- Sam Mar 06, 2010 12:52 pm
#91312
C'etait la semaine derniere. Avec deux amis, nous nous installons en bibliotheque et...je la vois: petite, brune, avec des lunettes epaisses et un pull Zadig & Voltaire qui laissait delicatement entrevoir la bretelle de son soutien-gorge.
Nous nous sommes assis assez loin d'elle, et apres 30 minutes, suite a une vanne (plutot drole, en fait !) a mon egard, je me suis leve, feignant l'enervement et me suis assis a cote d'elle.
Elle avait des boules Quies avec un smiley sur chacune d'entre elles. C'est donc le plus naturellement du monde (...) que je m'en suis dessine un sur l'avant bras et lui ait dit :
M. "Excuse-moi... Toi aussi tu fais partie de la secte des smileys ?"
E. Toute genee, et avec un sourire qu'elle ne quittera plus : "non, mais j'aimerais bien en faire partie !"
M. "Ah, si tu veux, mais cette societe secrete a des frais d'inscription de 500 euros !"
E. "Non, non, c'est pas grave !"
M. "Nous recrutons des personnes entre 10 et 60 ans, j'espere que tu es dans cette categorie !"
(tape sur l'avant-bras)
M. "Et sinon, qu'est-ce que tu fais ici au lieu de sauter et courir dans un parc, jeune fille ?"
E. "Je suis en fac d'ostheopatie, et j'ai bientot un concours"
M. "Parfait ! Alors, si tu veux toujours t'inscrire, tu auras le droit de me faire un massage !"
S'en suivit un badinage au cours duquel, je decouvris qu'elle savait dans quelle prepa j'etais et que son meilleur ami etait dans ma classe. Me rendant compte que la conversation n'etait plus sexuee (la normalite c'est bien; trop de normalite, c'est chiant), je lui ait montre mon bras, et
M. "Je trouve que mon smiley est vraiment bien fait... Tu pourrais en faire d'aussi beaux ? Essaie sur moi ! "
Apres quelques minutes a se dessiner partout, je lui explique que je doit retourner travailler... Et lui demande son numero de facon tres naturelle.
Pas de refus, elle dechire une de ses feuilles, me l'ecrit, dessine un ":)" et me dit
E. "Appelle moi pour les formalites du dossier. "
Je me leve, prend mes affaires, et retourne m'asseoir avec mes amis, qui n'y comprenaient rien.
Apres reflexion, je me dis que le sujet d'une secte est assez casse-gueule pour que je ne recommence plus !
Nous nous sommes assis assez loin d'elle, et apres 30 minutes, suite a une vanne (plutot drole, en fait !) a mon egard, je me suis leve, feignant l'enervement et me suis assis a cote d'elle.
Elle avait des boules Quies avec un smiley sur chacune d'entre elles. C'est donc le plus naturellement du monde (...) que je m'en suis dessine un sur l'avant bras et lui ait dit :
M. "Excuse-moi... Toi aussi tu fais partie de la secte des smileys ?"
E. Toute genee, et avec un sourire qu'elle ne quittera plus : "non, mais j'aimerais bien en faire partie !"
M. "Ah, si tu veux, mais cette societe secrete a des frais d'inscription de 500 euros !"
E. "Non, non, c'est pas grave !"
M. "Nous recrutons des personnes entre 10 et 60 ans, j'espere que tu es dans cette categorie !"
(tape sur l'avant-bras)
M. "Et sinon, qu'est-ce que tu fais ici au lieu de sauter et courir dans un parc, jeune fille ?"
E. "Je suis en fac d'ostheopatie, et j'ai bientot un concours"
M. "Parfait ! Alors, si tu veux toujours t'inscrire, tu auras le droit de me faire un massage !"
S'en suivit un badinage au cours duquel, je decouvris qu'elle savait dans quelle prepa j'etais et que son meilleur ami etait dans ma classe. Me rendant compte que la conversation n'etait plus sexuee (la normalite c'est bien; trop de normalite, c'est chiant), je lui ait montre mon bras, et
M. "Je trouve que mon smiley est vraiment bien fait... Tu pourrais en faire d'aussi beaux ? Essaie sur moi ! "
Apres quelques minutes a se dessiner partout, je lui explique que je doit retourner travailler... Et lui demande son numero de facon tres naturelle.
Pas de refus, elle dechire une de ses feuilles, me l'ecrit, dessine un ":)" et me dit
E. "Appelle moi pour les formalites du dossier. "
Je me leve, prend mes affaires, et retourne m'asseoir avec mes amis, qui n'y comprenaient rien.
Apres reflexion, je me dis que le sujet d'une secte est assez casse-gueule pour que je ne recommence plus !