- Lun Déc 10, 2012 3:01 pm
#129248
Paris, vendredi soir, gare de l’est, les provinciaux travaillant à Paris la semaine profitent du week-end pour rentrer dans leur ville d’origine retrouver leur famille.
Ce n’est pas mon cas ce soir, moi et mes potes avons préparé une surprise pour un autre ami du groupe qui étudie à Reims en l’honneur de son anniversaire.
Cet ami s’attend à passer une soirée tranquille avec sa famille censée le rejoindre pour l’occasion, c’est en fait une soirée beaucoup plus festive qui l’attend en compagnie de ses meilleurs potes.
Je m’installe donc dans le train pour Reims afin de rejoindre mes amis à la gare de la ville.
Dans le train je repère une fille à quelques rangées du siège où je suis assis. Jolie brune plutôt à mon goût, elle s’occupe pendant le voyage en lisant un livre.
Malgré ses lectures, j’arrive à croiser son regard à plusieurs reprises. Le peu de regards que nous échangeons sont appuyés. Assurément, j’ai bien l’impression de lui plaire. Cela tombe bien, c’est réciproque.
Je prends la décision de l’aborder lorsque je descendrai du train, reste à trouver quoi lui dire. Il reste encore du temps avant que le trajet ne se finisse, idéal pour moi, qui suis très loin d’être à l’aise dans le fait d’aborder une fille dans la rue (voire aborder une fille tout court), pour trouver quelque chose d’intéressant à dire. Et puis après tout, je porte le manteau que Stéphane a choisi lors de mon relooking, il ne peut que m’arriver quelque chose de bien .
Fin du trajet, premier hic : les quelques rangées de sièges qui nous séparent font que pas mal de personnes s’intercalent entre elle et moi. Résultat : je ne la vois plus lorsque je sors du train, pas pratique quand de surcroit l’on ne connait pas du tout les lieux.
Malgré tout, je suis décidé à aborder cette fille. Je suis la direction dans laquelle vont les gens qui sortent du train tout en dépassant les plus lents pour avoir une chance d’apercevoir cette fille de nouveau.
Je sors de la gare et crois la voir au loin. Deuxième obstacle, il faut que je la rattrape assez rapidement car j’ai peur de passer pour un psychopathe l’ayant suivie si je l’aborde trop loin de la gare. D’autant plus qu’il fait nuit, froid et qu’il n’y a quasiment personne dans les coins où elle se dirige, pas vraiment les conditions optimales pour qu’elle se sente en sécurité.
Je m’étonne encore une fois moi-même en faisant le nécessaire pour me mettre à son niveau assez rapidement et l’aborder.
Ce qui est fou, c’est qu’en temps normal tous ces obstacles auraient été largement suffisants pour me faire abandonner l’idée d’aborder cette fille. Mais pas cette fois-ci.
Cela est sûrement dû à mon état d’esprit du moment : avez-vous déjà eu ce sentiment assez énorme qui fait que vous ressentez que rien ne peut vous arriver, que tout peut vous réussir ?
C’est mon cas en ce moment. Actuellement en stage dans un des cabinets d’avocats les plus prestigieux de Paris depuis juillet, je viens de réussir en parallèle l’examen d’entrée du barreau de Nancy, ma ville d’origine, malgré les horaires très exigeants de ce stage, quand d’autres paient des prépas parisiennes à plus de 2000 €, bossent leur barreau tout l’été pour parfois se vautrer lors des écrits ou des oraux.
Je finis donc mes études sur un succès qui a pu impressionner pas mal de gens, je n’ai plus rien à prouver pour un moment, j’en ai quasiment définitivement fini avec le bachotage. Avec ce hold-up et mon Master 2 en poche, j’ai bien assuré mon avenir professionnel dans une discipline qui me plait.
En prime, mon ex, qui m’avait largué il y un an de cela, revient à la charge, toujours bon pour l’égo, même si honnêtement je ne sais pas ce qu’elle me veut réellement.
Bref, je suis dans un état d’esprit plutôt bon et positif.
J’en reviens à cette fille, voici la manière dont je l’ai abordée :
[quote]- M : Bonsoir.
- E : Bonsoir.
- M : Vous habitez Reims ?
- E : Oui.
- M : Vous connaissez bien Reims ?
- E : Oui.
- M : Vous connaissez vraiment bien Reims ?
- E (en souriant) : Oui.
- M : Nan parce qu’il faut que je vous explique : on organise ce soir une surprise avec mes potes pour l’anniversaire de l’un d’entre nous. Il habite Reims depuis quelques temps mais j’ai besoin de l’avis d’une fille stylée comme vous (réaction un peu gênée de sa part) pour m’indiquer un endroit sympa où sortir ce soir : bar, boîtes de nuit…
Elle commence à me citer quelques endroits sur une même place du centre ville de Reims.
J’enchaîne :
- M : Attention, moi je veux un truc de connaisseurs, pas un truc de touristes.
- E : Nan ne vous inquiétez pas, c’est vraiment sympa comme endroit. Ce sont des bars à vins, ça vous plait ?
- M : Ok je veux bien vous faire confiance. Vous habitez Paris sinon ?
- E : Oui.
- M : Ça vous dit de conclure un marché ?
- E : Euh … Allez-y.
- M : Et bien si ces endroits se trouvent à la hauteur de mes espérances je vous offre ensuite un verre, par contre si je suis déçu par vos choix c’est vous qui devrez m’en offrir un.
- E : C’est un peu facile pour vous quand même ?
- M : C’est vrai. Ça vous dit ?
- E : Ok.
Je lui demande son prénom (appelons là Stéphanie) et prends son numéro dans la foulée. Je lui donne mon prénom puis lui demande :
- M : Marché conclu ? (en lui tendant la main)
- E : Marché conclu.
Nous nous quittons par une poignée de main. Je repars ensuite vers la gare pour rejoindre mes amis.
Nous passons la première partie de soirée chez notre ami, je ne résiste bien sûr pas à l’idée de leur raconter ma petite aventure, histoire de me faire mousser un peu.
A la fin de mon histoire, un ami me demande comment j’ai noté son numéro. Fièrement, je prends mon portable pour lui montrer mon annuaire dans lequel je suis censé avoir enregistré le numéro de cette fille. Et là, c’est le drame…
J’ai bien enregistré le prénom de cette fille mais aucun numéro n’y est associé dans mon répertoire, contact bien inutile…
En fait, il se trouve qu’au moment d’enregistrer son numéro, ce même ami m’avait appelé car nous étions naturellement censés nous rejoindre à la gare. En voulant faire vite pour enregistrer le numéro de cette jolie brune après avoir fait patienter mon ami, je réalisais une mauvaise manip’ qui me fit supprimer son numéro tout en enregistrant malgré tout son nom.
Me voilà donc avec une prise de numéro… sans numéro…
Vous imaginez bien la réaction de mes amis, entre pitié et moquerie… Cela me servira de leçon, assurément.
Ceci dit, cela nous faisait une raison de plus pour nous rendre à la place qu’elle m’avait indiquée, où se situait les bars à vins qu’elle m’avait recommandés. Avec un peu de chance elle s’y rendra et cela constituera d’ailleurs un signe d’intérêt de plus. Dans le pire des cas nous passerons avec mes potes une bonne soirée dans un endroit qui a de forte chance d’être sympa.
Nous nous rendons donc à l’un des bars de la place (le seul où il y a un peu de monde ce soir là). Pas de Stéphanie à l’horizon. Tant pis. Nous commandons une bouteille de vin, nous nous installons et commençons à discuter.
Et c’est au cours de la soirée que réapparait Stéphanie. Elle est avec un mec, j’apprendrai plus tard que c’est son meilleur ami.
Je ne me fais pas prier pour la ré-aborder, discuter, badiner un peu avec elle. Cette fille a l’air très sympa et très intéressante. Elle me pose des questions personnelles, s’intéresse à mes amis avec qui elle discute beaucoup alors qu’elle est venue avec son meilleur pote et qu’elle est apparemment connue comme le loup blanc dans ce bar.
Mes amis se comportent bien (ouf), notre venue dans ce bar se termine par une discussion avec elle sur les endroits sympa pour finir la soirée encore ouverts à l’heure où nous nous apprêtons à quitter le bar.
La discussion se termine malgré tout « étrangement » :
[quote]S s’adressant à moi : (blabla sur les endroits sympa encore ouverts)
M pour clore la discussion : On se revoit sur Paris alors ?
S : (continue son blabla sur les endroits sympas comme si je n’avais rien dit, intentionnellement ou pas, je ne le saurais pas)
Je n’ai pas osé reformuler la question. A la fin de son blabla je lui dis au revoir (je lui avais redemandé son numéro entre-temps), salue son ami et nous repartons avec mes potes vers un autre endroit.
Je ne l’ai toujours pas recontactée depuis. Pour info, je compte l’appeler ce soir pour lui proposer d’aller prendre un verre en cette fin de semaine (elle étudie la première moitié de la semaine à Reims et la fin de semaine à Paris).
Si je devais faire mon autocritique rapidement : pas de connexion et pas assez de jeu au bar lorsque nous avons discuté ensemble.
C’était la première fois que j’abordais une fille dans la rue. Je suis avant tout très satisfait d’avoir osé le faire puis très content que ça se soit soldé par une prise de numéro.
Ce n’est pas pour autant que je m’enflamme, je reste naturellement un novice en la matière et très honnêtement, jouer la carte du « je ne connais pas cette ville, dites moi où je peux sortir » reste quand même assez peu original.
Malgré tout, que pensez-vous de la manière dont je l’ai abordée ? Qu’ai-je pu oublier ou que puis-je améliorer et comment ?
Avez-vous des anecdotes similaires concernant ma mésaventure avec mon téléphone ?
Merci pour vos conseils.
Ce n’est pas mon cas ce soir, moi et mes potes avons préparé une surprise pour un autre ami du groupe qui étudie à Reims en l’honneur de son anniversaire.
Cet ami s’attend à passer une soirée tranquille avec sa famille censée le rejoindre pour l’occasion, c’est en fait une soirée beaucoup plus festive qui l’attend en compagnie de ses meilleurs potes.
Je m’installe donc dans le train pour Reims afin de rejoindre mes amis à la gare de la ville.
Dans le train je repère une fille à quelques rangées du siège où je suis assis. Jolie brune plutôt à mon goût, elle s’occupe pendant le voyage en lisant un livre.
Malgré ses lectures, j’arrive à croiser son regard à plusieurs reprises. Le peu de regards que nous échangeons sont appuyés. Assurément, j’ai bien l’impression de lui plaire. Cela tombe bien, c’est réciproque.
Je prends la décision de l’aborder lorsque je descendrai du train, reste à trouver quoi lui dire. Il reste encore du temps avant que le trajet ne se finisse, idéal pour moi, qui suis très loin d’être à l’aise dans le fait d’aborder une fille dans la rue (voire aborder une fille tout court), pour trouver quelque chose d’intéressant à dire. Et puis après tout, je porte le manteau que Stéphane a choisi lors de mon relooking, il ne peut que m’arriver quelque chose de bien .
Fin du trajet, premier hic : les quelques rangées de sièges qui nous séparent font que pas mal de personnes s’intercalent entre elle et moi. Résultat : je ne la vois plus lorsque je sors du train, pas pratique quand de surcroit l’on ne connait pas du tout les lieux.
Malgré tout, je suis décidé à aborder cette fille. Je suis la direction dans laquelle vont les gens qui sortent du train tout en dépassant les plus lents pour avoir une chance d’apercevoir cette fille de nouveau.
Je sors de la gare et crois la voir au loin. Deuxième obstacle, il faut que je la rattrape assez rapidement car j’ai peur de passer pour un psychopathe l’ayant suivie si je l’aborde trop loin de la gare. D’autant plus qu’il fait nuit, froid et qu’il n’y a quasiment personne dans les coins où elle se dirige, pas vraiment les conditions optimales pour qu’elle se sente en sécurité.
Je m’étonne encore une fois moi-même en faisant le nécessaire pour me mettre à son niveau assez rapidement et l’aborder.
Ce qui est fou, c’est qu’en temps normal tous ces obstacles auraient été largement suffisants pour me faire abandonner l’idée d’aborder cette fille. Mais pas cette fois-ci.
Cela est sûrement dû à mon état d’esprit du moment : avez-vous déjà eu ce sentiment assez énorme qui fait que vous ressentez que rien ne peut vous arriver, que tout peut vous réussir ?
C’est mon cas en ce moment. Actuellement en stage dans un des cabinets d’avocats les plus prestigieux de Paris depuis juillet, je viens de réussir en parallèle l’examen d’entrée du barreau de Nancy, ma ville d’origine, malgré les horaires très exigeants de ce stage, quand d’autres paient des prépas parisiennes à plus de 2000 €, bossent leur barreau tout l’été pour parfois se vautrer lors des écrits ou des oraux.
Je finis donc mes études sur un succès qui a pu impressionner pas mal de gens, je n’ai plus rien à prouver pour un moment, j’en ai quasiment définitivement fini avec le bachotage. Avec ce hold-up et mon Master 2 en poche, j’ai bien assuré mon avenir professionnel dans une discipline qui me plait.
En prime, mon ex, qui m’avait largué il y un an de cela, revient à la charge, toujours bon pour l’égo, même si honnêtement je ne sais pas ce qu’elle me veut réellement.
Bref, je suis dans un état d’esprit plutôt bon et positif.
J’en reviens à cette fille, voici la manière dont je l’ai abordée :
[quote]- M : Bonsoir.
- E : Bonsoir.
- M : Vous habitez Reims ?
- E : Oui.
- M : Vous connaissez bien Reims ?
- E : Oui.
- M : Vous connaissez vraiment bien Reims ?
- E (en souriant) : Oui.
- M : Nan parce qu’il faut que je vous explique : on organise ce soir une surprise avec mes potes pour l’anniversaire de l’un d’entre nous. Il habite Reims depuis quelques temps mais j’ai besoin de l’avis d’une fille stylée comme vous (réaction un peu gênée de sa part) pour m’indiquer un endroit sympa où sortir ce soir : bar, boîtes de nuit…
Elle commence à me citer quelques endroits sur une même place du centre ville de Reims.
J’enchaîne :
- M : Attention, moi je veux un truc de connaisseurs, pas un truc de touristes.
- E : Nan ne vous inquiétez pas, c’est vraiment sympa comme endroit. Ce sont des bars à vins, ça vous plait ?
- M : Ok je veux bien vous faire confiance. Vous habitez Paris sinon ?
- E : Oui.
- M : Ça vous dit de conclure un marché ?
- E : Euh … Allez-y.
- M : Et bien si ces endroits se trouvent à la hauteur de mes espérances je vous offre ensuite un verre, par contre si je suis déçu par vos choix c’est vous qui devrez m’en offrir un.
- E : C’est un peu facile pour vous quand même ?
- M : C’est vrai. Ça vous dit ?
- E : Ok.
Je lui demande son prénom (appelons là Stéphanie) et prends son numéro dans la foulée. Je lui donne mon prénom puis lui demande :
- M : Marché conclu ? (en lui tendant la main)
- E : Marché conclu.
Nous nous quittons par une poignée de main. Je repars ensuite vers la gare pour rejoindre mes amis.
Nous passons la première partie de soirée chez notre ami, je ne résiste bien sûr pas à l’idée de leur raconter ma petite aventure, histoire de me faire mousser un peu.
A la fin de mon histoire, un ami me demande comment j’ai noté son numéro. Fièrement, je prends mon portable pour lui montrer mon annuaire dans lequel je suis censé avoir enregistré le numéro de cette fille. Et là, c’est le drame…
J’ai bien enregistré le prénom de cette fille mais aucun numéro n’y est associé dans mon répertoire, contact bien inutile…
En fait, il se trouve qu’au moment d’enregistrer son numéro, ce même ami m’avait appelé car nous étions naturellement censés nous rejoindre à la gare. En voulant faire vite pour enregistrer le numéro de cette jolie brune après avoir fait patienter mon ami, je réalisais une mauvaise manip’ qui me fit supprimer son numéro tout en enregistrant malgré tout son nom.
Me voilà donc avec une prise de numéro… sans numéro…
Vous imaginez bien la réaction de mes amis, entre pitié et moquerie… Cela me servira de leçon, assurément.
Ceci dit, cela nous faisait une raison de plus pour nous rendre à la place qu’elle m’avait indiquée, où se situait les bars à vins qu’elle m’avait recommandés. Avec un peu de chance elle s’y rendra et cela constituera d’ailleurs un signe d’intérêt de plus. Dans le pire des cas nous passerons avec mes potes une bonne soirée dans un endroit qui a de forte chance d’être sympa.
Nous nous rendons donc à l’un des bars de la place (le seul où il y a un peu de monde ce soir là). Pas de Stéphanie à l’horizon. Tant pis. Nous commandons une bouteille de vin, nous nous installons et commençons à discuter.
Et c’est au cours de la soirée que réapparait Stéphanie. Elle est avec un mec, j’apprendrai plus tard que c’est son meilleur ami.
Je ne me fais pas prier pour la ré-aborder, discuter, badiner un peu avec elle. Cette fille a l’air très sympa et très intéressante. Elle me pose des questions personnelles, s’intéresse à mes amis avec qui elle discute beaucoup alors qu’elle est venue avec son meilleur pote et qu’elle est apparemment connue comme le loup blanc dans ce bar.
Mes amis se comportent bien (ouf), notre venue dans ce bar se termine par une discussion avec elle sur les endroits sympa pour finir la soirée encore ouverts à l’heure où nous nous apprêtons à quitter le bar.
La discussion se termine malgré tout « étrangement » :
[quote]S s’adressant à moi : (blabla sur les endroits sympa encore ouverts)
M pour clore la discussion : On se revoit sur Paris alors ?
S : (continue son blabla sur les endroits sympas comme si je n’avais rien dit, intentionnellement ou pas, je ne le saurais pas)
Je n’ai pas osé reformuler la question. A la fin de son blabla je lui dis au revoir (je lui avais redemandé son numéro entre-temps), salue son ami et nous repartons avec mes potes vers un autre endroit.
Je ne l’ai toujours pas recontactée depuis. Pour info, je compte l’appeler ce soir pour lui proposer d’aller prendre un verre en cette fin de semaine (elle étudie la première moitié de la semaine à Reims et la fin de semaine à Paris).
Si je devais faire mon autocritique rapidement : pas de connexion et pas assez de jeu au bar lorsque nous avons discuté ensemble.
C’était la première fois que j’abordais une fille dans la rue. Je suis avant tout très satisfait d’avoir osé le faire puis très content que ça se soit soldé par une prise de numéro.
Ce n’est pas pour autant que je m’enflamme, je reste naturellement un novice en la matière et très honnêtement, jouer la carte du « je ne connais pas cette ville, dites moi où je peux sortir » reste quand même assez peu original.
Malgré tout, que pensez-vous de la manière dont je l’ai abordée ? Qu’ai-je pu oublier ou que puis-je améliorer et comment ?
Avez-vous des anecdotes similaires concernant ma mésaventure avec mon téléphone ?
Merci pour vos conseils.