- Mar Nov 13, 2012 1:33 pm
#128436
Bonjour à tous ;
J'ai bien conscience que les questions ou constats développés ici trouveraient beaucoup de réponses (je suppose) dans le séminaire "l'amant idéal", que je compte donc m'offrir pour noël.
Qu'on me pardonne donc si cela rentre trop dans ce cadre, et interdit donc le débat faute de devoir spolier Stéphane de son travail. Aux modérateurs/administrateurs de juger ce qu'il en est.
L'idée générale :
En matière de sexe, et sans tomber dans la question de la performance physique qui ne m'intéresse pas et n'a pas sa place ici, il me semble avoir remarqué que les plaisirs coupables, volés, les amants d'un soir ou les histoires en clair-obscur (c'était le mari de ma meilleure amie...) sont celles qui laissent le plus de marques aux femmes que j'ai croisées dans ma vie.
Comme si l'interdit était finalement le marqueur absolu de jouissance, et donc par la même celui qui reste dans leur mémoire le plus longtemps possible, quelles que soit les performances de leurs relations "stables".
Avouez que c'est chiant, quand même. Vous arrivez à un âge ou vous commencer à maîtriser la chose au lit, vous aimez donner du plaisir - et qu'on vous en donne -, vous êtes gourmand et curieux,mais il y a toujours ce mec la, celui qu'elle a croisé dans l'escalier, un soir, désoeuvrée, celui qui l'a prise contre la table de la cuisine. Ca n'a pas été forcément long, il n'a pas forcément les attributs de Rocco Siffredi. Mais vous voyez à ces yeux et à son ton, quand elle en parle, que ça lui restera toute sa vie.
J'ai été, personnellement, dans les deux cas. Des filles que je n'avais croisées qu'une fois, ou des femmes dont j'ai été l'amant caché, me relançaient encore parfois plusieurs mois, voire plusieurs années après nos ébats, dans lesquels j'était d'ailleurs loin d'être l'homme que je suis aujourd'hui.
A contrario, nombre de relations stables dans lesquelles j'étais engagé, lorsqu'il nous arrivait de parler sexe, donnaient tous les signes (sous-jacent, bien sûr. C'était comment avec machin ? oh ça n'a rien a voir chéri tu sais) de cette attraction irrémédiable obtenue par la bravade de l'interdit un soir de pleine de lune.
Cette constatation s'est faite, pour moi, en parallèle avec celle, peut être dégueulasse et machiste, que nombre des femmes qui j'ai fréquentées trouvaient un sens orgasmique/émotionnel/oedipien/tout ce que vous voulez à une certaine forme de "domination" sexuelle. Quand bien même je n'étais, dans mes jeunes années, absolument pas dans cette optique là, Cette expérience m'a frappé. Je me suis demandé si les deux étaient lié. Si les histoires interdites, coupables, ou l'on peut se sentir sale, dégradé, et qui semblent être des souvenirs incroyables pour ces dames, n'étaient pas celle qui permettaient le plus de domination, sur le plan psychologique à tout le moins.
A moi et à ma morale chrétienne de jeune étudiant, à l'époque, propre sur lui et à qui l'idée d'avoir un mot plus haut que l'autre au lit aurait fait rougir les oreilles, le coup fut rude
Maintenant, c'est l'occasion d'un débat que j'espère pas trop glissant, sur le sujet.
Quels sont vos avis sur la question ? Ressentez-vous la même chose que moi ? Comment avez-vous géré (sans détails, pitié) vos relations stables, sur ce plan là, vous êtes vous déjà glissés dans la peau de l'homme sale, du coupable qui pourrait les envoyer au septième ciel en leur touchant le bras de l'index ?
Ou bien mes propos vous semblent-ils outrageant et dégradant et maintenant tais-toi ?
A vos copies, vous avez trois heures
J'ai bien conscience que les questions ou constats développés ici trouveraient beaucoup de réponses (je suppose) dans le séminaire "l'amant idéal", que je compte donc m'offrir pour noël.
Qu'on me pardonne donc si cela rentre trop dans ce cadre, et interdit donc le débat faute de devoir spolier Stéphane de son travail. Aux modérateurs/administrateurs de juger ce qu'il en est.
L'idée générale :
En matière de sexe, et sans tomber dans la question de la performance physique qui ne m'intéresse pas et n'a pas sa place ici, il me semble avoir remarqué que les plaisirs coupables, volés, les amants d'un soir ou les histoires en clair-obscur (c'était le mari de ma meilleure amie...) sont celles qui laissent le plus de marques aux femmes que j'ai croisées dans ma vie.
Comme si l'interdit était finalement le marqueur absolu de jouissance, et donc par la même celui qui reste dans leur mémoire le plus longtemps possible, quelles que soit les performances de leurs relations "stables".
Avouez que c'est chiant, quand même. Vous arrivez à un âge ou vous commencer à maîtriser la chose au lit, vous aimez donner du plaisir - et qu'on vous en donne -, vous êtes gourmand et curieux,mais il y a toujours ce mec la, celui qu'elle a croisé dans l'escalier, un soir, désoeuvrée, celui qui l'a prise contre la table de la cuisine. Ca n'a pas été forcément long, il n'a pas forcément les attributs de Rocco Siffredi. Mais vous voyez à ces yeux et à son ton, quand elle en parle, que ça lui restera toute sa vie.
J'ai été, personnellement, dans les deux cas. Des filles que je n'avais croisées qu'une fois, ou des femmes dont j'ai été l'amant caché, me relançaient encore parfois plusieurs mois, voire plusieurs années après nos ébats, dans lesquels j'était d'ailleurs loin d'être l'homme que je suis aujourd'hui.
A contrario, nombre de relations stables dans lesquelles j'étais engagé, lorsqu'il nous arrivait de parler sexe, donnaient tous les signes (sous-jacent, bien sûr. C'était comment avec machin ? oh ça n'a rien a voir chéri tu sais) de cette attraction irrémédiable obtenue par la bravade de l'interdit un soir de pleine de lune.
Cette constatation s'est faite, pour moi, en parallèle avec celle, peut être dégueulasse et machiste, que nombre des femmes qui j'ai fréquentées trouvaient un sens orgasmique/émotionnel/oedipien/tout ce que vous voulez à une certaine forme de "domination" sexuelle. Quand bien même je n'étais, dans mes jeunes années, absolument pas dans cette optique là, Cette expérience m'a frappé. Je me suis demandé si les deux étaient lié. Si les histoires interdites, coupables, ou l'on peut se sentir sale, dégradé, et qui semblent être des souvenirs incroyables pour ces dames, n'étaient pas celle qui permettaient le plus de domination, sur le plan psychologique à tout le moins.
A moi et à ma morale chrétienne de jeune étudiant, à l'époque, propre sur lui et à qui l'idée d'avoir un mot plus haut que l'autre au lit aurait fait rougir les oreilles, le coup fut rude
Maintenant, c'est l'occasion d'un débat que j'espère pas trop glissant, sur le sujet.
Quels sont vos avis sur la question ? Ressentez-vous la même chose que moi ? Comment avez-vous géré (sans détails, pitié) vos relations stables, sur ce plan là, vous êtes vous déjà glissés dans la peau de l'homme sale, du coupable qui pourrait les envoyer au septième ciel en leur touchant le bras de l'index ?
Ou bien mes propos vous semblent-ils outrageant et dégradant et maintenant tais-toi ?
A vos copies, vous avez trois heures