- Jeu Aoû 07, 2008 3:32 pm
#55542
Ce que vous voulez, vous l'aurez. Il suffit d'en faire le nécessaire.
[size=150]Partie 1 : Avant la rencontre[/size]
Cette fille, appelons-la O. O est d'un naturel comme peu de gens de cet âge en ont, et est d'une beauté remarquable.
Depuis quelques temps dans mon lycée je l'avais remarquée, mais je n'ai eu ni le temps ni vraiment l'occasion de l'abordée. Enfin, si, j'aurai surement eu l'occasion de l'abordée, mais il me manquait cette chose que l'on appelle communément des ... enfin vous voyez.
Bref, elle me plaisait, et l'envie de la rencontrée prennait le dessus sur cette fichue timidité.
[size=150]Partie 2 : Le soir de la rencontre[/size]
J'étais enfin à une soirée avec elle, quasiment 1 mois après que je l'ai remarquée. Les préjugés que je m'étais fais sur elle étaient avérés, à mon grand bonheur.
Il ne fallait en aucun cas que je "loupe mon coup", ce que j'avais déjà fait auparavant.
Après 1 heure, des discussions avec la majorité des gens de la soirée, et quelques regards jetés sur elle, je la voyais cherchant le contact.
Le dialogue s'instaura à la suite petit à petit. Le courant passait de mieux en mieux.
Quelques instants après elle dit :
[quote]O : Viens, écartons nous un peu du groupe, allons faire un tour
M : Très bien, j'arrive dans 1 minute
Je suis allé la rejoindre quelques secondes plus tard, le temps de vérifer discrètement que mon haleine ne décolait pas de papier peint.
Nous discutions, le contact tactile se faisait mutuellement, et de plus en plus.
Je réflechissais au moment où l'embrasser serait le mieux venu, et plus j'attendais plus cela me bloquait.
Sans que j'ai fais quoique ce soit, elle me prit la main et m'embrassa.
Ce baiser eut le don de me rendre heureux pour le restant de la soirée.
Non pas le baiser en lui meme m'avait rendu heureux, mais plutot la manière dont cela est arrivé.
Bis repetita, ça recommença deux ou trois fois quelques minutes plus tard, et après dans la soirée.
Comme quoi, pour en revenir à la phrase du haut de ce FR, ce qu'on veut, que l'on soit timide à en être maladif ou bien autre chose, on peut l'avoir, il suffit d'en faire le necessaire.
[size=150]Partie 1 : Avant la rencontre[/size]
Cette fille, appelons-la O. O est d'un naturel comme peu de gens de cet âge en ont, et est d'une beauté remarquable.
Depuis quelques temps dans mon lycée je l'avais remarquée, mais je n'ai eu ni le temps ni vraiment l'occasion de l'abordée. Enfin, si, j'aurai surement eu l'occasion de l'abordée, mais il me manquait cette chose que l'on appelle communément des ... enfin vous voyez.
Bref, elle me plaisait, et l'envie de la rencontrée prennait le dessus sur cette fichue timidité.
[size=150]Partie 2 : Le soir de la rencontre[/size]
J'étais enfin à une soirée avec elle, quasiment 1 mois après que je l'ai remarquée. Les préjugés que je m'étais fais sur elle étaient avérés, à mon grand bonheur.
Il ne fallait en aucun cas que je "loupe mon coup", ce que j'avais déjà fait auparavant.
Après 1 heure, des discussions avec la majorité des gens de la soirée, et quelques regards jetés sur elle, je la voyais cherchant le contact.
Le dialogue s'instaura à la suite petit à petit. Le courant passait de mieux en mieux.
Quelques instants après elle dit :
[quote]O : Viens, écartons nous un peu du groupe, allons faire un tour
M : Très bien, j'arrive dans 1 minute
Je suis allé la rejoindre quelques secondes plus tard, le temps de vérifer discrètement que mon haleine ne décolait pas de papier peint.
Nous discutions, le contact tactile se faisait mutuellement, et de plus en plus.
Je réflechissais au moment où l'embrasser serait le mieux venu, et plus j'attendais plus cela me bloquait.
Sans que j'ai fais quoique ce soit, elle me prit la main et m'embrassa.
Ce baiser eut le don de me rendre heureux pour le restant de la soirée.
Non pas le baiser en lui meme m'avait rendu heureux, mais plutot la manière dont cela est arrivé.
Bis repetita, ça recommença deux ou trois fois quelques minutes plus tard, et après dans la soirée.
Comme quoi, pour en revenir à la phrase du haut de ce FR, ce qu'on veut, que l'on soit timide à en être maladif ou bien autre chose, on peut l'avoir, il suffit d'en faire le necessaire.