être sa réaction quand elle va voir que j'ai une belle voiture ? Elle m'a demandé aussi ou je passais mes vacances, j'ai répondu rapidement "à la mer" et changé de sujet. Pourrais-je partir à Saint-Tropez, Biarritz et Deauville comme tous les étés alors qu'elle est caissière au supermarché ? Devrais-je alors l'emmener et assurer non seulement ses vacances mais son manque à gagner ? Elle risque de vouloir emménager chez moi trop rapidement pour fuir sa cité universitaire.
Face à cela, je suis attiré par sa candeur, sa simplicité et sa culture. C'est pourquoi j'envisage de construire petit à petit une relation longue.
Je me pose ces questions, j'ai d'autres relations en même temps avec des filles à papa, où ces problèmes ne se posent pas, que je devrais arrêter si je souhaite construire une relation longue avec elle.
Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et j'espère que vos expériences personnelles pourront m'éclairer dans ma décision de m'engager ou de couper court et en rester aux bourgeoises.
"J'ai jamais rêvé d'être un autre." Easy Rider