- Ven Déc 16, 2016 11:07 am
#180898
Salut les gars. Il y un bail que je n’ai pas posté sur le forum, et je reviens pour une aide perso ; je me sens un peu comme un crevard du coup, mais je sais que vos cœurs d’or trouveront la force de me pardonner (bon, sauf Coug…)
Je vais tenter d’être factuel, et bâtir mon message en deux parties afin qu’il soit plus digeste.
Partie I
Moi, 34 ans, habite à Paris, exerce une profession semi-artistique qui me met en relation avec beaucoup de monde, notamment des jolies filles, et ça se voit sur les réseaux sociaux (ça pourra avoir son importance plus tard.)
Elle, Mia, 24 ans, étudiante Erasmus à Toulouse. Née en Pologne, ses parents immigrent en Allemagne alors qu’elle n’a que 6 ans. Plus prolos que CSP+, ils lui transmettent des valeurs de rigueur, de travail, sont assez (trop) perfectionnistes. Entre ça et les quolibets des petits allemands qui se moquent d’elle parce qu’elle ne parle pas la langue, elle ressort avec une estime d’elle pas forcément au top, bien qu’elle soit très intelligente (aujourd’hui elle parle couramment quatre langues et continue d’apprendre, elle se destine d’ailleurs à une carrière de traductrice) intelligente donc et, vous vous en doutez, belle comme un cœur.
Les faits :
On se rencontre en avril, par l’intermédiaire de ma colocataire (qui est une pote à elle). C’est bref, le temps d’un café. Elle m’apprend qu’elle part cette année en Erasmus à Toulouse, je lui apprends que j’en suis originaire. Elle m’ajoute sur Facebook.
Très peu d’échanges, voir pas du tout jusqu’en juin. Elle me contacte alors pour me demander des conseils pratiques sur la vie dans le sud. Je la renseigne. Elle m’en sait gré. Chacun retourne à son quotidien.
Septembre. Elle emménage et reprend contact avec moi. Un peu de badinage par messagerie interposée (très limité toujours, genre trois messages par semaine. Elle n’est pas très réseaux sociaux, quant à moi, je les évite comme la peste.)
Octobre. La propriétaire de sa colocation décide qu’au final, elle préfère rester seule dans son appart’ et l’enjoint elle et ses colocataires à partir. Un peu déprimée, elle me demande de l’aide. J’appelle un ami sur place qui accepte de l’héberger le temps qu’elle trouve quelque chose de nouveau. Encore une fois, elle m’en sait gré.
Fin octobre, je passe par Toulouse. C’est donc la première fois depuis avril et notre rencontre furtive qu’on se voit. On va prendre un verre qui se passe très bien, mais mon ami, qui l’héberge alors, se joint à nous en cours de soirée. Je l’aime beaucoup mon pote, mais c’est pas ce que j’avais prévu à la base, if you know what I mean. A la fin de la soirée, elle me dit qu’elle passe par Paris fin novembre, et qu’elle aimerait m’y voir.
Entre temps, échanges de messages qui, de sa part, sont à la fois intenses (des projections dans tous les sens, anecdotes de son quotidien, questions persos…) et épars (elle met plusieurs jours à répondre.) Je me calque sur l’intensité et le rythme, même si je vous avoue que sa tendance à répondre quand ça lui chante me tracasse. Je le garde pour moi.
Je lis entre les lignes que ses études la stressent et qu’elle a du mal à s’adapter à la vie toulousaine.
Fin novembre. Accrochez-vous, ça s’emballe.
Je la relance dans la semaine pour savoir si elle vient toujours passer le week-end sur la capitale. Elle me dit qu’elle hésite, que la difficulté des études (rappelons qu’elle fait des études de lettres modernes alors qu’elle ne parle français que depuis un an) et l’arrivée des exams la met au 36eme dessous. Mais que du coup, elle aurait bien besoin d’une respiration en venant voir ses amis à Paris. Sans pression, je l’incite à venir.
Rendez-vous pris vendredi soir métro St Paul. Elle y arrive avec une amie à elle. Pas décontenancé, je propose à cette amie de venir prendre un verre avec nous. Mais après un échange de regards, elle préfère nous laisser seuls.
La soirée se passe bien. Je décrypte une ébauche de feuille de route (merci le séminaire 100 jours) à laquelle je corresponds, et appuie dessus. Résultats garantis. Je finis par l’embrasser. J’ai rarement vu une fille aussi chamboulée par un baiser. Je lui propose de venir passer la nuit chez moi, elle accepte.
Une fois dans ma chambre cependant, je la sens mal à l’aise. Pas de pression, je la rassure, et on finit sur le lit. Mais au moment de passer aux choses sérieuses, elle se dérobe. Pour vous lecteurs, un flashback s’impose…
Je vais tenter d’être factuel, et bâtir mon message en deux parties afin qu’il soit plus digeste.
Partie I
Moi, 34 ans, habite à Paris, exerce une profession semi-artistique qui me met en relation avec beaucoup de monde, notamment des jolies filles, et ça se voit sur les réseaux sociaux (ça pourra avoir son importance plus tard.)
Elle, Mia, 24 ans, étudiante Erasmus à Toulouse. Née en Pologne, ses parents immigrent en Allemagne alors qu’elle n’a que 6 ans. Plus prolos que CSP+, ils lui transmettent des valeurs de rigueur, de travail, sont assez (trop) perfectionnistes. Entre ça et les quolibets des petits allemands qui se moquent d’elle parce qu’elle ne parle pas la langue, elle ressort avec une estime d’elle pas forcément au top, bien qu’elle soit très intelligente (aujourd’hui elle parle couramment quatre langues et continue d’apprendre, elle se destine d’ailleurs à une carrière de traductrice) intelligente donc et, vous vous en doutez, belle comme un cœur.
Les faits :
On se rencontre en avril, par l’intermédiaire de ma colocataire (qui est une pote à elle). C’est bref, le temps d’un café. Elle m’apprend qu’elle part cette année en Erasmus à Toulouse, je lui apprends que j’en suis originaire. Elle m’ajoute sur Facebook.
Très peu d’échanges, voir pas du tout jusqu’en juin. Elle me contacte alors pour me demander des conseils pratiques sur la vie dans le sud. Je la renseigne. Elle m’en sait gré. Chacun retourne à son quotidien.
Septembre. Elle emménage et reprend contact avec moi. Un peu de badinage par messagerie interposée (très limité toujours, genre trois messages par semaine. Elle n’est pas très réseaux sociaux, quant à moi, je les évite comme la peste.)
Octobre. La propriétaire de sa colocation décide qu’au final, elle préfère rester seule dans son appart’ et l’enjoint elle et ses colocataires à partir. Un peu déprimée, elle me demande de l’aide. J’appelle un ami sur place qui accepte de l’héberger le temps qu’elle trouve quelque chose de nouveau. Encore une fois, elle m’en sait gré.
Fin octobre, je passe par Toulouse. C’est donc la première fois depuis avril et notre rencontre furtive qu’on se voit. On va prendre un verre qui se passe très bien, mais mon ami, qui l’héberge alors, se joint à nous en cours de soirée. Je l’aime beaucoup mon pote, mais c’est pas ce que j’avais prévu à la base, if you know what I mean. A la fin de la soirée, elle me dit qu’elle passe par Paris fin novembre, et qu’elle aimerait m’y voir.
Entre temps, échanges de messages qui, de sa part, sont à la fois intenses (des projections dans tous les sens, anecdotes de son quotidien, questions persos…) et épars (elle met plusieurs jours à répondre.) Je me calque sur l’intensité et le rythme, même si je vous avoue que sa tendance à répondre quand ça lui chante me tracasse. Je le garde pour moi.
Je lis entre les lignes que ses études la stressent et qu’elle a du mal à s’adapter à la vie toulousaine.
Fin novembre. Accrochez-vous, ça s’emballe.
Je la relance dans la semaine pour savoir si elle vient toujours passer le week-end sur la capitale. Elle me dit qu’elle hésite, que la difficulté des études (rappelons qu’elle fait des études de lettres modernes alors qu’elle ne parle français que depuis un an) et l’arrivée des exams la met au 36eme dessous. Mais que du coup, elle aurait bien besoin d’une respiration en venant voir ses amis à Paris. Sans pression, je l’incite à venir.
Rendez-vous pris vendredi soir métro St Paul. Elle y arrive avec une amie à elle. Pas décontenancé, je propose à cette amie de venir prendre un verre avec nous. Mais après un échange de regards, elle préfère nous laisser seuls.
La soirée se passe bien. Je décrypte une ébauche de feuille de route (merci le séminaire 100 jours) à laquelle je corresponds, et appuie dessus. Résultats garantis. Je finis par l’embrasser. J’ai rarement vu une fille aussi chamboulée par un baiser. Je lui propose de venir passer la nuit chez moi, elle accepte.
Une fois dans ma chambre cependant, je la sens mal à l’aise. Pas de pression, je la rassure, et on finit sur le lit. Mais au moment de passer aux choses sérieuses, elle se dérobe. Pour vous lecteurs, un flashback s’impose…